Stéphanie

Jeudi 24 Mars

Pdv Stéphanie: 

Je suis sous le choc, le policeman nous a annoncé avec un détachement parfait que: 

— Mlle Alex Drucker est en cellule de dégrisement pour conduite en état d'Ivresse et excès de vitesse, vous êtes priez de vous rendre au commissariat de la ville voisine pour allez la chercher, de plus sa moto a été placé en fourrière. 

— Bien monsieur, nous y allons de se pas, avait répondu Em'. 

Je suis donc monté dans la voiture de ma meilleure amie en cherchant a savoir ce qui l'avait pousser a faire sa, elle me répète sans arrêt qu'elle ne boit pas et... non je ne veux pas la croire sa ne peux pas être elle, il est évident que c'est un autre Alex. 

— Stéphanie, arrête de te torturer l'esprit, on verra une fois que l'on sera rentré, d'ailleurs nous sommes arrivé. 

je suis sorti de la voiture toujours un peu sous le choc, mais surtout pensive et perdu, et si s'était elle ? que devrais-je faire ? l'engueuler ? la réconforter ? je ne sais pas...

— Madame ? 

— oui ? répondais-je 

— sa fais trois fois que je vous appelle, êtes vous bien Mlle Gray Stéphanie ?

— oui c'est moi pourquoi ? 

— bien je vous apporte Alex ! 

Il est parti, pendant je ne sais trop combien de temps je n'es pas fait attention j'était totalement absorbé par mes pensée. 

Pensée dès quelle je suis directement sorti en voyant ma chérie, la tête baisser, les joues humides avancer vers nous. Que devrais-je ressentir a cet instant présent ? de la compassion ? de la colère ? ou de la tristesse ? 

Finalement je sais ce que je ressent je suis en colère, en colère qu'elle ai fais, en colère qu'elle m'ait menti, qu'elle m'ait cacher qu'elle buvait, en colère qu'elle ait préférer se noyer dans l'alcool plutôt que de m'en parler. 

— Bien, rentrons ! dis-je sèchement en me retournant et en partant

Emilie avait l'aire surprise et quelque peu perdu, en jetant un coup d'oeil derrière je pu voir quelle tenait le bras d'Alex qui avait du mal a marcher. J'accélérait le pas, en m'essayant directement sur le siège passager. Emilie et Alex ne tardèrent pas, et on repris la route jusqu'à chez nous. 

Alex... prépare toi a passé un sale quart d'heure. 

Pdv Alex: 

Et bah zut, je suis au commissariat en cellule de dégrisement, il a fallut que le seul jour au je roule avec ma moto sous les effets de l'alcool combiné a la rage et ma soif de liberté je tombe sur les gendarmes. Sa m'énerve, un gendarme est parti chez moi pour allez chercher Stéphanie et Emilie, je redoute vraiment leur réaction je sais pertinemment qu'elles vont m'en vouloir... Et si Stéphanie m'aimait plus ? si elle me haïssait ? 

Et bien voilà, les effets que je déteste qui vont avec l'alcool commence a arriver, envie de vomir et des larmes totalement incontrôlées, très clairement je fais pitié a voir, seule, en foetus dans coller au coin sombre a même le sol de ma cellule de dégrisement a attendre l'heure de ma sentence, je sais que j'ai commis des fautes grave: conduite en état d'ivresse et excès de vitesse... 

J'attend en pleurant qu'elles arrivent, je sais très bien qu'il y a des chances pour qu'elles ne viennent pas, des chances pour qu'elles me rejettent, des chances pour que Stéphanie m'en veuille et surtout des chances pour que je perdent la femme de ma vie, a cause d'une partie de moi bien trop sombre pour être expliquer et bien trop sombre pour lutter contre elle, elle causera ma perte et je le sais, je suis incapable de ma maitriser lorsque mes sentiments prennent le dessus sur ma rationalité. 

— Drucker ! Debout  ! Y'a deux femmes qui sont la, votre caution a été payé. 

je le suivis tête baisser jusqu'à Emilie et Stéphanie, Stéphanie qui me regardait tellement mal. 

Une fois dans la voiture, je me remis a pleurer, il était sur que j'allais la perdre... elle m'en voulait a mort... impossible pour moi d'y échapper, j'ai fais une connerie bien trop grosse... alors que nous venions de rentrer dans la maison: 

— Alex ! cria-t-elle, T'es inconsciente ! tu me ment, tu te saoul la gueule et en plus de sa tu conduis ? je te retrouve au poste de police après m'être fais un sang d'encre, Emilie ma revenu du sang et du trou laisser sur le 

— Désolé, sincèrement désolé, mais je ne veux pas que tu me quitte, je t'en supplie ne me quitte pas, je ne le supporterais pas, dis-je en sanglot. 

— Pourquoi ? et soit honnête pour une fois. 

— Chloé, elle, elle a dit que c'était de ma faute si j'avais un cancer, que c'était de ma faute si on ne se parlais plus, que c'était de ma faute si elle ne supportait plus rester avec moi... et maintenant c'est de ma faute si j'ai perdu la femme de ma vie ... 

— Quoi ? De quelle salope parle tu ? 

— De ... de toi ... tu vas me quitter je le sais... dis-je en sanglotant encore plus fort. 

—  Hein quoi  ... mais non... non je ne vais pas te quitter je suis juste très en colère, mais je comprend que ta colère était justifier ce que je ne comprend pas c'est pourquoi tu as été boire ? 

— Quand je perd le control de mes sentiments... je ... la seule choses qui me calme.., c'est l'alcool. je n'y peut rien, seul elle me fais oublier et décompresser.

— Hum bien ! je suis toujours fâché mais je comprend, maintenant je vais me coucher. 

je commença a la suivre mais elle se retourna.

— Non toi se soir tu dors sur le canapé ! 

Et elle parti seule... une fois que la porte avait claqué, je m'effondra sur le sol en larmes, je ne l'avait pas perdu entièrement mais je sais que ce que j'avais commis était  irréparable... je devais taché de me rattraper...