VIII

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Salem et bonne lecture










































































































<<je n'oublie rien, je ferme les yeux et encaisse.
Le jour où tout sortira, ils n'auront que leur yeux pour pleurer>>














































































Tree years ago






















































































































Je suis dans cette misérable chambre. Enchaîné au lit comme la chienne qu'il veut que je sois, comme la chienne qu'il me voit être. Ça fait deux jours qu'on est rentré de ce motel qui me laissera à jamais des cicatrices.

Le bâtard qui prétend être mon père ne ma pas touché depuis. Il voulait que je récupère. Que sa salope soit prête et performante pour la soirée de ce soir. Ça me dégoûte et me répugne mais bon c'est la vie.

Non je rigole... j'essaie de prendre un ton taquin en espérant que tout ça ne soit qu'un foutue rêve mais c'est chaîne a mes pieds me rappellent sans cesse ce qu'il veut me faire... ce que je vais devoir endurer.

J'attend patiemment qu'il vienne me chercher. Ce qui ne tarde pas vus qu'il rentre dans ma chambre un verre à la main. Il se rapproche du lit et s'accroupit pour être en face de moi.

Lui:ouvre la bouche.

Je secoue la tête de droite à gauche.

Lui:j'ai des invité qui vont venir il serait vraiment dommage d'abîmer la marchandise alors soit une gentille fille et ouvre ta bouche.

Je secoue la tête une nouvelle fois. Ce qui à apparemment déclencher sa colère. Il saisit ma mâchoire qu'il ouvre de force et enfonce je ne sais quoi à l'intérieur puis il la referme. Il bouche mon nez et maintien ma mâchoire fermé me montrant ainsi que je n'ai d'autre choix que d'avaler sa merde. Et j'imagine que c'est de la drogue. Histoire que je sois plus docile. Que je ne m'emporte pas contre ses invités. Qu'il n'est pas à se plaindre d d'la marchandise... Qui dit plus docile dit forcément plus d'argent pour lui

La drogue commence à faire son effets, je me met à rire pour un rien et à imaginer que je suis la fée clochettes. Je vois des milliers d'étoiles autour de moi, je me revois petite et insouciante, jouant avec les enfants de mon âge... la vie était si belle, si parfaite.

Il me détache du lit et m'amène dans la douche. Il me fait prendre une douche en profitant bien-sûr pour me toucher. Il m'amène ensuite dans le dressing et choisit juste une père de cuissarde en cuire.

[II] Rien N'est Plus Douloureux Que La Vengeance D'une FemmeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant