Les chevaliers après avoir étaient tous ressuscités sont maintenant en paix avec Hadès et les autres dieux. Mais un jour, Camus, chevalier du verseau va recevoir un courrier qui va changer sa vie. Cependant celui-ci ne veut pas le lire, Milo, cheval...
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Bonjour ou bonsoir, et voila nouveau chapitre. Enfin la réponse : Qui a envoyé la lettre ?
Sur ce je vous laisse lire tranquille...
CHAPITRE 2
Ce n'est que lorsque les premiers rayons de soleil venaient frapper sans gentillesse sur le temple du verseau que Camus commença a lire avec attention la lettre :
« Mon petit Camus,
J'espère que tu vas bien comme toute les fois ou j'ai pus t'écrire je suis sûr que cette lettre sera perdu mais je n'abandonne pas, je grade l'espoir qu'un jour une de mes lettres te parviendra. Certain disent que je m'accroche à mon passé mais je garde en moi l'espoir que tu es toujours vivant.
Il y a quelque mois ton grand-père nous a quitté laissant derrière lui la volonté que l'on profite de la vie. Oui je le reconnaît bien là. »
Au fur et à mesure que sa lecture avançait Camus malgré son contrôle total de ses sentiments, ne pus empêcher une larme de roulé sur sa joue avant d'être absorbée par le drap qui couvrait le scorpion et le verseau.
« D'ailleurs j'en profite pour te dire que ta sœur est maman d'un petit garçon adorable ! Je sais que je parle beaucoup et pourtant j'ai tant de chose a te raconter ! Mon fils, le 14 août, ton père va avoir 55 ans, un âge qui se fête alors si tu as la chance d'avoir cette lettre cela nous fera tous énormément plaisir de te voir. Il y aura toute la famille. Et comme tout les ans nous t'attendrons dans lamaison de Normandie, dans l'espoir de t'entendre arriver. D'enfin rentrer à la maison. Une maison que tu as quittée si jeune, je pleure chaque jours qui passe de t'avoir laissé partir, mais en ton souvenir je ne me suis pas laissée abattre et même si le poids des ans commence a me courber le dos je vis pour ton souvenir, je ris pour ton sourire, j'admire les choses pour ton regard.
Tu sera toujours le bienvenue chez toi mon chéri.
Maman. »
Dans la lueur des premiers rayons du soleil. Camus malgré son sang froid inébranlable, était très sensible mais ça, on ne le savait que quand on avait brisé la banquise qui recouvrait son cœur. Bien sûr ce fut à ce moment que Milo décida de se réveiller une seconde fois.
Quand il vit Camus avec des lignes de lumière lui couler sur les joues, Milo se mit à cheval sur ses cuisses. Sans un mot il l'enlaça en mettant ses bras dans son dos et le serrait plus fort possible. Quand à lui Camus n'avait plus la force de se retenir et agrippa les cheveux du scorpion pour y enfouir son visage dans son cou afin d'étouffer ses sanglots.
Durant de longues minutes qui paressaient être des heures les deux amants restèrent enlacés. Ils ne se parlèrent même pas. Ils n'en avaient pas besoin, Milo savait de toute façon que Camus ne répondrait pas, alors le meilleur moyen de l'aider était de lui montrer qu'il n'était pas seul.
