Chapitre 22

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Olympe

Assise a la grande table de la salle a manger, je peux sentir la haine brûler de Lecka. J'ai beau poser ma main sur sa cuisse, lui montrant que je suis là, rien ne l'a détourne de ses frères. Deux hommes dont la puissance transpiré de leur corps. Des corps musclé, prêt a broyer la première personne qui leur manquerai de respect. Seulement l'un d'eux, le loup noir, semble avoir du mal a tenir en place. Leur transformation en humain leur est extrêmement douloureuse au vus de ce que je ressent, mais le dénommé Sköll cache plutôt bien sa douleur contrairement a son frère.
Fenrir se gratte la gorge, venant briser le lourd silence qui s'était installer parmi le groupe.
Le roi souris, se levant.
"Lecka je suis sérieux lorsque je te dis qu'il s'agit là de tes frères aînées.

- On ne se ressemble pas. Grince mon amie, croisant ses bras.

- Vous n'avez pas la même mère, c'est vrai mais...

- Mais je pensai que les dieux t'avait punis d'enfant ! Faisant de moi ta fierté. Tu n'as pas respecté maman, et tu m'as mentis durant toute ces années. La colère dégouline des mots de la Princesse.

- Ils sont nés avant toi, je n'ai pas salit la mémoire de ta mère. Et tu sais que j'ai eu une vie avant de devenir humain, et Lycanthrope. J'ai tué sans raison, Lecka. Le ton de Fenrir s'est durcis, faisant souffler sa fille.

- Aller petite sœur, je suis sur qu'on vas bien s'entendre ! S'esclaffe Hati, venant enlacer sa sœur.

Lecka se défait aussitôt de l'éteinte, faisant s'envoler le lourd corps de son ainé.

- Et bien quelle force ! Ris Le loup sombre.

- S'il vous plais. Grogne Fenrir. Sköll, je vous pensez mort depuis des siècles !

- Ce fut le cas. Soupira le loup, s'enfonçant encore plus dans son siège. On étais paisiblement enterré dans les enfer, mais ta très cher sœur a décidé de nous ramener à la vie. Et sans compter le magnifique cadeau qu'elle nous a fait. Ce corps répugnant me démange. Siffle-t-il, agacé.

- Ne vous enflammer pas, jeunes Lycanthrope. Nous sommes les seuls capable d'être tué et ressuscité à volonté. Ricane Hati, de nouveau assis à table.

- C'est faux. Soupire Fenrir. Hell vous a transplanté la pierre de soleil et de lune. Si elle est détruite, vous mourrez définitivement. En tout cas, je suis heureux de vous revoir. Mes fils."

Sköll semble se détendre, acceptant une étreinte de son paternel. Hati ne tarde pas à les rejoindre, faisant fuir Lecka. Je soupire, cette tête de mule va me faire avoir des cheveux blanc avant l'âge. Alors que je me lève pour la suivre, une main me retiens par le bras. Je me retourne, foudroyant Merick du regard. J'aperçois Alycia sortir de la pièce, alors que je suis rapidement remis a ma place par le Prince Blanc. Je grince des dents, enfonçant mes griffes dans le bois de ma chaise.

"Tu as l'air d'avoir fait naître un sacré numéro, père. Souris Sköll.

- Ne lui en voulais pas, elle saura apprendre à vous connaître avec le temps. Je lance, Fenrir confirmant mon intervention.

- Qui es-tu jeune louve ? Lache le frère blanc, humain l'air. L'odeur de ma sœur inonde la tienne.

- Je pense ne pas me tromper si je m'aventure à dire que les deux fricote ensemble, Sköll. Ris doucement Hati.

- Je suis seulement la gardienne d'Ayleckalen. Je réplique, géné.

- Et vous êtes lié d'une façon particulière, si j'en crois vos marques rouges. Souligne le frère blanc.

Comment a-t-il pus les voir ? Nous avons veillé à les dissimuler...

- En tout cas, enchanter de faire ta connaissance. Le frère sombre viens me serrer l'avant bras, suivis par Sköll.

- J'espère que vous ne nous en voudrais pas, mais il serait apréciable pour nous d'aller dormir. La route à était longue."

Sur ces mots, Fenrir escorte ses fils dans le quartier des chambres du palais. Je me retrouve, seule, attablé en face du Prince Blanc. Je traverse la table d'un bond, venant empoigné sa gorge. On tombe à la renverse, et le loup vient m'embrasser de force. Un baiser langoureux. Sale. Indésiré. Je viens mordre sa langue avec force, me libérant de son étreinte.

"N'oublie pas notre pacte Olympe ! Ne l'oublie jamais, nous sommes destiné à être ensemble.

Je déplie mon arme, accroché à ma ceinture depuis ce matin. Mon long bâton de foudre ne demande qu'à frapper.

- Je ne veut pas de ton distinct. Laisse moi te tuer sale fou ! Je hurle, rassemblant une grande masse d'électricité statique.

- Si tu fait ça, tu sera condamné. Et plus jamais tu n'approchera Lecka. Ricane le loup au sol."

Face à la réalité, je laisse tomber mon arme. De rage, je viens rouer de coups et griffure l'homme que je déteste plus que tout au monde. Ce dernier se laisse faire, m'encerclant de ses bras. Je ne peux plus contenir mes larmes, finissant par me blottir contre le torse puissant de Merick.

"Je te haï, Prince.

- Tu apprendra à m'aimer. D'ailleurs suis moi, je vais te montrer que Lecka se fiche de toi."

Le loup se lève, me portant sur une courte distance. Il me dépose une fois dehors, me laissant apprécier le contacte froid de la neige sur ma voute plantaire. Sa main dans la mienne, il me tire d'un geste doux dans les jardins du palais. Ce n'est qu'après avoir cessé de pleurer, que je peux sentir l'odeur de ma bien-aimé. Et celle de ma rivale. Deux odeur étrangement lié. Caché dans l'ombre, je peux apercevoir au loin, la silhouette d'Alycia. Surplombant le corps presque nue de Lecka. Un éclair tombe dans l'eau de la fontaine, illuminant la scène. Les deux amante se stop dans leur ébat, ma présence trahis par mon propre pouvoir. Incontrôlé. Mon cœur brisé pris feu avec l'impact de la foudre. Je me retourne de façon robotique, disparaissant dans l'ombre. Mes pas accélère, devenant rapidement des pattes immense. Au contact de mes membres velus, le sol s'illumine de pilier de petits éclair. Je ne demande qua hurler. De douleur. De trahisons. Elle a gagné. J'abandonne. Je pousse un hurlement de désespoir, annonçant sa victoire à Alycia.
J'erre dans la nuit noir, mon cœur se mourant au fil des heures. Je me sens atrocement vide. Abandonnée. Je fini par rentrer au petit matin, me faufilant sans but dans les couloirs du palais. Le sang coule de mes bras, des marques de griffures tapissant mon corps. Je viens à croiser Lecka, la heurtant de mon épaule. Je l'entends m'appeler, mais je ne répondrais pas. Plus jamais. Où vas mon destin de gardienne ? Je n'ai plus envie de servir une traîtresse. Et les dieux savent le nombre de fois où ça n'allait pas entre Lecka et moi. C'est bien la première fois que je n'ai plus envie de me battre pour elle. Je tousse, l'air me manquant cruellement. Mon destin. Je fini par emprunter une direction. Ouvrir une porte.

"Je savais que tu finirai par me rejoindre. Je suis désolée pour toi."

Je viens m'écrouler sur le lit du propriétaire de la chambre. Près de lui. Le laissant m'étreindre. La chaleur de Merick me fait du bien.
Je me demande comment mon corps fait pour continuer à vivre. Seule ma haine coule dans mes veines.
Nous étions la prophétie.
Notre race est désormais perdu.
Condamné à disparaître.
A laisser le monde mourir dans le chaos.

Si vous désirais avoir des illustrations, et de petits aperçus de la suite, n'hésitez pas a consulter mon insta !! @leckalen

Legendary Hunter	[T2] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant