[II] Rien N'est Plus Douloureux Que La Vengeance D'une Femme

XII

Salut la miff comment vous allez?

<<t'as détruit ma vie, détruit ma vie.
Ma vie...
Triste vie>>

Pdv d'Arianna

🔞 le premier match de cette saison😏🔞

Il m'embrasse avec une telle douceur que....

C'était kiffant... j'aimais ce qu'il me faisait, j'aimais la sensation que sa bouche me procurait et ça m'effrayait.

Cette petite voix dans ma tête me rappela qui il était, ce qu'il avait fait et pourquoi j'étais ici.  Il m'embrassa et j'essaya de le repousser mais c'est mission impossible vus la force qu'il a.

Il me plaque contre le premier mur qu'il trouve et met sa main droite sur la cambrure de mon dos et l'autre sur mes fesses. Il embrasse ma mâchoire puis descend à mon cou et remonte à mon oreille.

Hakim: je vais te porter.

Et avant que je comprenne ce qui se passe, je sentis ses deux mains se posés sur mes cuisses, pour ne plus sentir le sol sous mes pieds. Il pris mes cuisses et par je ne sais quel miracle me fit enroulé sa taille de mes jambes.

Il replongea sa tête dans mon cou et s'en suivie une succession de suçon. Il mélangeait douceur et brutalité. Et c'était..... Est-ce normal de kiffer ce qu'il me fait?? Je sais pas. D'un côté j'ai honte de ressentir ce que je ressens mais d'un autre côté j'ai juste envie de profiter du moment. S'il peut être le premier homme à réussir a me donner du plaisir je culpabiliserais après de l'avoir ressenti.

J'aime ce qu'il me fait et j'ai l'impression qu'il l'a compris.

Hakim:arête de réfléchir et apprécie.

-mais....

Hakim:arrêt de penser avec ça.

Il touche mon front pour indiquer mon cerveau.

Hakim:et pense avec ça.

Il appuie sur mon entre jambe.

Je....

Oh et puis merde pour une fois que mon viol se passe bien pourquoi me plaindre maintenant.

Il me dépose sur le lit et reste quelques seconde à me regarder.

Hakim:je vais te retirer tes chaussures.

Il se met a genoux au pieds du lit et commence à me retirer mes chaussures, il se met à parsemer mon corps de baisers en partant de mon  orteils jusqu'à ma cuisse me procurant un nombre incalculable de frissons.