OS (... x Reader)

Ciel x Reader (Black Butler)

Commande de solene44320

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« Si tu m’aimais plus qu’elle, tu ne te marierais pas à elle ! », crias-tu.

« Bien sur que non je ne l’aime pas, et tu le sais, mais je suis obligé ! », soupira Ciel.

« Laisse tomber, j’ai compris.. Je te soule, au revoir.. », dis-tu résignée.

Ciel était soit-disant obligé de se marier avec Lizzy, mais tu étais sûre que s’il le voulait vraiment, il pourrait se marier avec toi. Mais non, il ne faisait rien. Tu étais trop triste et épuisée pour te disputer encore.

Tu sortis de son bureau, et il te regarda faire, en colère.

Il n’avait jamais que cela en arrive là entre vous. Il t’aimait profondément, et il était perdu entre toi et ses obligations de comte.

Tu t’en allas dans ta chambre et tu fis tes bagages. Sebastian toqua à la porte et entra doucement.

« Mlle (T/NF), êtes-vous sûre ? »

« Oui Sebastian, cet idiot.. »

Tu lâchas un grognement.

« Je suis persuadé que le jeune maître vous aime »

« Alors pourquoi.. ? »

Tu te tournas vers le majordome en pleurs.

« Hein, pourquoi ? »

Il ne savait que répondre. Il ouvrit à la place les bras et tu te jetas dedans pour pleurer. Il te caressa doucement les cheveux.

Tu te détachas finalement de lui, essuyant tes larmes.

« Merci pour tout Sebastian, mais je vais m’en aller. C’est ce que j’ai de mieux à faire, je ne puis rester plus longtemps.. »

Sebastian vit ta mine triste et cela l’attrista aussi. Il regrettait ton départ, tes rires et tes cris lui manqueraient.

Mais il n’était pas celui à qui tu manquerais le plus.

Tu finis de faire ta valise, avec la noble aide de Sebastian. Il t’accompagna jusqu’en bas, respectant ta décision.

Les autres serviteurs t’ouvrirent la porte et te dirent au revoir. Le seul absent fut Ciel.

Il te regarda monter dans la calèche depuis son bureau. Les larmes coulaient silencieusement sur ses joues. Il savait qu’il ne pourrait jamais te rendre heureuse, car son âme était destinée à être dévorée par Sebastian.

Il ne voulait pas te faire souffrir, et il ne supportait plus de te cacher des choses.

Plus il y mettait fin rapidement, et moins tu aurais mal.

Durant le trajet jusqu’à chez toi, tu pleuras. Tu retournais chez tes parents. Ils t’accueilleraient à bras ouverts, et peut-être que là-bas, tu pourrais refaire ta vie, même si tu en doutais.

-Des années plus tard-

Tu t’étais mariée et tu vivais heureuse. Ton mari prenait soin de toi, et il était attentif.

Mais il n’était pas Ciel, et jamais tu ne l’aimerais autant que tu aimais le jeune comte.

Ciel resta dans ton cœur jusqu’à la fin de ta vie, et jamais tu ne pus l’oublier. Pour le comte, ce fut pareil, jusqu’à son dernier souffle, il pensait à toi.