Chapitre 7 - Arthur

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Elle est là, assise juste côté de moi et pourtant elle ne me parle pas. Je sais que je n'ai pas été tendre avec elle quand je suis arrivé. Je lui ai parlé froidement et mon regard était dur mais elle m'a fait mal alors je ne m'en veux pas pour ça.

Normalement, elle fait la tête après avoir eu une conversation qui ne s'est pas bien terminé. Là elle ne dit rien alors qu'on ne sait même pas parlé. J'ai l'impression qu'elle fait tout pour rester calme. C'est nouveau parce qu'elle a toujours été une personne qui stresse beaucoup.

Quand sa mère m'a appelé et ma révélé qu'elle ne se sentait pas bien. J'ai commencé à m'inquiéter pour elle. Je m'inquièterai toujours pour elle malgré que je lui en veuille beaucoup.

Une fois la voiture garée, je me dépêche d'aller à la portière passagère avant qu'elle ne puisse l'ouvrir elle même.

Ensuite nous entrons dans la maison. Elle monte directement à l'étage pour rejoindre la chambre. Sa m'énerve qu'elle ne m'adresse pas la parole. Je préférerai qu'elle me gueule déçu, que de restai à ne rien dire.

Je suis dans la cuisine. Je serre un grand verre d'eau pour l'emmener avant de monter la rejoindre.

Dans la chambre, je ne la vois pas alors je me tourne et vois que la porte de la salle de bain est fermé. Je pense donc qu'elle est à l'intérieur.

Je pose le verre d'eau sur la table de nuit et m'avance pour toquer à la porte mais elle l'ouvre avant que j'y arrive. Elle me regarde avec son regard que j'aime temps.

J'aime tellement se petit bout de femme, surtout dans cette petite chemise de nuit en sois bleu sombre. Sans ses chaussure à talon, elle me va à peine au niveau de poitrine. C'est l'une des raisons qui me donne toujours envie de la protéger. Cette fois je ne pourrais pas la protéger de ma colère et ma déception. Il faudra qu'elle se débrouille.

Toujours sans rien me dire, elle passe sur le côté et s'avance jusqu'au lit pour ensuite se faufiler à l'intérieur.

-Donne moi ton téléphone, dis-je d'une voix autoritaire

Elle sursaute presque, en entendant ma voix. Elle s'assoit dans le lit alors qu'elle était déjà coucher et se tourne pour me regarder.

-Non ! Me répond-elle à son tour d'une voix pas très respectueuse

-Émilie ne me chercher pas et donne moi ton portable

Je tend ma main et elle me le donne immédiatement. J'ai l'impression que je lui fais peur en lui parlant comme ça.

Je regarde ses messages et je vois que sa mère a bien penser à envoyer un message pour que je puisse trouver le thermomètre. Je pose le téléphone sur la table de nuit de mon côté. Ensuite je sort de la chambre et je vais dans la salle de bain commune, qui se trouve rez-de-chaussée et trouve facilement ce qu'il me fallait.

Quand je remonte dans la chambre. Je m'approche d'elle. Alors qu'elle est déjà couchée au font des couettes et je mets l'appareil en face de son front pour lui prendre la température. Je vois qu'elle a 37.4, ce qui est bon donc je le repose et me déshabille devant elle.

Dès que c'est fait, je la rejoint dans le lit. Tout le long elle m'a regarder pour voir ce que je faisais.

-Est ce que ça va mieux ? Je lui demande, cette fois-ci en essayant d'avoir un ton calme

-Non ! Me répond-elle sèchement

-Je peux savoir pourquoi c'est toi qui m'en veut maintenant alors que c'est toi qui m'as dit que tu ne m'aimais pas, que se n'était qu'un acte de rébellion

-J'ai fais un choix et pour partir il fallait bien que je te dise quelque chose, me dit-elle sans se tourner

-Donc tu avoues bien m'avoir menti ?!

-Oui, dit-elle d'une toute petite voix

Je le savais mais maintenant j'en n'ai la confirmation. Le savoir réellement me donne encore plus de raison de lui en vouloir.

-Et pourquoi se choix ?

Elle ne dit rien. Elle reste là couché à ne rien dire. Elle ne pense sûrement pas que je vais la laisser sans m'avoir donné de réponse. Elle me connais assez bien pour ça.

-Émilie tu me réponds et tout de suite

Je le lui demande fermement en prenant son visage par le menton pour que je puisse la fixer du regarde et la surplomber. Vu que je suis assis contre la tête de lit et elle couché.

-Je ne voulais pas qu'il y est de répercutions envers nos amis et en plus je ne voulais pas que tu abdiques de ton poste de fondateur

-C'est donc ça les raisons pour les quels tu as abandonné, tu m'as abandonné ! Au lieu de partir, tu aurais mieux fait de venir me voir. Tu savais très bien que jamais je n'aurai fait un choix qui entraînerai des problèmes à nos amis. Et si je décide d'abdiquer, c'est mon choix. Tu n'as pas à décider à ma place

Je parle d'un ton froid. Il est voulu comme ça et pas autrement. Je sais maintenant les raisons de son départ mais je ne suis pas satisfait. Quand elle me dit cela, sa me prouve qu'elle n'a pas confiance en moi pour me battre pour notre couple.

Je lui tiens toujours le visage. Je l'a regard avec insistance. Il y a quelque chose qui m'échappe et c'est bien la première fois que je n'arrive pas à totalement lire en elle. Je préfère la lâcher parce que je vois bien que je lui fais peur.

En l'espace d'une journée je ne sais pas si elle as eu une seul fois pas peur de moi. C'est vraiment inhabituelle entre nous.

-Maintenant j'ai réussi à obtenir ta main donc je veux ton entière honnêteté et ne compte plus sur moi pour laisser passer tes mauvais comportement comme j'ai pu le faire ces deux dernier mois

-Tu préfères que je t'en veuille et me faire du mal plutôt que de retrouver cette relation de confiance et de complémentarité qu'on avait

Savoir qu'elle n'a plus confiance en moi est dure à avaler. Mais je ne pouvais pas m'attendre à autre chose avec le comportement que j'utilise avec elle.

-Sa se passera selon mes règles maintenant. Que tu le veuilles ou non

Cette fois, elle se retourne pour de bon sans me répondre. Là, je reconnais bien ma chérie qui est énervé et qui risque de me faire la tête un bon moment. Mais je vais vite lui faire comprendre qu'il faudra changé de comportement.

Pas pour se soir. Pour le moment, je préfère la laisser se reposer. Elle est malade et malgré toute la colère que j'ai contre elle. Je l'aime et je m'inquiète pour elle. Alors je préfère lui laisser la nuit pour se reposer et je verrais bien comment elle se sent demain.

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Amour Défendu - L'affrontement TOME 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant