May Be In Love

Chapitre 39

Point de vue Jackson

Fin du Flashback

Je court jusqu'à sa chambre, elle regarde autour d'elle. J'entre et accourt vers elle :

- Mon dieu Joanna ! Tu vas bien ?

- Ou...oui.

- J'ai eu tellement peur, quand je t'ai vu là sur le sol.

Je prend sa main dans la mienne, je m'en veut terriblement, je n'ai pas été là pour la protéger lorsqu'il le fallait.

- Je...Je t'aime.

Quoi ? Avait-elle réellement dit ça ?

- Jackson, Je t'aime, je ne te l'ai jamais dit parce que j'avais peur, peur d'aimer, je n'ai jamais réellement était aimé mais maintenant que tu es là, je le sais, c'est une évidence « tu es mon évidence ».

Je prend sa tête dans mes main et presse mes lèvres sur les siennes.
Je savais déjà ce qu'elle ressentait pour moi, mais jamais elle ne me l'a dit clairement, nous sommes comme elle le dit : Des Évidences.
Je décolle nos lèvres et colle mon front au sien :

- Je t'aime aussi Joanna.

Je continue de l'embrasser passionnément, quelqu'un tousse derrière nous :

- Hum Hum.

- Quoi ?!

- Je suis le médecin de mademoiselle Joanna Johnson.

Je m'écarte pour le laisser passer, tout ça est bien beau mais je veux savoir tout ce qu'il c'est passer, pourquoi son salaud de père est revenu, et pourquoi il lui a fait tout ça.
Le médecin s'approche de Joanna, il écarte la couverture qui la recouvre :

- Vous permettez ? Demande-t il.

Elle acquiesce, il soulève la robe de Joanna, il commence à désinfecter les plais restante, elle me regarde, son regard m'implore de lui dire d'arrêter :

- Stop !

Il n'allais rien faire, Joanna et moi le savons mais elle n'est pas à l'aise avec le contact, encore cela c'était arrangé, mais avec tout ce qui c'est passé je la comprend.

- Écouter, je fais mon travail monsieur. Dis le médecin agacé de mes interventions.

- Laissez moi faire.

Je ne lui laisse pas le temps de répondre et lui arrache son flacon des main, je prend la main de Joanna dans la mienne et commence à désinfecter les coupures, elle grimace à certaine parties mais ne dit rien. Elle me gratifie d'un sourire léger. Ses cheveux sont en batailles, un hématome est venu se poser sur sa joue. Une coupure s'est tracée à la commissure de ses lèvres, je passe le coton imbibé de produit dessus, elle frissonne à mon contact, je sourit face à l'effet que je lui fait, elle rougis et me laisse continuer.

Hier, après avoir laissé le père de Joanna inconscient, j'ai immédiatement appelé la police, il m'ont assuré qu'il ne le laisserait plus sortir et qu'il verront le nombres d'années qu'il écopera. Il devrait mourir pour ce qu'il a fait, je l'aurait d'ailleurs tué de mes propres mains si Joanna n'était pas entre la vie et la mort.