chapitre 18

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Yoooo !...euh attendez je me trompe de texte...Bonjouuuur ! Et voilà voici le chapitre pas si attendu que ça qui sort enfin ! allez je ne m'attarde pas bonne lecture !


« -chevaliers ! Mais cher protecteur, excusez moi de vous réveiller ou de vous dérangez mais il y a réunion dans la grande salle du pope dans dix minutes, je compte sur vous pour être à l'heure mais sans armure cela sera inutile se n'est pas un conseil de guerre ! »Résona la voix mélodieuse de leur bien-aimée déesse dans la tête de tous les chevaliers d'or actuels.


« -maieuh pourquoi si tôt il est même pas dix heure ! Grogna Milo en se mettant en boule sous la couverture.

-ah mon avis c'est pour préparer le dîner de ce soir. »


Répondit Camus en essayant de tirer la couverture afin de réussir à tirer du lit son scorpion.Voyant que cela ne le mènerait à rien, il usa de beaucoup plus de fourberie. Le verseau se glissa sous les couvertures qu'il avait abandonné pour se changé, et commença à caresser de partout le paresseux, ce qui marcha puisque le-dit paresseux s'étala de plus en plus sur le lit.


Camus en profita pour mordiller la gorge du scorpion qui tourna la tête pour prendre les lèvres de son amant dans un langoureux baiser. C'est à ce moment que le chevalier du froid tira la couverture d'un coup.


« -putain Cam' !

-aller lève-toi ! »


Le pauvre grec se leva donc en grommelant son mécontentement après s'être étiré en baillant.


Les chevaliers arrivèrent avec vingt minutes de retard tous dans un état de pré-réveil mais ça Saori l'avait prévu donc elle arriva cinq minutes après que ses escla...euh protecteurs se soient assis mais ils durent se relever quand leur déesse arriva.


« -oh asseyez vous mes chers chevaliers ! »


Une fois assise, la déesse prit la parole.


« -très bien alors merci d'être venu bla bla bla, bon si je vous est fait venir c'est tout simplement pour vous répartir les taches pour ce soir, et par taches je veux dire le dîner et mettre la table.

-mais ce n'est pas les domestiques qui feront à manger déesse ? Demanda timidement Shaka qui retenait tant bien que mal Kanon qui était en train de se rendormir.

-eh bien non Shaka puisque je voudrais que ce soit vous qui prépariez le festin, ce sera plus drôle ! En plus je leurs ai laissé ces deux jours pour qu'ils puisses les passer avec leurs familles et amis. Alors par quoi commençons nous ? Camus ?

Bienvenue dans ma vie.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant