- Chapitre 89 -

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Salut tout le monde, je vous remercie pour les 30K, je remercier certains commentaires de me faire rigoler tous les jours. Je vous remercie aussi de continuer à lire malgré la longueur de cette fanfiction, merci tout simplement. 🤗😍

PDV PLK

Une semaine, une putain de semaine que POLAK est dans les bacs, comme me l'avais dit V, il marche mon album. Depuis une semaine je suis comme un dingue, je vois tous les messages positifs, tous les mots ultra sympas des fans, les encouragements des gars du rap game, et V qui évolue à côté de moi. Je sais aussi qu'elle n'aime pas toutes les groupies qui mettent des photos de moi et pseudonyme mais elle le montre pas, elle déteste les groupies. Je suis de son avis, ces meufs elles en font beaucoup trop, le pire c'est quand elle te voit dans la rue. J'ai rien dit à V mais la dernière fois il y a un groupe de meuf elles m'ont arrêté avec Numb, elles ont pas parlé une fois de mon album, c'était insoutenable. Elles faisaient trop les meufs pour ce faire remarquer, je déteste ça, alors pour le moment je préfère ne rien dire. Cet aprem on part au kart, parce que je vais les défoncer, je remarque qu'elle a fait son entrée dans le salon, son parfum flotte dans la pièce. Elle a enfilée un jean noir qui lui fait un bon cul, un pull blanc de chez Nike et ses Air Max 90 blanche et noir.

V.R.N: Mon amour, que t'es beau aujourd'hui. Je me retourne fière sur elle pour la retrouver en train de caresser Numb, je passe après ce chien faut que je me le mette dans la tête.

Moi: Mon polak tu sais que t'es trop chou aujourd'hui, surtout quand tu fais ton sourire de gamin, j'aime trop quand tu m... Je n'ai pas le temps de finir ma phrase qu'elle se retrouve sur mes genoux à califourchon.

V.R.N: Oui mon polak, t'es super canon, tu devrais refaire ta décoloration parce que tu redeviens brun là. Elle passe ses mains dans mes cheveux, les miennes sont tranquille sur son cul.

Moi: Après tu te plains que je suis un gros pervers, mais moi je te mets pas mes gros pectoraux sous le nez.

V.R.N: Gros pectoraux, ouais possible, pas vu tout ça moi. Je la regarde choqué et me mets à la chatouiller, très vite ses éclats de rire retentissent.

Moi: Tu vas voir si t'as rien vu, tu cherches trop la merde la croate. Elle continue de se tortiller sur moi, elle tombe sur le canapé à côté de moi et je me place au-dessus d'elle pour bien avoir tous les accès.

V.R.N: Lâche-moi, je vais crever frère. Rien que pour son "frère" je redouble mes efforts, elle est à bout de souffle quand je la lâche un peu.

Moi: Pour que j'arrête totalement tu vas devoir dire, Monsieur Pruski tu es le plus beau et le plus fort des gars que j'ai jamais rencontré.

V.R.N: T'as pas des problèmes de chevilles par hasard toi? Je continue de la chatouiller, comme je sais qu'elle le dira pas j'arrête et elle se redresse.

Moi: Échappée. Elle se replace sur moi en posant sa tête dans mon cou en reprenant son souffle.

V.R.N: Monsieur Pruski, tu es le plus beau et le plus fort des gars que j'ai jamais rencontrée, mais c'est vraiment parce que j'en connais pas beaucoup. Je lui donne une grosse claque au cul.

Moi: T'as qu'à arrêter de dire de la merde et de nier les évidences. Elle lève les yeux au ciel et sans comprendre elle bloque mon visage et m'embrasse.

V.R.N: Bah quoi, je t'embrasse t'es censé être content. Je réponds enfin à son baiser qui monte en température quand elle commence à se frotter contre moi.

Moi: V, si t'as pas envie fais doucement quand même. Elle écarte mes propos en continuant de m'embrasser toujours plus fougueusement.

V.R.N: J'ai envie qu'il m'arrive quelque chose. Mon cerveau comprend ce qu'elle veut me dire, moi c'est l'étincelle dans ses yeux qui m'avoue tout.

Le Polak et la CroateOù les histoires vivent. Découvrez maintenant