chapitre 6

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BONJOUR !! oui je sais je suis en retard... mais bon voilà j'avais la flemme de faire l'illustration donc voilà ce chapitre arrive en retard tant pis le principal c'est qu'il sorte ! Sur ceux je ne vous retiens pas plus longtemps bonne lecture !^^ 


Le parquet craqué sous son poids, tout était calme, paisible. L'escalier de bois lui parut faire énormément de bruit quand il descendit, la maison entière paraissait tellement grande sans personne pour la rendre vivante. Quand il arriva dans le salon, un grand froid s'empara de tout son être.


Oui, le verseau était vraiment très en colère. Le cœur de Milo battait à trois cent à l'heure dans sa poitrine. Mais il ne renonça pas, silencieusement il se dirigeait vers Camus. Les stores étaient fermés, aucune lumière n'illuminait la pièce à part l'aura glacial qu'émanait le verseau.


Doucement Milo s'approcha, puis s'assit sur le canapé-lit.


« -trésor ? »


Murmura le scorpion, très bas. Le murmure résonna dans la pièce silencieuse comme des paroles dites à haute voix.


Camus ne broncha pas. Le verseau ne dormait pas non plus mais ne voulait pas faire face à Milo, une réaction un peu enfantine de sa part mais c'est comme ça qu'il avait toujours réagit après une dispute avec Milo. Son corps entier frémit quand le scorpion posa une main chaude sur son épaule dénudée.


Camus se décida à se retourner, puis il ouvrit de grands yeux remplis de surprise. Le maître des glaces s'était attendu à toute les réactions que pouvait avoir Milo, mais pas à celle-là. Alors qu'il pensait retrouver Milo avec une expression de colère, ou de désolation, il trouva Milo, le visage remplit de larmes et une immense tristesse se déverser dans ses yeux.


Avant même que Camus n'ai put dire un mot, le scorpion s'était jeté sur lui en l'enlaçant tel un mignon petit poulpe. Le scorpion plongea son museau dans le coup du verseau et le serra très fort contre lui.


« -j'suis... désolé Cam', j...je sais j'suis nul et j'te mérite...pas m...ma...mais... »


Sanglotait le pauvre Milo contre Camus qui se détendit progressivement dans l'étreinte du scorpion.Il le repoussa doucement et souffla :


« -idiot, moi aussi je dois m'excuser, je me suis aussi emporter...

-nan Cam' c'est ma faute,je...j'aurai pas du... »

Bienvenue dans ma vie.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant