- Chapitre 94 -

874 25 11
                                    

PDV Védrana

Le vent frappe mon visage depuis quelques minutes déjà, je suis dans la chambre, pendant que Derek est dans la salle de bain. Que Mathieu est au toilette et baka en train de préparer le petit-déjeuner, je suis là à attraper la mort. Bon évidemment ça se stop vite vu que le polak dépose un plaid sur mes épaules. Je n'ai pas beaucoup dormi puisque nous sommes rentrés tôt dans la matinée, Derek a fait le bonhomme et a dit moi je dors pas. Il va être cuit et au moins on aura la paix, je trouve donc que c'est une très bonne idée qu'il a eue. Voir ma famille hier m'a fait beaucoup de bien, trop longtemps que je n'avais pas vu tous ces fous. Mathieu c'est bien intégré dans le groupe, j'avais un peu peur par rapport à tout ça. Baka a retrouvée des gens de la famille qu'elle n'avait pas vu depuis longtemps, et moi je compte bien profiter de cette journée pour aller marcher dans la ville.

Mathieu: En haut, en bas, à droite, à gauche, on recommence la chorée, tu fais que bouger t'es au courant.

Moi: Je n'ai même pas remarquée que je gigotais, pardon. Il sert plus correctement le plaid autour de mes épaules, en même temps qu'il me sert contre lui.

Mathieu: Bon tu veux faire quoi aujourd'hui? Je me tourne pour lui faire face avec un large sourire.

Moi: Alors je pensais faire un tour en ville, à ce que j'ai compris Derek il va avec mes cousins, parce que ma baka elle bouge voir la famille de hier soir, pour parler dans un cadre plus calme.

Mathieu: On se retrouve que tous les deux toi et moi? J'acquiesce et un large sourire prend naissance sur ses lèvres.

Moi: Donc tous les deux on se sape et on va se balader dans les rues de la ville enfin si tu veux parce que t'es pas obligé de dire oui.

Mathieu: Vas-y dis pas de la merde, toi et moi on décale en ville, vas-y habille toi je vais trouver un bon endroit où manger.

Moi: Mais non, tu vas encore me payer un restaurant et je vais me retrouver comme une conne. Il me lance un clin d'oeil qui fait fondre et disparaît.

Je m'habille avec ce que je trouve dans ma valise, j'opte pour un jean noir troué aux genoux, un pull Fila et mes Nike Air Max 90 blanche, noir et or. J'enfile par-dessus tout ça une veste Nike parce que malgré tout il fait un peu froid dehors, puis je prends une de mes casquettes que j'enfile. Une fois toute prête je quitte la pièce pour me retrouver dans la cuisine, Mathieu remercie baka, à coup sûr cette traite lui a donné une adresse pour manger. Je m'avance avec un large sourire, prête à sortir, Mathieu prend la casquette qui se trouve sur ma tête et l'enfile à l'envers. Je le regarde tout gentiment et me tourne avec grâce.

Baka: Tu peux me faire même ton plus magnifique sourire tu ne seras mais rien du tout de moi. Je la regarde en faisant mes yeux de chat potté.

Mathieu: La rouquine te fait pas chier, tu ne seras absolument rien. Lui il a prit la mauvaise habitude de m'appeler comme ça, est ce que moi je l'appel la fausse blonde, je crois pas.

Moi: De toute manière je le serais à un moment ou un autre, je suis trop adorable pour que tu résistes longtemps.

Mathieu: Tu attends midi et tu verras que tu seras où on va. Je lui tire la langue et il dépose un baiser sur ma joue, je me dégage de son étreinte, il ne faut pas que je le laisse faire, sinon je suis morte.

Baka: Méfie-toi, elle a des techniques improbables pour te faire avouer ce que tu ne veux surtout pas dire.

Mathieu: Je vais faire attention vous inquiétez surtout pas, en plus on va passer la journée tous les deux. C'est ce moment précis que choisit le pouilleux pour faire son entré dans la pièce.

Le Polak et la CroateOù les histoires vivent. Découvrez maintenant