《 C'est la paix ce soir, faut une autre guerre 》
Sofiane ft. Nihno ft. Hornet La Frappe - Longue vie
ALYA
Le lendemain...
Au travaille, on parlait du match, d'hier. Mdr, ils ont tous le seum les Algériens. Donc, j'ai passé la journée à parler avec les Marocains et les personnes des autres origines car ils voulaient pas me parler jusqu'à la fin de la semaine. On est des gamins, ptdr.
Le soir, on avait mangé chez le frères de Shems, Faruk ( ils habitent sur Panam, eux aussi ). D'ailleurs avec sa femme ils ont eu des jumelles, Zineb et Zina. Après, pour le viol, je sais pas si elle lui a dit et vu qu'il n'est pas venu me voir pour me niquer, je pense qu'elle ne lui a pas dit mais bref.
On était dans le métro ( ouais parce que notre voiture à un problème et elle est entrain de se faire réparer ) et j'avais faim, donc je suis allé dans le distributeur avec Khalifa.
Moi : Tu veux quoi ?
Khalifa : Ça !
Je lui achete ce qu'il veut et Kassim vient me voir, la même que Khalifa, donc je paye et il cours vers son père et son frère. Moi, je range mon porte-feuille mais je sens qu'on me tire derrière le ditributeur avec une main avec un mouchoir sur ma bouche pour pas que je cris ou... je sais pas, j'me sentais pas bien.
Les gens, ils regardaient mais réagissaient pas. Wesh, les gens, ils s'en foutent ! Il t'arrive un truc de ouf devant eux, ils réagissent même pas ! Putain, ils m'saoulent !
J'avais mal à la tête, j'étais sonné, je savais plus quoi faire. On me tirait je ne sais où et moi j'ai suivis parce que je comprennais presque plus rien. On me busculait, je marchais pas droit. On dirait une bourré !
J'appelais Shems, mes enfants mais ils répondaient pas.
Moi : Shems...? Kassim, Khalifa...? Ouledi...!
On pris un train, on est allé dans un parking et on m'a emmené je ne sais où et nous sommes remontés dans un train.
On m'a remis un mouchoir devant ma bouche et mon nez et...
TROU NOIR
VOUS LISEZ
Alya -《 Toutes mes roses ont fanées... 》
RomanceJ'ai toujours été le genre fille qui rêve de son prince charmant, de comptes de fées. Mais à force de chercher le bon, j'suis tombé sur un mauvais. Et, en perdant les miens, j'me suis retrouvée à la rue, là où Iblis m'a appellé. Comme une conne, je...