Ma femme ne se souvient plus de moi. (Tome II)

Chapitre XIII: La rousse trompé.

Chapitre 13

Point de vue Cassie

Je ne sais pas ce qui m'a prit de racconter à ce gars m'a vie privé. En fin de comptes, je m'en fou complètement. Peut-être que Clara à raison. Peut-être que je suis cette Cassandra Edouard. Car dans mes rêves je rêve que je suis elle. Pourquoi dans mes rêves et mes cauchemars cette fille est présente, je re-vis ce que elle, elle a vecu comme si c'était ma propre vie. Et puis le docteur à aussi dit que je ferais souvent des rêves sur ma vie et qui me ramènerait petit à petit la mémoire. Espérons qu'il est raison. Mais ce qui a fait que je me suis souvenue de Donovan c'est qu'il m'a appelé et que j'ai en quelque sorte reconnu sa voix sans mettre de nom sur la personne.

J'ai été fatigué de me battre contre cette homme qui est toujours à côté de moi. J'ai besoin de voir Carla. Je pense que depuis que je suis arrivé ici, cette fille met devenue vitale.

- Je vais au restaurant. J'informe l'homme à mes côtés.

D'ailleurs pourquoi je l'appelle l'homme alors qu'il s'appelle William. Je le sais à cause de tout ce qui se dit sur internet quand j"ai fouillée la derniere fois. Il me regarde un peu avant de posé sa main sur mon frond. Et je suis sut d'avoir eu comme un coup de courant. Je me suis enlevé illico presto. Le chaud et le froid ne fait pas bon ménage, même si je dois etre encore bouillante à cause de la fievre et que ses mains son aussi chaude.

- Tu ne vas pas sortir comme ça, tu as de la fievre.

Raah qu'il me tape sur le système ce gars. Je veux sortir et il ne va pas m'en empêché. Il faut que je lui trouve une ruse pour qu'il me lâche une bonne fois pour toute.

Je regarde ma main et remarque que je n'ai pas ma bague au doigt. Je lâche un mini sourire et lui dit.

- J'ai oublié ma bague en cuisine et je ne m'en séparé jamais. C'est la seule qui peut me faire réapparaitre la mémoire.

- J'irais la chercher.

- Non. Je dis. Si Élisabeth trouve un étranger dans sa cuisine, elle me fera la peau cette vieille sorcière.

Il pouffe de rire avant de reprendre son sérieux et me dit.

- Ta copine rousse alors.

Il m'a fallut un temps de réflexion avant de comprendre qu'il parler de Clara.

- Non plus, elle a dû aller voir son fiancé. Ecoutez je suis la seule a savoir où elle est. Je fais simplement un aller retour.

Il souffle, sachant peut-être que je ne lâcherait pas l'affaire. J'ai comme l'impression que j'ai déjà jouer à ca avec lui. Comme un déjà vu.

- Bon va y, je t'accompagne.

Je sors en bombe de la chambre, voir de l'appartement et me dirige en direction du restaurant. Je pars en direction de la cuisine et je cherche ma bague que j'avais laisser juste à côté du four. J'essaye tout de même de chercher Clara aussi. Celle-ci est introuvable. Je sors de la cuisine et au moment de sortir je tombe sur Clara en pleure.

- Pourquoi tu pleures ? Je lui demande en fronçant les sourcils ?

Je déteste quand mon ami et dans cette état. Je crois que c'est aussi dans mon passé, je l'ai peut-être expérimenté ce genre de sentiment.

- C'est Hans. Ce... Ce... Batard... Je l'ai vue au lit avec Léa.

Elle n'est pas au boulot celle là ? Mon visage se ferme illico. Les nerfs sont arrivé plus vite que je ne l'aurait imaginer. Moi qui pensé retourner a la maison pour pas faire d'histoire avec William, c'est raté.

- Il est ou ce connard ? Je lance au et fort. Je pense que tout le monde m'a entendu.

- Il me courait à moitier à poil derrière moi, mais je l'ai semée.

- On va l'attendre de pied de ferme. Il va gouté a ma basket.

Je m'assois sur la table juste derriere moi. Je risque de me faire réprimandé par la sorcière mais ce n'est pas grave. Je m'amuse avec la chaise qui est juste en face de moi. Je dois faire justice pour mon ami. Je sais qu'il va venir pour vouloir s'excuser. Le temps qu'il se rhabille en vitesse, parce que j'imagine bien qu'il a dû la courser en caleçon et le temps qu'il arrive jusqu'ici. Je dirais 10 minutes à tout casser. Les hommes de nos jours n'ont réellement aucune pitié envers les femmes et croivent qu'on est le sexe faible et qu'on doit fermer notre bouche quand eux ils vont batifoler ailleurs alors qu'ils sont censé etre en couple. Cette situation me dit quelque chose aussi. Ah. Tient le voilà le goujat. A peine qu'il entre dans le restaurant que je lui balance la chaise dans la tête et devant tout le monde.

Il me regarde avec des yeux noirs avant d'essayer de l'intimider sa bouche.

- Bon mais tu vas pas bien dans la tête. Me crit-il de l'autre côté du restaurant.

- C'est l'hôpital qui se fou de la charité. Je lu balance à  mon tour. Tu es censé te marié dans 2 mois avec Carla et tu oses la trompé avec la première connasse qui soit.

Je ne sais pas d'où me sors cette réparti mais je suis fière de moi.

- Ce ne sont pas tes affaires. Me dit-il.

- Quand il s'agit de mes amis, c'est toujours mes affaires. Tu crois que c'est toi qui vient pleurer dans mes bras apres qu'un salaud de ton genre est aller voir ailleurs ?

Carla me regarde choqué par mes propos. Faut dire que je ne mâche pas mes mots et je suis très cru. Je ne me laisse pas faire. Et je vois que tout le monde est en train de nous regarder comme si on se lançait une balle de tennis. L'action me fait bien rire, car il est seul contre tous. Même les habitués n'ose même pas lever le petit doigt pour rentrer chez eux par peur que je leur balance une chaise à leur tour. Oh que oui, je suis en colère. En colère par ce genre de personne qui sont censé être en couple et qui vont voir ailleurs alors qu'ils ont tout.

- Tu sais quoi ? Retourne d'où tu viens. Ne t'avise même pas de te retourner si tu ne veux pas te recevoir une autre chaise dans la gueule. Ne t'approche même plus de Carla et si je te vois même lui adresser la parole une seule fois, je te castre compris. Retourne faire ce que tu était en train de faire.

- Je veux juste parler à Carla.

- CASSE TOI. Je cris.

Un peu trop d'ailleurs et je n'aurais pas dû. Un liquide vient de couler entre mes jambes et je réalise que je viens de perdre les os.

- Oh non. Pas tout de suite. Ce n'est pas censé être maintenant.