OS (... x Reader)

Mizuki x Reader (Kamisama H.)

Commande de Light2803

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« Mizuki arrête ! »

Tu étais en pleine révision pour de futurs examens et ton petit-ami Mizuki, ne se décidait pas à te laisser réviser en paix.

« Mais je sais que tu l’auras »

« Oui je l’aurais, mais seulement si tu me laisses réviser »

Cela ne le fit pas arrêter.

« Je vais te mettre dehors », dis-tu.

« Tu n’oserais pas ? »

Tu te tournas violemment vers lui, lui lançant un regard noir.

« J’ai compris, j’ai compris », répondit-il résigné.

Pendant une heure, tu pus réviser tranquillement. Mais soudainement, tu sentis une main contre ta taille, et des lèvres déposer des petits baisers dans ton cou.

« Mizuki ? »

« Mmh »

Il ne prit même pas la peine d’enlever ses lèvres de ta peau. Il avait ce petit côté gamin, qui au fond te faisait craquer, et il était très têtu.

« S’il te plaît », tentas-tu.

« Maintenant, ça demande gentiment »

Il te donna un coup de langue et il se recula. Il te regarda malicieusement, et tu te demandas ce qu’il allait faire. Puis il tourna la tête et il se remit à son occupation du jour : lire.

Tu te remis donc à tes révisions. Tu ne te préoccupais même plus de Mizuki, jusqu’à que tu sentes quelque chose glisser sous ton pull. C’était quelque chose de froid, et tu lâchas un cri de surprise. Quelques frissons t’avaient parcourus.

Puis une petite tête toute mignonne sortit de ton pull. C’était Mizuki, changé en serpent.

« Pervers ! », t’écrias-tu.

Ta mère qui était au salon t’entendit. Elle ne connaissais Mizuki, et si elle apprenait, elle te ferait la misère. Tu commenças à paniquer en l’entendant monter. Tu regardas à droite et à gauche, mais tu ne trouvais pas de solution.

Mizuki rentra sa petite tête de serpent dans ton pull, et grâce à ton pull ample et dix fois trop grand, on ne voyait rien. Ta mère entra dans ta chambre.

« Tu as crié ? »

« Non, c’était à côté », mentis-tu.

« Ah d’accord »

Le serpent frotta sa tête contre ta poitrine, te donnant encore plus de frissons. Tu te retins de pousser un cri.

« Tout va bien ? », demanda ta mère.

« Oui ne t’en fais pas »

Il allait payer !

Elle te sourit, voyant que tu étais en pleines révisions, et elle s’en alla, refermant la porte derrière elle.

Tu attendis qu’elle soit bien descendue, et tu sortis le serpent de ton pull. Tu le jetas à l’autre bout de la pièce. Tu l’entendis se transformer.

«Ça fait mal ! », dit-il.

Il vint s’asseoir à côté de toi et il essaya de t’embrasser. Tu mis ta main sur sa bouche.

« Non, punis ! »

« Maiiiis ! »

« Tais toi ou elle va remonter ! », t’énervas-tu.

« Laisse moi t’embrasser alors », sourit-il.

Tu soupiras. Il avança son visage, tout content, et il t’embrassa. Tu te laissas alors aller dans ses bras, et vous vous retrouvâtes allongés sur le sol.

Il rompit le baiser, et il nicha sa tête contre ton cou.

« Tu es si chaude ! »

Tu lui donnas un petit coup sur la tête.

« Pervers », dis-tu tout bas.