85. Thomas Brodie-Sangster

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< Pour @-Thats_My_World, j'espère qu'il te plaira ! (Petite info : je ne pense pas que je pourrais poster la semaine prochaine car je n'aurais pas le wifi cette semaine, je vous tiendrais au courant comme je pourrais !)❤️ >

Ton nouveau travail était maintenant sur le tournage du Labyrinthe : le Remède Mortel. Tu étais tombée sur un lieu de tournage très positif, amusant et divertissant. Chaque acteur et membre hors-camée se trouvaient être adorable.

Mais celui que tu préférais, c'était bel et bien Thomas Brodie-Sansgter, l'interprète de Newt. Déjà, plus jeune, dans les livres, tu appréciais tout particulièrement ce personnage charismatique et à l'écoute. Donc, tu t'étais forcément intéressée et déjà attachée au garçon.

Tu as beaucoup apprécié l'acteur à l'écran et quand tu l'as rencontré en vrai : encore plus. Vous aviez beaucoup de points communs, étiez sur la même longueur d'onde et riez beaucoup ensemble.

Et peut-être qu'avec le temps... tu avais un tantinet succombé à son charme. Rien d'alarmant : tu avais juste envie de lui sauter dessus dès que tu le voyais.

Oui, effectivement : rien d'alarmant.

— Hey Y/N !

Tu sursautas violemment, sortant de ta rêverie. C'était justement lui qui venait pour se faire repoudrer le nez et rajouter quelques gouttes de faux-sang sur sa blessure avant de retourner jouer devant la caméra.

Tu lui souris doucement en s'entendant le bout de ton nez se rougir de bonheur de le savoir près de toi. Tu lui indiquas en silence la place où il devait s'installer : soit un petit tabouret en cuir noir.

— Salut Tom, alors c'est quoi ta prochaine scène ?

— Quand on saute de l'immeuble avec Dylan et Hong Lee, t'informa Thomas en te tendant la joue pour que tu refasses sa coupure. Tu vas nous regarder ?

— Évidemment, répondis-tu pleine d'entrain. Tant que ce n'est pas la seule quand tu vas mourir, je regarde.

Tu avais été catégorique avec le jeune homme : tu ne regarderais pas la scène de tournage lorsqu'il meurt car tu étais sûre de pleurer comme une idiote quand tu la verrais et ensuite, tu voulais la "surprise" sur grand écran. Surtout que tu avais pu habilement et subtilement négocié avec Thomas pour qu'il t'accompagne le voir. Est-ce que tu avais réussi à le manipuler pour qu'il te propose un rencard ?

Carrément. Et c'était ta plus grande fierté. Juste d'y repenser et un petit sourire se dessina sur tes lèvres.

Tu reposes ton poudrier et ton pinceau sur la coiffeuse en face de toi en tapotant tes mains pour y chasser quelques grains de maquillage, satisfaite.

— Et voilà, tu es tout beau, tout propre pour aller tourner ta scène !

— Merci ! sourit Newt en se mettant debout.

Il se dirigea vers la sortie et tu fus un peu déçue de n'avoir pas plus de temps pour lui parler entre deux scènes ou que tu n'es pas encore beaucoup de courage pour lui proposer un rendez-vous plus clairement. Juste histoire d'annoncer que quelque chose se passe réellement entre vous, et pas juste de l'amitié.

Tu ouvris la bouche pour lui dire quelque chose mais te ravisas finalement avant de répéter cette action deux autres fois. En vain. Tu échouas lamentablement dans ta proposition.

Soudainement, le jeune acteur fit volte-face en ta direction que tu manquas de faire une crise cardiaque sur la surprise. Tu arquas un sourcil alors qu'il se lançait clairement à ta place :

— Au faite, Y/N...

Il hésita à continuer mais tu compris évidemment où il voulait en venir. Les yeux brillants, tu l'encourageais d'une voix à moitié suppliante :

— Oui ?

— Tu fais quoi ce soir ?

— Rien du tout, répondis-tu sans réfléchir folle de joie que tu peinais à contenir. Pourquoi ?

— Ça te dirait qu'on aille boire un verre tous les deux ?

— Oh... euh... ouais, pourquoi, lâchas-tu faisant paraître un air ni trop ni pas assez intéressé.

Thomas sourit et acquiesça d'un « Cool ! » satisfait de lui avant de sortir. Quand tu entendis les pas s'éloigner, tu soupiras de soulagement avant de sautiller sur place en lâchant un petit cri de joie.

— Yes, yes, yes, enfin ! peinas-tu définitivement à te contenir laissant toute ta joie te consumer. C'était pas trop tôt, bon sang !

— Oh... désolé, j'avais oublié ma veste.

Dos à la porte, tu ouvris grand les yeux ronds de stupeur. Oh merde. Il était revenu. Et c'était le drame. Et définitivement la honte. Mais à quoi bon ? On ne mourrait pas de honte après tout.

ɪᴍᴀɢɪɴᴇOù les histoires vivent. Découvrez maintenant