8_ Une envie.

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PDV Chloé

Samedi 8 novembre

- Alex... Je ne suis pas morte. Me plaignis-je.

- Chloé t'es gelée ! Tu vas tombée malade !! T'aurais dû m'appeler pour que je vienne te chercher ! S'écria t-il.

- Tu n'es pas mon père. Alors calme-toi.

- Ton père t'aurais gueulé dessus beaucoup plus longtemps que moi. Dit-il plus calmement.

- Tu peux me prêter un T-shirt ?! Et... un jogging aussi s'il te plaît.

- Oui. Tu rentres chez toi après ?

Je secouais la tête.

- J'ai pas envie de la voir.

- Va te changer. Tu vas être enrhumée.

Je soupirai et entra dans sa chambre. Je pris les vêtements dans son placard. Je me déshabillais et mis le haut. Deux grandes mains se posèrent sur mes hanches.

- T'es vraiment bonne.

- Monsieur soignez votre langage. Dis-je choquée.

- Je te veux.

- Non, non et non. Ce n'est pas bien.

- Tant qu'on en a envie tout les deux, je vois pas où est le problème.

- Je veux pas.

- T'en est sûr.

Je hochai la tête.

Il me plaqua contre le mur et frotta son bassin contre le mien. Je sentais une bosse se former au fur et à mesure qu'il se bougeait contre moi.

- Alex. Non.

Il passa sa main sur ma cuisse, approchant dangereusement mon intimité. Il mit un doigt.

- T'es déjà mouillé. Murmure-t-il.

Non, Alex... c'est pas bien putain... un deuxième doigts entra en moi.

- Plus vite... gémis-je.

Comme quoi ma conscience et moi on est jamais d'accord. Une chaleur nait dans mon bas ventre. Ses doigts tournoyaient en moi. Bordel qu'est ce que c'est bon. Il accéléra ses vas et vient et me murmurait des choses pas très saines.

- Vas-y bébé, jouis pour moi.

Il continua sa délicieuse torture.

- Han... Alex... gémis-je de plus en plus fort.

- J'adore quand tu gémis mon prénom.

J'atteignis l'orgasme trop rapidement. Beaucoup trop vite. Moi, Je le voulais en moi.

- Je me veux dans ta bouche.

- Alex...

Il retira ses doigts. Le coeur battant de plus en plus vite. Je déboutonnai son jean et je restai bloquée, le regardant dans les yeux. Je ne pouvais pas faire ça. 

- Je ne peux pas.

- Pourquoi tu ne peux pas ?

- C'est au dessus de mes forces.

Je baissai les yeux, ne pouvant plus affronter son regard confus. Il me prit dans ses bras. Pourquoi je ne suis pas rentrée chez moi ?? J'aurais pu pleurer seule. Mais là, je dois respirer et me calmer.

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