Amour Défendu - L'affrontement TOME 2

Chapitre 21 - Emilie

En rentrant à l'hôtel, Arthur m'a imposé le sommeil. Il m'a accompagné jusqu'à dans la chambre et attendant que je sois bien couché dans le lit pour ensuite me laissé seul afin de me reposer.

Maintenant qu'il est au courant de ma grossesse et de tout ce qui va avec. Il est très prévenant et j'ai l'impression encore plus protecteur mais je me demande si cela est possible.

Ça fait un long moment que je suis dans le lit maintenant. Je ne sais pas convié de temps j'ai pu dormir mais je préfère me lever sinon je ne vais plus dormir cette nuit. Il fait que je puisse dormir correctement parce que demande c'est une journée important pour notre couple.

Je sors du lit et de la chambre. Je peux alors découvrir sans surprise mon chérie, assis à la table de la suite entrain de travailler avec son ordinateur. J'ai à peine pu arriver dans la pièce, que Arthur a déjà levé les yeux sur moi.

Je m'approche de lui et il s'éloigne de la table pour me laisser m'installer sur lui. Je passe mes bras autour de son coup et lui dépose un délicat baiser sur sa bouche.

-Comment tu te sens ? Me demande t-il en mettant une mèches derrière mon oreille

-Je me sens reposée, lui répondis-je

Il m'embrasse à son tours avec plein d'amour qui me fait juste me sentir encore mieux.

-C'est ce que je veux entendre. Et si ce n'était pas le cas, s'il y avait le moindre problème, je veux être mis au courant tout de suite

Je peux entendre dans le ton qu'il emploi, qu'il ne me le demande pas mais me l'ordonne. Je ne préfère pas débattre avec lui à se sujet. Après tout il a le droit de savoir comment je vais et comment va son enfant. Surtout qu'au moment où j'ai essayé de gérer tout moi même, ça n'a pas été une réel réussite. Alors si je peux avoir son aide dès que je ne vais pas bien, je vais pas m'en plaindre.

-Je te le dirai s'il devait se passer quoi que se soit

Ma réponse est là seul qu'il voulait entendre. Si je lui en avait donné un autre, on n'aurai dû débattre pendant un bout de temps.

-Qu'Est ce que tu fais ? Lui demandais-je

-J'ai bouclé quelques dossier et là j'étais entrain de préparer la façon dont je vais présenter notre relation au fondateur

En faisant allusion à l'événement qui pourrait nous faire prendre un tournant pour notre vie me fait peur. Il peut bien le ressentir et essaie de me réconforter en me caressant de vas-et-viens les bras.

-Les fondateurs sont obligés d'accepter notre relation ? Il ne suffit pas de l'accord du peuple ?

-L'accord du peuple, nous en avons besoin parce que sinon, jamais je ne pourrait être un bon fondateur respecter. Alors je préfère abdiquer, qu'être un fondateur dont les propositions ne sont pas prise au sérieux. Être un fondateur qui n'en n'est pas vraiment un. Nous allons d'abord en parler aux fondateurs pour qu'ils ne soient pas pris de court lors de l'annonce, afin qu'on ne l'ai pas tous à dos non plus. Ils peuvent être d'accord ou non, je ferais mon discourt quand même. Ils peuvent rien me faire, de plus je suis un fondateur de naissance

Son explication est calme. Tout pour me faire le moins peur possible même si c'est difficile. Elle m'a gagner depuis bien longtemps.

-D'accord, je comprends. Et du coup, c'est quoi notre programme pour demain ?

-Vers 11 heures, nous allons commencer par aller à la chambre dès fondateurs pour leurs faire l'annonce. Je les est tous convoqués, bien sûr tous ne pourrons pas être présent mais ils seront là par visioconférence. Ensuite dès qu'ils seront mis au courant, je ferais mon annonce au publique devant la chambre des fondateurs et je laisserai les bureaux de votes ouverts pour trois jours