Chapitre 34 : Meurtre chez les Aurors

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Voilà le chapitre de vendredi dernier, vraiment désolée pour le retard les fautes par ce que je l'ai écrit vite, blablabla...

Bisous, j'espère pouvoir poster le prochain vendredi mais ça va être dur par ce que j'ai mon spectacle de danse et une répétition pour autre chose mais je vais assayer au pire il sortira un peu avant.

Voili voilou je vous fait de gros bisouuuuus !

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C'était une journée pluvieuse du mois de mars, comme toutes les autres, une journée qui s'annonçait banale.

Cette journée avait commencé normalement, le matin, tous avaient pris leur petit déjeuné dans la grande salle, et tous étaient allés en cours, même si certains n'en avaient pas eu envie.

Mais à l'heure du déjeuné, seules quelques personnes c'étaient rendues compte de l'absence de certains Serpentards.

Alors que tous mangeaient tranquillement, on entendit une détonation lointaine et tous les élèves, professeurs et fantômes présents levèrent la tête de leurs occupation. Personne ne parlait, tous se consultaient du regard, se demandant s'il fallait paniquer ou non.

Soudain, de fortes bourrasques de vent et des bruits caractéristiques de battements d'ailes leurs parvinrent. Ce n'était pas le matin, pourquoi les chouettes et les hiboux viendraient-ils ? Quand les rapaces entrèrent dans la grande salle, tous furent très étonnés, mais ils se rendirent vite compte qu'ils s'étaient passé quelque chose de grave en voyant leurs animaux de compagnie voler en désordre vers leurs propriétaires, avec une précipitation inhabituelle, comme s'ils cherchaient à à fuir quelque chose.

Plusieurs cris d'effroi retentirent, certains hiboux étaient amputé d'une patte, d'autres avaient les yeux crevés, les plumes de beaucoup étaient carbonisées, ils avaient des ailes cassées ou des brûlures à certain endroit. D'autres élèves ne voyaient pas leurs rapaces revenir. Romulus, le hiboux de Remus, avait une aile cassée et les plumes de sa queue était brulés aux extrémités. Les hiboux de Lily, James et des jumeaux n'avaient rien, tandis qu'on ne voyait pas revenir la chouette de Mike. Plume aussi était introuvable, pourtant, il aurait du se démarquer.

- Je veux du calme s'il vous plaît !

Tous se turent, même les oiseaux, comme s'ils savaient que l'homme devant eux était un personnage important qu'il fallait écouter et à qui il fallait obéir.

- Je vais aller voir ce qu'il se passe. Tous le monde dans sa salle commune immédiatement, les hiboux et chouettes doivent rester dans la grande salle, ils seront pris en charge par le professeur Brulopot et Hagrid.

Il fit un imperceptible signe de tête à James et Joanne puis dit quelques mots aux professeurs Chourave et McGonagall puis disparut par la porte de derrière. Les deux jeunes membres de l'ordre se regardèrent et James montra du regard la porte où des centaines d'élèves se précipitaient déjà.

Ils sortirent de la grande salle, accompagnés de leurs amis et firent tous les deux semblant d'être pris par le mouvement de la foule pour pouvoir s'éclipser discrètement sans que personne ne les remarque. Ils se rejoignirent à mis chemin de la volière et coururent pour arriver le plus vite possible. Une ombre attira le regard de Joanne à cinq minutes seulement de la volière, la personne n'eut pas le temps de pointer sa baguette sur elle que Joanne l'avait déjà pétrifié. Elle le regarda et le dissimula, toujours pétrifié, puis ils laissèrent Ethan Bole, car c'était bien lui, à son triste sort.

Quand ils arrivèrent enfin à la volière, le spectacle les glaça d'effroi. Tous était en ruine, et du sang tachait les pierres, les corps des chouettes et hiboux qui n'avaient pas pu échapper à l'explosion étaient par terre, sans vie. Joanne cherchait des yeux ce qui pourrait être son faucon. Elle aperçut la chouette de Mike, celle-ci était enfouit sous des gravas, elle ne vivait plus, le cœur de Joanne se serra en pensant à la réaction de Mike lorsqu'elle le lui annoncerait. Elle ne voyait toujours pas son faucon, la panique l'envahit elle avança dans les décombres quand elle entendit un cris perçant en direction de la forent interdite. Elle vit Plume, un lapin bien serré dans ses serres, qui rentrait vers la volière. Elle pleura de joie quand le rapace se posa sur son épaule. Elle passa une main dans ses plumes et lui dit :

Après les années d'innocence (Maraudeurs / terminée)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant