Sex friends

15_ Une complicité effrayante.

Dimanche 15 décembre

PDV Chloé

- C'est moi.

Je soupirais de soulagement. Ce n'étais pas lui. J'ouvris la porte et sautai sur Alex.

- Pourquoi cet élan d'affection ?

- Je suis contente de te voir.

Nous entrâmes dans la maison et il me déposa à terre.

- Tu faisais quoi ?!

- Je dormais, mentis-je.

- Ah je comprends pourquoi t'es habillée comme une clocharde. Rit-il.

- Hé ! Je frapais son bras. C'est méchant.

- Ouais. Excusez-moi personne qui vit dans la rue vous êtes mieux habillé qu'elle.

- Arrg! Ta gueule, Alex si t'es venu ici pour me faire chier tu peux rentrer chez toi !

- T'énerve pas comme ça mon coeur.

Je lui montrai mon magnifique majeur.

- Va te faire foutre!

- Avec toi, quand tu veux.

Je soupirais et partis m'allonger dans le canapé et remis la couverture sur moi.

- Tu vas dormir ?!

- Non.

- J'ai faim.

- Fait comme chez toi.

Quelques minutes il vint devant moi.

- J'ai commandé une pizza.

- Okay.

****

J'étais toujours allongée la tête sur les cuisses d'Alex. On regardait un film étrange, dont je ne me rappel plus le titre.

- Elle va le tuer.

- Non, elle l'aime trop pour ça, rétorqua Alex.

- Pourtant elle met de la poison dans son thé.

- Ouais, elle a une drôle de façon de montrer son amour.

- Elle ne l'aime pas !

- Qu'est ce que t'en sais toi sur l amour?!

- Si elle aimait David elle serait heureuse de le voir, elle penserait à lui tout le temps, avant de s'endormir elle penserait à lui, elle sourirait comme une conne quand David serait près de lui et qu'elle serait vraiment timide quand elle est avec lui. C'est ça que j'appelle aimer quelqu'un.

- Et tu as pensé à lui, quand tu as dit ça ?!

- Ouais.

Il soupira.

- Où est le mal ?! Je l'aime c'est pas....

Il me coupa en m'embrassant.

- On ne t'as jamais dit que tu parlais trop?!

- Nan, jamais.

Je reposai mes lèvres sur les siennes. J'ai toujours voulu que quelqu'un m'embrasse quand je parlais beaucoup.Il se décola de moi. Le film se termina et oui, la femme a tué l'homme pour son argent. Vraiment bête. J'éteignis la télé.