Lecka
Mon oncle est tombé.
Sa fille qui retrouvais tout juste sa véritable vie, vint à la perdre pour de bon.
Je suis lié à deux femmes. Que j'aime profondément. Mais l'une de ses relation se révèle être insestueuse. Pourtant Alycia m'attire.
Je sens son odeur arpenter les couloirs du palais.
Avachis dans mon trône. Je compte les carreaux de marbre, qui constitue le plafond. Mon père n'est pas sortis depuis deux semaines. Chaque jour, des guerrier venu des quatre coin du globe, viennent l'affronter. L'entraînement est rude.
Pendant ce temps, c'est moi qui supervise le château. Je m'entraîne aussi dur que mon père, mais rien n'égale ses cris de douleur, une fois la nuit tombée.
Olympe aussi ne cesse de courir partout. Cette femme est plus qu'admirable. Elle ferai une excellente Reine.Les portes de la salle s'ouvrent. Le grincement lentement fait frémir. Je me redresse, laissant mon aura déborder. Je suis étonné de voir un garde et un jeune médecin entrer. Suivis d'Alycia. La jeune femme marche de façon
déterminée. Elle marche fièrement.« Ta nouvelle prothèse semble être la bonne ! Tu as une démarche assurée dit moi. Je lui souris.
- C'est justement pour cette raison que je suis venu vous mettre au défis, votre majesté.
- Pas de ça entre nous, tu veux ? Comment veux tu me défier ?
- Battons nous !
Je ne peux me retenir d'exploser de rire. Venant ébouriffer ses cheveux.
- Alycia, personne ne peux me battre. Et encore moins une demie-louve.
- Allons-y voir cela.
- Très bien, si tu y tiens. Je ne veux pas risquer d'abîmer cette sublime salle. »
Enjoué par sa motivation, je nous conduit dans une pièce dédié à cela. Un gigantesque dôme d'entraînement. Incassable. Modifiable à volontés. Ma cape vole quand je marche, faisant s'incliner chaque garde. Je fait de replier chaque personne s'entraînant dans le dôme, les conviants à rester dans les gradins extérieur.
Je m'avance jusqu'à centre de l'immense terrain de jeu, plat. Suivis par Alycia.
Cette dernière viens placer ses mains au ventre de mon torse.« Je te trouve incroyablement sexy dans cette tenue. Dommage que tu doive l'enlever. »
Je me penche vers elle, frôlant son oreille de mes lèvres.
« Dois je te rappeler que nous, lycanthrope, avons une ouïe plutôt développer. Murmurer ne sert à rien, Aly. »
Ses mains glisse sur mes épaules, alors que son corps se colle au mien.Sa chaleur m'envahit, et je ne peux réfuter l'excitation qui s'émmane de moi. Le combat ? Son corps ?
Je ne sais pas.
La jeune femme déboutonne ma cape, la faisant tomber au sol lourdement. Aussitôt je recul d'un bond, levant une main vers le ciel. Le signal de début du combat.
Un pilonne de pierre s'élève aussitôt sous mes pieds, me faisant prendre de la hauteur. Plusieurs structure voient le jour, déstabilisant la jeune batarde.« Si tu veux que je teste tes capacités, se sera dans leur globalité ! » je ricane.
Pourtant, une douleur rapide au sternum me fait baisser la tête. Cela suffit à Alycia pour bondir et m'attraper. Ses bras se serrent autour de moi, et elle m'entraîne dans une chute infernal. Les dix mètres qui me séparait du sol, défilent, et l'ont heurte la terre sanglante de plein fouet. La totalité de mes os sont broyé.
Si elle veut le prendre comme ça.
La jeune femme s'avance vers moi, je fait mine d'être incapable de bouger. Une fois à porter, je tire sa jambe, la bloquant allonge sous moi. Je l'embrasse langoureusement, aspirant sans gêne son énergie.
Mes forces recouvré, je me lève vainqueur.
Je tourne le dos quelques secondes, un grognement me fait sursauter.
Je n'ai pas le temps de me retourner, que les griffes d'Alycia me tranchent le dos.
Je vois rouge.
Dans un coup vif, j'empoigne son cou. La levant dans les airs. Elle suffoque. Son regard de désespoir me fait reprendre mes esprits. Je la jette, me reculant.
Ça recommence. Je tombe sur les genoux, me pliant sur moi même. La douleur s'empare de moi, déchaînant chacun de mes muscles. Je sais que ça ne vient pas d'Alycia.
Elle me demande si tout va, mais je l'entend que très peu. J'hurle.
Puis tout s'apaise d'un coup.
C'est ce que j'ai crus. Je me relève lentement, le sourire aux lèvres.
Je pourrais jurer que mes yeux sont devenus noir ou gris dans leur ensemble. Ou seuls les pupilles rougeoyantes illuminent mon regard.
J'ai envie de faire couler le sang. J'ai envie de me venger. Le sang qui roule dans mon dos, me conforte dans mon choix. Alycia hurle de ne laisser entrer personne. De verrouiller le dôme. Et d'appeler Olympe.
Olympe. Pourquoi la convier ?
Aussitôt la dernière syllabe sortis de sa bouche, je viens pulvériser la mâchoire de la belle brune. Je rêverai de plonger mes mains dans son buste, et d'écarter les pans de chair pour la scinder en deux. Mais laissons le plaisir durer. A cause d'elle, les chasseurs vont nous retrouver, et les perte seront considérable.
J'ai l'impression d'entendre la voix des mes frères. Skölh, Hati.
Je hurle à la lune. Avant de plonger mes crocs dans la chair d'Alycia.
Cette dernière rassemble ses forces, pour user de son pouvoir. La torture me fait plier. Je recul, gémissant. J'ai la sensation désagréable que mes viscères implosent. Je tousse du sang. Mais la rage ne fait que s'amplifier.
Une silhouette blonde cours dans notre direction.
J'ai si mal, que je plonge ma main pour m'arracher les organes douloureux. Le sang coule à flots. Faisant hurler les deux femmes. Je tombe sur les genoux, mes yeux pleurant des larmes rouge. Je n'ai jamais ressentis une telle douleur. Qu'est-ce qui m'arrive ?
Je ne pensais pas que la colère pouvait être autant dévastatrice.
Mon visage se voit relever par la blonde. Liant ses lèvres aux miennes. Des larmes roulent sur des joues, se liant aux miennes. Une main caresse mon bras, enfouis dans mon torse. Ce contact est si doux. J'accentue le baiser, jouant un tango dangereux avec la langue de mon interlocutrice.
Son parfum est si fort. Je râle son prénom entre deux baisers.
Mais rien n'a faire. Cette noirceur ne me quitte pas.
Je la plaque au sol, serrant ses poignets de toute mes forces. La belle blonde réussis à libérer une de ses mains, que je vient aussitôt mordre. Le sang gicle, mais elle semble satisfaite. D'un coup de maître, la jeune louve plaque sa main blessé sur mon torse. Activant le sceau. Le gleipnir s'enroule aussi rapidement que la lumière, pour grignoter ma chair. Quelques chose à changer. Je me sens épuisé. Ma main pleine de mon fluide corporel, se tend de détresse. La main de la belle blonde se lié à la mienne.« Ça va aller mon Amour. »
Sanglote Olympe.