La fille que je suis [RANTBOOK] - Terminé

Partie sans titre 64

(Ceci est un... je ne sais pas XD)

Elle se déhanchait, faisait voltiger sa chevelure, battait des cils.

Elle adorait sentir son regard posé sur elle.

Elle adorait son admiration, son interêt pour elle.

Il reste assis, mais il a une belle distraction.

Il aime la regarder, il la trouve si belle, là, dans le feu des projecteurs, si libre et majestueuse.

Il aime savoir qu'elle arrive à le séduire tout en restant naturelle.

Ils ne rêvent que d'une chose, se coller l'un à l'autre, être ensemble.

Il voudrait de lever pour aller danser avec elle.

Elle voudrait aller sur la scène et chanter pour lui.

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(Ceci n'a rien a voir. Les deux textes ci-dessous sont des extraits de ma nouvelle histoire : Chimères Éphémères sur le thème de The Legend Of Zelda) 

Le jeune homme rejeta la tête en arrière et sourit, tout en me lançant un regard de défi.

Je souris à mon tour et l'observais, tendis qu'il tournait son visage vers le palais.

A ce moment, je sut que rien ne pouvait plus nous arrêter. Mêmes si peu de temps s'était écoulé depuis notre rencontre, la détermination n'en était que plus forte. Si c'est un rêve, je veux le vivre jusqu'au bout, je ne baisserai pas les bras.

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Je caressais sa chevelure. Son visage était rougit et son front était trempé. Ses yeux fermés, je ne savais pas à quoi il pensait. Par à quelque chose d'agréable, en tous cas. Je le voyais bien à ses lèvres, qui tremblaient violemment. Ses poings se crispaient et se décrispaient au fil des minutes, et son corps ne cessait de surchauffer. Encore une fois, l'envie irrépressible de poser mes lèvres sur les sienne m'étouffa. La détermination et la volonté au plus bas, je n'essayais même pas de réfréner mon envie. Je caressais son visage et approcha mon visage du sien. La chaleur émanant de lui commença à me gagner, et je la sentais me monter au visage. Mes lèvres n'étaient qu'a quelques millimètres des siennes. Soudain, sa main attrapa mon poignet et le serra très fort. Puis il ouvrit les yeux. Il les plissa et je ne bougeais pas, surprise. C'est alors que je me souvins de la faible distance qui séparait nos visages. La chaleur se fit plus intense et son regard de même. Il plissa les yeux, et je pus sentir son souffle près de mon visage. Sa main serrant toujours mon poignet, il la ramena près de nos visages. Instinctivement, j'entrouvris les lèvres. Il me fixait droit dans les yeux, et je ne sus dire ce qu'il pensait. C'était...indescriptible.