Sex friends

14_ Lui.

PDV Chloé

Vendredi 12 décembre

La journée de hier restera gravé dans ma mémoire Alex et moi on a passé notre journée à faire "l'amour" sans amour -M D R- on a baisé quoi. C'était juste p-a-r-f-a-i-t enfin presque je tremblais beaucoup et avais des petits moments de blocage à part ces petits détails, on s'est bien amusé. Ma mère ne m'a même pas cherché et je ne m'en plaint pas, sauf que mes soeurs restent seules c'est ça le problème. Enfin son problème ! Là je suis dans la cour avec le mec que j'aime mais qui ne le sait pas. J'essaie de lui convaincre de sécher le prochain cour et de venir avec moi au centre commercial. Pourquoi ?! Moi même je ne sais pas mais, je veux sortir avec lui ce soir je peux pas (A), demain chui avec Alex et dimanche, partout est fermée.

- S'il te plaît.

- On mange ensemble ce midi ?

- Okay.

- Alors d'accord. Me sourit-il.

- Youpiii !!! M'écriais-je.

On sortit du lycée et on se dirigea vers le centre-ville. Nos mains se frolèrent et j'eus une décharge électrique dans tout le bras. Il entremèle nos doigts et je souris. Ça me fait vachement plaisir qu'il me donne la main.

- On va où ?

- Je sais pas.

- On peut rester ici.

- Debout ?!

- On peut chercher un endroit pour s'asseoir.

- T'as vu cet oiseau ? Dis-je en montrant le ciel du doigts

- Ouais, il était vraiment magnifique, fit-il en se moquant de mes yeux qui admiraient toujours l'oiseau.

- Vas-y moques-toi de moi.

- Non, mais tu le regardais genre c'était le mec le plus beau d'la Terre. Rit-il.

- Bah non le mec le plus beau au monde c'est...

Toi.

- C'est ?

- Zayn Malik.

Sa tête se décompose. Ahah xDD.

- Tu aurais dû voir ta tête. M D R. Rigolais-je.

Il soupire.

-Pff. Je ne vois pas ce que tu le trouves.

- Il est beau, il a un corps de rêve, il a beaucoup de tatouages, j'adore les tatoos et il a une voix à couper le souffle. Rêvais-je.

- Moi aussi je suis beau...

- Tu ne fais pas le poids contre lui. Le taquinais-je.

- Bon et si on arrêtait de parler de lui. Dit-il visiblement vexé.

Je hochai la tête. Une dizaine de minute passa et on trouva enfin un banc libre. On se dirigeait vers celui-ci mais un couple s'y installa avant nous. Je soupire et continue de marcher.

- On a pas de chance. Rit-il.

- Ouais.

- Et si on s'asseyait sur ça. Dis-je en montrant des rectangles jaunit par la pluie et le soleil.

Il rigola mais on s'avança quand même vers les deux rectangles qui étaient presque collé, je ne sais pas comment ça s'appelle.

- Il fait chaud. Dis-je.