Ciel de couleurs

Note de fin

Ecrire une première fois ce livre a été clairement libérateur de beaucoup de choses, parce qu'à cette époque reculée, Valentin et moi, on se ressemblait énormément. Le corriger et le réécrire sous certains aspect m'a littéralement fait retomber amoureuse du personnage, et m'a rappelé pourquoi j'avais commencé cette petite histoire en premier lieu. Elle change beaucoup de Ciel d'été par sa longueur et son format, par sa narration et ses personnages. Mais elle lui est complémentaire, parce que je vois qu'on voit Valentin comme quelqu'un de joyeux, non comme quelqu'un de dépressif (si vous voulez en savoir plus, je vous invite à aller lire le livre, si ce n'est pas déjà fait.) 

J'ai pu également développer les amis de ce cher blond, qui ne sont décidément pas assez mis en avant, ainsi que Curtis. Même si c'est une personne fort peu sympathique, c'est un personnage que j'aime particulièrement, parce qu'il n'est pas binaire dans sa façon d'agir et de penser. Parce qu'il peut être mignon tout en étant un connard sur d'autres aspects. Parce que ce qu'il faut retenir de lui, c'est qu'il est pris dans un gigantesque mal être, et que ça le bouffe complètement. C'est sans doute l'un de mes personnages le plus malheureux, en réalité. Peut-être qu'un jour, quand je n'aurais plus milles idées, je creuserais ça quelque part. 

Mais surtout, l'aventure de Valentin ne va pas s'arrêter là. Quand j'aurais fini de bien rédiger Ciel d'été, je débuterais la réécriture de Ciel étoilé, qui est la même histoire, sous le point de vue d'un certain blond. Ca ne va pas être facile, mais bon, on va s'accrocher, n'est-ce pas ? 

Moi, je vous remercie d'être toujours au rendez-vous, pour vos lectures, vos votes, vos commentaires. C'est vous qui portez les histoires que je vous livre, qui les faites vivre. Alors merci, merci beaucoup. 

A.