Stéphanie

Dimanche 20 mars ( matin )

Pdv Stéphanie:

Aujourd'hui, je me suis réveillé seule, je ne sais pas pourquoi Alex n'est pas la. Elle n'est pas du genre lève tot si vous voyez ce que je veux dire... et pourtant il n'est que, que, 8h20., étrange. Enfin bon même si je n'aime pas me lever seule le dimanche matin, il faut que je cherche Alex, dans cette maison qu'elle nous a offerte. Je ne sais pas où elle a pu se cacher mais sa ne m'amuse pas réellement.

Je commence par chercher dans les diverses pièce du premier elle n'y ai pas. Je descend donc au rez-de-chaussé. le salon et la salle a mangé sont vide, ainsi que la cuisine ou seul une tasse a demi-vide de son café repose sur le bar. je commence a réellement m'inquiéter. Je descend au sous sol, voir si emilie la vu. Cette dernière dort encore donc je ne pense pas que se soit le cas. La seule solution que je vois possible c'est quelle soit au deuxième dans la salle de musique ou de maths. mais je n'es pas de grande convictions. Une fois au deuxième je commence par la salle de musique, elle n'y ai pas, étonnant. j'essaye donc la salle de maths.

Elle est la, devant moi recroquevillée par terre, récitant ses tables de multiplication. Elle, enfin ce n'est pas son genre de faire sa. je passe la porte, doucement, à fin de ne pas lui faire peur. Je la regarde, elle n'a pas l'air bien mais je ne saurais dire ce qui la tracasse. D'habitude elle n'est pas comme sa.

Elle viens de m'apercevoir, et merde ! Moi qui voulais être discrète c'est louper. Enfin ce n'est pas grave. Par contre le visage d'ales a changer, elle est passer de... de dépressive ? à... à joyeuse ? je trouve sa fort étrange quand même. Elle est même, déjà, devant moi.

- Bonjour ma chérie, me dit-elle en venant passer ses bras autour de ma taille.

- Bonjour ... chérie, dis-je déconcerter, qu'est-ce que tu fais là ? Enfin, pourquoi tu était pas dans le lit quand je me suis réveillé ? dis-je penaude en laissant mes bras autour de mon cou.

- Je suis désolé ma chérie, je n'arrivais plus a dormir et je ne voulais pas te réveiller, du coup je suis monté ici, enfin avant j'ai bu un café mais il était trop chaud du coup j'ai laisser ma tasse refroidir.

- hum, dis-je peu convaincu, tu es sur que ça va ?

- oui, oui, je vais bien.

- hum, tu sais ma chérie, je suis la pour toi, tu peux me le dire quand ça va pas, d'accord je vois bien qu'aujourd'hui tu n'es pas au top de ta forme en plus tu sais très bien que ça ne me réveille pas si tu reste a coter de moi.

je sens Alex resserrer sa prise et se coller a moi un peu plus, et fourrer sa tête dans mon cou tout en soupirant, je ressert la mienne et commence a lui faire des caresse dans les cheveux sur l'arrière de sa tête, je me demande vraiment ce qu'elle a, c'est vraiment pas dans ces habitudes. Et sa m'inquiète.

Je sens quelle se force pour ne pas fondre en larmes, et sa me fais mal, je sais quelle ne me parle pas pour me protéger mais j'aimerais vraiment quelle le fasse. Oui, il se pourrait que mon coté de professeur possessive reprenne le dessus mais... mais je l'aime et je ne comprend pas ce quelle a...

Je, voilà je le savais, j'aime pas quand elle est mal car je fini par pleurer. Et la je suis actuellement entrain de le faire. Elle redresse sa tête et m'embrasse chastement avant de venir me caresser le dos.

- Chérie, s'il te plaît non, ne pleure pas, pas pour moi, pas a cause de moi. Je ne veux pas, oui ce matin je ne vais pas particulièrement bien mais depuis que tu es la dans mes bras tous vas bien d'accord ?

j'hochais juste la tête pour approuvé ses dires. elle m'embrassa a nouveau avant de me porter, alors que je m'accrochais a elle comme un koala. Nous redescendions jusqu'au salon. Nous nous posons sur le canapé, je suis a califourchon sur elle, ma tête dans son cou, elle caresse doucement mon dos.

Pdv Alex:

Je n'aime pas particulièrement cette journée, enfaite cela fais 5 ans que j'aime pas cette date... ce jour... et encore moins cette année. je ne l'es jamais dit à Stéphanie, je ne voulais pas qu'elle me regarde comme une chose fragile, qui ne se remet pas d'un évènement passer, qui bloque... Elle m'aime je le sais, je l'aime et elle le sais, mais cette histoire, j'en parle pas, a personne... a part a mes amis proches,... mais Stéphanie c'est autre chose, je ne sais pas, je n'y arrive pas je ne veux pas quelle me regarde autrement que comme si j'était son protecteur. Mais je sens que j'ai besoin de lui en parler, elle a bien vu que sa ne vas pas et je ne peux pas lui mentir. Je prend une grande inspiration et commence mon récit:

- Chérie, effectivement je ne vais pas bien, mais s'il te plaît ne me coupe pas pendant mon récit.

- bien , elle se redresse mais reste sur mes genoux.

- Alors, il y a un peu plus de 5 ans, comme tu le sais ma tante est décédé des suites de son cancer. Et, je prend une inspiration, et cette année elle aurait eu 35 ans, et ce n'est pas rien. Je sais que normalement tu vas penser que j'ai fais mon deuil, mais, ma voix craque, mais... mais non je n'es pas réussis, pour moi elle était mon mentor, mon modèle, celui d'une femme forte. Et je ne sais pas mais aujourd'hui j'arrive pas, plus, a passer outre, elle me manques je ne peux le nier. je suis désolé mais je, une larme coule, je ne t'en ai pas parler car je ne veux pas que tu me regarde... que tu me regarde comme tu le fais maintenant ! avec de la pitié !

Elle essuie ma larme solitaire, puis essuie les siennes, avant de déposé un baiser sur mes lèvres.

- je veux aller la voir, Stéphanie, je vais la voir, j'en ai besoin, fais comme tu veux, viens ou pas, même si j'aimerais que tu sois la que.. que je te présente je me sens prête. je sais que tu vas trouver sa con mais c'est important, c'est important pour moi car... je t'aime.

- Bien évidemment que je viens, je ne veux pas te laisser y aller seul, et moi aussi Je t'aime, et jamais je ne te regarderais avec pitier, tu, tu as subi tellement de chose pour ton age que jamais je ne pourrais te regarder ainsi, tu est tellement forte, je t'aime.