Je n'ai pas l'habitude de vous laisser des messages au début de mes chapitres mais j'avais besoin d'évacuer ma frustration.
Ça fait une semaine que je travaille en parallèle sur une autre histoire mais je réécris encore et encore le début et je ne suis jamais satisfaite !
Lorsque je le serais vous verrez sûrement une nouvelle histoire apparaître ici, je vais y travailler d'arrache pied.
A part ça, j'espère que vous vous portez bien, vous et vos proches, et je vous souhaites plein de bonheur (Ouais rien que ça, je sais, ça fait niais mais vous devez savoir que je suis niaise maintenant)Fraichement douché, nous étions à nouveau étalés sur le matelas. Egio avait insisté pour que je le laisse manipuler mes cheveux, chose que je faisais rarement, et il m'avait semblé si mignon que je l'avais laissé m'amadouer.
Le maitre s'approcha du lit et nous tendit deux tartines.
-Nous n'allons pas tarder à rejoindre le salon principal pour manger avec les autres, mais je pense que vous devez mourir de faim.
-Ce n'est pas du gyanier ? m'assurais en scrutant ma tranche de pain avec suspicion.
-C'est quoi du gyanier ?
Maitre ricana doucement et ébouriffa les cheveux d'Egio.
-Le gyanier est un fruit originaire des enfers qui a la caractéristique de posséder de la noradrénaline. Elle favorise l'excitation.
Egio ouvrit de grands yeux.
-Je pourrais gouter un jour ?
Je ne sais pas qui fut le plus surpris de sa demande entre Egio qui rougit furieusement et le démon mais cela paru plaire au maitre.
-Je t'en donnerai bien maintenant pour avoir le plaisir de te voir te tortiller durant tout le repas mais je refuse que d'autres puissent te voir dans cet état.
Il lui caressa la joue du dos de la main et se dirigea vers l'armoire qui trônait à droite de l'entrée. Il en sortie des tissus chatoyants et nous les lança.
-Mes tendres humains, il est temps de vous présenter à l'ensemble de mes compatriotes !
J'attrapai le tas de tissus qui s'était échoué au pied du lit et tentai en vain de déterminer la nature du vêtement. La matière délicate me glissait entre les doigts et je songeai qu'il devait être agréable de le porter.
-Laisse moi t'aider.
Maitre s'en empara et me fit me lever. Il se pencha à genoux devant moi, et je ne pus m'empêcher de rougir furieusement, nous imaginant dans un contexte beaucoup moins prude. Aussitôt, je couvris mes joues de mes mains, m'assurant que personne ne les voit. Ce démon avait ouvert en moi une porte vers une facette dont je n'avais jamais soupçonné l'existence.
Egio rampa sur le lit vint poser sa tête sur mon épaule.
-Oh, c'est joli !
-Ce sont des tissus nobles. Ils sont faits pour vous habiller partiellement tout en me laissant l'opportunité de vous toucher.
Il glissa délicatement mon pied dans un fermoir rattaché à un pan de tissus qu'il resserra au niveau de ma cheville et agit de même avec l'autre. Puis il remonta jusqu'à mes hanches, laissant au vêtement le soin de se développer et d'épouser les formes de mes cuisses.
-Je les lie au niveau de ta taille afin de camoufler ton intimité à quelqu'un qui se trouverai en face de toi. L'étoffe entoure te jambe et laisse libre d'accès l'intérieur de tes cuisses. Sens toi à l'aise de bouger malgré cela. Personne ne distinguera rien de toi, pour ça il faudrait que tu écartes largement les jambes et je m'assurerais que tu ne le fasses qu'en ma présence, pour moi et moi seul.
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Saikens
RomanceC'est dans le chaos d'une crue soudaine que les démons se sont installés sur les terres du roi Ménas. Silencieusement, ils se sont fait une place, imposant leurs moindres désirs d'une puissance implacable. Adriel et Egio sont deux jeunes hommes viv...