Amour Défendu - L'affrontement TOME 2

Chapitre 46 - Arthur

Après s'être tranquillement préparé et avoir pris un bon petit déjeuné, nous sommes maintenant sur la route en direction du centre commercial.

Je jette un coup d'œil sur le siège à côté de moi et je peux alors apercevoir ma douce promise avec des yeux qui pétille de bonheur. J'aime plus que tout la rendre heureuse. J'espère bien pouvoir le faire à chaque instant. Je sais que c'est dur d'y arriver mais je ne supporte pas de la voir mal alors je ferais mon possible pour que son sourire quitte le moins possible son visage.

En arrivant devant le centre commercial, je me gare à une place prêt de l'entrée pour permettre à Émilie de ne pas trop avoir à marcher.

Je n'ai même pas le temps de complètement éteindre le moteur de la voiture, qu'elle est déjà dehors prête à commencer.

-Ne te presse pas comme ça. Nous avons le temps, il est à peine 10 heures 30, lui dis-je pour qu'elle ralentisse

-Oui je sais bien. Je ne me presse pas parce que j'ai peur de ne pas avoir assez le temps, je suis tout simplement excitée. Tu n'imagines pas ce que c'est bon de pouvoir me promener avec toi main dans la main, ne pas avoir à nous cacher, me dit-elle en me regardant dans les yeux

Je comprend exactement ce qu'elle veut dire. Je ressens la même chose. Savoir que maintenant tout le monde sera que nous sommes ensemble, qu'elle est ma promise et que je ne suis pas simplement un ami qui prend soin d'elle, me permet de me sentir mieux.

Les pires moments étaient aux événements, quand je pouvais apercevoir des hommes lui parler de façon à la séduire. Je ne supportais pas ces moments et pourtant je ne pouvais rien dire. Aujourd'hui, le premier qui osera lui parler de cette façon aura à faire à moi.

-Je peux très bien l'imaginer, je t'assure, lui répondis-je alors simplement

Je lui tend alors ma main et elle n'hésite pas une seconde à la prendre et à marcher avec moi vers l'entrée.

Après deux heures, nous avons déjà écumé plusieurs boutiques. De mon côté tout est déjà acheté. Il me fallait simplement des costumes et quelque tenu moins habillé mais pas trop pour les fois où je me rend à la chambre dès fondateur. Je ne suis pas l'un de ceux qui vient toujours en costume à la chambre. Un chino avec une chemise me convient également. Je dois bien avoué que je ne suis pas le plus conventionnelle.

L'achat de mes vêtements étaient assez rapide. Je connais les magasins qui me convienne. Alors nous sommes directement entrés dedans et avons choisi. Émilie a d'ailleurs adoré choisir des vêtements pour moi.

Par contre pour l'achat de ses vêtements, c'est différent, elle apprécie plusieurs boutiques. Certaine que nous avons déjà fait et où elle a déjà trouvé plusieurs articles très à mon goût je dois bien l'avouer. D'autre qui nous reste à faire.

Nous sommes arrivés maintenant devant le magasin de lingerie. Elle se tourne alors vers moi et pose son regard questionné sur moi avant de me parler.

-Tu viens également avec moi pour ce magasin ?

-Bien sur. Crois-tu sincèrement que je pourrais être gêné de venir avec toi dans un magasin de lingerie ?! Ça jamais ! Le seul qui a bien le droit de te voir porter de la lingerie c'est bien moi. Alors venir avec toi les choisir me convient parfaitement, lui répondis-je sans hésiter

Après mes paroles, ses lèvres formes alors un sourire.

Alors sans plus de discutions nous entrons dans la boutique. Elle marche devant et choisi certains modèles. Moi j'en sélectionne d'autre que j'aimerai bien la voir porter.

Après avoir fait notre sélection, nous passons par les cabines d'essayages. Elle essaie d'abord tous les modèles qu'elle a choisi que je valide forcément. Émilie a un goût tellement raffiné mais en même temps avec un touche de sexy que ces choix son sur. De toute manière, tout pourrait lui aller sans aucun problème. Quand elle me montre son dernier modèle, je lui tend alors ce que moi j'ai sélectionné. Elle lève alors vers moi des yeux pétillant d'envie.

-Tu aimerai que je porte ces modèles alors que tu ne me touches presque plus, me dit-elle alors

-Bien sur que je te touche. Je le fais même tout le temps. Je n'arrive pas à me défaire de toi à ne pas t'avoir près de moi

-Tu sais très bien que je ne te parle pas de cette façon de me toucher mais de l'autre façon. Celle où tu me donne tant de plaisir, renchéri-elle en baissant l'intonation de sa voix pour que seul moi l'entende

Elle a raison les sous vêtements que j'ai sélectionnés peuvent être portés sous des vêtements mais elle sait parfaitement que c'est également ceux que j'adore voir sur elle avant que je ne lui enlève pour lui faire l'amour. Même si tout sous-vêtements m'excite quand ils sont sur elle.

Je sais aussi que ces temps-ci, je ne lui fais plus vivre autant de moment de passion sachant maintenant qu'elle est enceinte. J'en ai envie, tout le temps quand je la vois, mais j'ai peur de lui faire du mal, que ça ne soit pas bon pour le bébé ou pour elle. Pourtant le médecin n'a rien dit de telle. Ça ne fait pas partie de la liste des choses proscrites ou déconseillées.

Que je ne lui fasse plus autant l'amour est peut être une torture pour elle mais aussi pour moi. Je suis d'accord que c'est mon choix et pas le sien mais ça ne change pas l'envie que j'ai pour elle. Malgré cette envie, la méfiance prend le déçu. Après tout je n'ai jamais eu à m'occuper d'une femme enceinte avant elle, qui plus est sujet a de grosses fatigue.

-Tu peux quand même les porter. Avant que nous soyons promis, tu portais bien ce genre de sous-vêtements certain jour en ne sachant pas si j'allais les voir ou non, n'est-ce pas ? D'ailleurs tous tes sous-vêtements son du même genre sur toi, Préférais-je rétorquer pour ne pas entrer dans un sujet que je ne suis pas prêt à mener

-Tu as raison mais cela n'enlève en rien mon envie que tu les vois et même que tu me les enlèves. Tu sais quand j'enfile mes sous-vêtements le matin, mes pensées vont directement vers toi entrain de me les enlever. Maintenant que tu ne l'as pas fait depuis plusieurs jours et que en plus mes hormones rentre en compte, je suis un peu plus frustrer chaque matin et chaque soir en les retirants moi même

Elle persiste à discuter de se sujet. Alors que nous sommes dans un magasin sans bruit et que les vendeuses ne sont pas bien loin. Je préfère couper la discutions pour ne pas la laisser continuer dans cette direction.

-Eh bien je ne peux pas t'aider pour le moment alors tu devras faire avec, mon amour. Maintenant cesse de discuter de notre vie privée dans un lieu où tout le monde peut nous entendre

Elle essaie immédiatement te rétorquer mais évidement je la connais alors je le savais. Je pose alors l'un de mes doigts sur sa délicieuse bouche.

-N'essaie pas mon amour, tu as perdu d'avance. Je ne continuerai pas cette conversation ici

J'enlève mon doit de ses lèvres mais elle n'essaie plus de parler. J'ai réussi à terminé cette conversation pour le moment mais je sais que ce n'est pas fini, elle remettra bientôt se sujet sur le tapis.

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