/Je tiens juste à dire que c'est un texte que j'ai écrit il y a un peu plus d'un an, mais comme je le trouve plutôt réussi, j'ai décidé de le poster quand même ^^/
Des fois, je me méprends sur tes intentions. Par fois je me fait des films sur toi et moi. Des rêves beaux et improbables, tirés de mon imagination débordante.
Je ne t'aime pas. Mais tout est contradiction. Qui plus que toi pourrais combler ce rôle ? Personne je crois. Tu me correspond. Infaillible. Juste magnifique. Quoi de mieux que la personne qui nous fait rêver ? Rien. Sans attaches, rêves latents et impatients, inaccessibles tourments.
Dire que tu me manques serait un mensonge. Mais dans les quelques secondes qui suivent le moment où tu descends, j'ai bien l'impression que mon cœur se brise tellement il pèse plomb. Mais je ne pense plus à toi après ça.
Tu es là représentation parfaite du présent. Tu n'es dans mes pensées et dans les fibres de mon corps que quand je te sais près de là.
Sinon tu n'es plus rien.
C'est beau, n'est-ce pas ? C'est vrai que j'aime cette sensation d'exclusivité, rare et pourtant omniprésente. J'aime ce que ça représente. J'aime tout ça. Sauf toi.
Parce que je ne t'aime pas. Absolument pas. Étrange, n'est-ce pas ?
Je souffre et je ris, j'aime et je déteste seulement quand tu es près de moi.
Franchement, le cas est de dire que je t'ai dans la peau. Plus que toi y aura jamais. L'intensité est partagée. Je vois aussi comment tu me regardes, quand les regards des autres sont rivés sur les dramas de la vie. Je le sens, tu le sais aussi. Finalement tu n'ignore rien de ce que je pense.
Un miroir et deux opposés. Voilà ce qu'on est. Mais ça me va. Parce que je sais qu'il n'y a que toi.
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La fille que je suis [RANTBOOK] - Terminé
Não Ficção08/2021 - Bon je laisse ça publié même si ça date vachement et que j'assume pas trop ce que j'ai pu écrire dedans, mais des fois j'aime bien le relire pur rigoler et me souvenir de la bonne époque (dire que j'ai commencé à écrire ça en 5e et que mai...