Chapitre 23 :

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Elle voulu ensuite m'embrasser et j'allais répondre à son baiser mais en fermant les yeux, c'est comme ci j'apercevais ma mort. En un déclic, je poussais brutalement Tatiana de moi. Elle atterit au sol.

-CA SUFFIT ! ARRÊTES DE ME PROVOQUER ! HABILLES TOI ET SORS TOUT DE SUITE DE MON BUREAU. TU ES RENVOYÉE ! TU ENTENDS ? Hurlais je.
-Mais qu'est-ce qui te prends tout d'un coup espèce de salop ? Demande t'elle après s'être levé en me donnant une gifle.
-Je.ne.veux.plus.te.voir. Précisais je mot pour mot.

Elle portait sa robe et sortit comme une furie.

Je me laissais tombé par terre, à genoux et je levais mes mains au ciel.

-Ya Allah. Pardonnes moi. Pardonnes moi, je t'en supplie. L'implorais je sincèrement. Je suis faible et j'ai tellement de vive ! Ya Allah guides moi, ne me laisse pas sur cet égarement évident. Sauves moi de l'enfer dans lequel je me précipites. Sauves moi. Je ne suis qu'un homme Ya Rabbi, je suis naturellement un pêcheur. Pardonnes moi.

On toqua à ma porte alors je me mis debout avant de donner l'ordre d'entrer.
Une employée fit irruption dans la pièce.

-Monsieur ! La réunion se tiendra finalement à 15 heures.
-Pas de soucis Mademoiselle Fall. L'entreprise pétroliere est elle d'accord ?
-Oui, c'est elle-même qui a tenu l'heure.
-D'accord. In Sha Allah.
-Bien Monsieur.

Je suis resté concentrer sur les dossiers jusqu'à la deuxième prière de la journée et juste après l'avoir effectué, Mademoiselle Gueye revient presque en courant sans toquer à la porte.

-Dis donc, est-ce une manière d'entrer dans le bureau d'un principal ?
-Non. Excusez moi mais c'est que ...que....
-C'est que quoi ?
-Venez voir par vous même sinon vous ne comprendrez pas.

Je la suivis sans broncher et elle m'emmena devant l'écran tactile servant à compter nos clients et nos chiffres. Arrivé devant celui-ci, je vis qu'il n'y avait plus aucun client sur la télé et pour faire court, l'argent de l'entreprise n'existait même plus. Le chiffre 0 était affiché de partout.

-Tatiana ! TATIANA ! ELLE EST OÙ ?
-Elle est parti Monsieur ? Pourquoi ?
-C'est à cause d'elle. J'avais complétement oublié qu'elle connaissait tout de cette entreprise et même les codes les plus secrets. Je l'ai renvoyé sur un coup de tête et elle s'est vengé. Expliquais je à bout de colère.
-Calmez vous Monsieur !
-NE ME DIS PAS DE ME CALMER PUTAIN ! MON ENTREPRISE EST ACTUELLEMENT EN FAILLITE COMME TU PEUX LE VOIR. NE ME DEMANDES PAS DE ME CALMER. Hurlais je en sortant de l'entreprise pour aller directement chez Tatiana.

Une fois chez elle, je demandais gentiment à la voir pour n'eveiller aucun soupçon. Une fois qu'elle fut devant moi, je ne pu m'empêcher de vouloir lui faire sa fête mais ses gardes me retenirent.

-LÂCHEZ MOI ! JE VAIS TE TUER ESPÈCE DE PETITE EFFRONTÉE. JE VAIS TE TUER.
-Qui c'est le petit imbécile qui crit dans ma propriété ! Dit un homme en entrant au salon, c'était le gouverneur.
-Voici l'homme dont je te parlais Papa. Lui dit Tatiana avec un sourire.
-Alors c'est toi l'idiot qui s'est joué de ma fille. Rigole t'il en me flanquant un coup de poing.

Je me mis à tousser instantanément.

-Qu'est-ce que tu veux de plus ma chérie ? Demande t'il à sa fille.
-Rien d'autres papa. Je me suis déjà vengé.
-Tatiana s'il te plaît arrêtes ces bêtises. Rends moi ce qui m'appartient. Je ne veux pas avoir à te poursuivre en justice.
-Me poursuivre en justice ? Moi ? La fille du gouverneur ? Essaie juste un peu et ta situation sera plus bas que terre.
-Tatiana s'il te plaît. Tu m'aimes, comment peux-tu me faire ça ?
-Il y a une différence entre désirer et aimer. Sortez le de chez moi. Ordonne t'elle à ses gardes.
-Et que je ne te revoie plus rôder autour de ma fille ! Ajoute son père.

L'insaisissable.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant