BVII

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A mon réveille, le soleil était déjà à son apogée, traversant les rideaux illuminant la chambre de la même manière, les bras qui m'entourais la veille avait disparus, la douleurs de mon fessiers elle était bien présente. Je me levais doucement du lit et ouvrais sans faire de bruit la porte, je me faufilais dans le couloir descendis les escaliers. Et me dirigeais dans la cuisine, le petit déjeuner était déjà prêt, je saisis simplement une poire et remontais dans la chambre je me remis sous la couette, faisant semblant de dormir, je n'avais aucune envie de croiser Théo. Ce qui c'était passer la veille m'avais complètement refroidi. La porte s'ouvrît, des pas se diriger vers moi. Le lit s'affaissa m'indiquant qu'une personne venait de s'assoir.

Théo: je sais que tu es réveiller. Dit-il en attrapant une des mes mèches de cheveux

Je ne répondis pas, continuant mon jeu d'actrice complètement idiot d'ailleurs.

Théo: si tu ne mange pas tu risque d'avoir faim. Alors lève toi et va déjeuner.

Aucune réponse de ma part ne ce fit attendre. J'étais décidé à ne pas répondre.

Théo: comme tu voudras. Dit-il me portent sur son épaule

Briséis: laisse moi tranquille. Je suis fatigué. Dis-je en sanglotant

Théo: je croyais que tu dormais. Dit-il en sortant de la chambre

Il descendis les escaliers, arrivant dans la cuisine ou la table était dresser il me posa sur la chaise. Me donnant une tasse de chocolat chaud devant moi. Ainsi que des viennoiseries.

Théo: mange ! Dit-il en m'indiquant la nourriture

Je soupirais avant d'avaler une gorgée de chocolat, et manger un croissant.
Il était assis sur la chaise d'à côté tenant un bouquin dans ces main. 1984 de George Orwell je l'avais déjà lu et par ailleurs trouver très ennuyant. La fin de ce bouquin m'avais dégoûter. Le fait que Théo lise m'avais surprise depuis le début je l'avais vue avec un écran devant lui le fait que maintenant ce soit simplement un bout de papier, le rendait beaucoup plus séduisant.

Théo: je te déranges pas ? Dit-il me sortant de mes pensée

Briséis: je...je monte...dis-je en me
levant

Théo: va t'habiller nous sortons. Dit-il en reprenant sa lecture

Sans me retourner je montais les escaliers, où allons nous ? Je ne le savais pas encore et cela m'étais complètement égale. Je pris une douche rapide avant de revenir dan d'la chambre trouvant poser sur le lit une tenue un simple pull près du corps et un jean taille haute bleu. Je ne savais pas pourquoi Théo avait la manie et aimer tant choisir mes vêtements. Je m'habillais, relevant mes cheveux en queue de chevale haute. Avant de descendre.

Briséis: je suis prête. Dis-je simplement

Théo n'étais plus dans le séjour ni dans la cuisine, j'avais beau tourné la tête dans tout les sense aucune trace de lui. Je me posais sur le canapé attendant sa venue. Soudain des pas ce firent entendre. Juste à la façon d'on le sole criait sous des pieds, j'avais deviner que c'était lui.

Théo: tu compte sortir pieds nue ? Dit-il en me tendant au dessus de mon nez des chaussures

Je l'ai attrapais et les chaussais avant de me lever. Et de le suivre dehors, nous montions dans la voiture et avant de démarré, 15 minutes après Théo avait carrais celle-ci sur le côté, nous étions dans les rues de Paris vers le Louvre.

Théo: descend. Dit-il en faisant la même chose

Je descendis, me retrouvant en plein milieux d'un ville inconnus, les gens marchaient vite et était comme compresser sur les trottoirs, les visages fermer et neutre a la fois. Je ne connaissais pas Paris comme ça. Théo fit le tour de la voiture pour me rejoindre.

Théo: viens. Dit-il en me prenant la main

Je le laissait me prendre la main de peur de me perdre dans une ville qui m'étais totalement inconnus nous nous dirigions vers les célèbre boutiques.

La journée était passer à une vitesse éclaire, nous avions fait les magasins avant de nous promener sur les quais.
J'avais repérer une petite boutique près de la scène. Nous passion à côté, je m'arrêtais et regardais les petits souvenir disposé. Mon attention se portait sur un petit porte clefs Tour Eiffel, mes doigts l'effleurant d'une simple caresse.

Théo: elle te plaît. S'il vous plaît je vous en prend une. Dit-il au vendeur en lui donnant quelques pièces

Briséis: merci... dis-je mélancoliquement

Mes parents auraient adoré, se baladait à Paris, c'était leurs ville préféré, ce petit présent leurs était destiné.

Théo: bon je suis assoiffé. Je connais un café pas loin. Dit-il en me devançant

Nous étions assis dans une terrasse en face de la Seine à siroter un soda pour moi et pour Théo un cocktail. Nous avions peu échanger durant cette journée, la scène de la veille se répéter dans ma tête à chaque paroles qui lui était destiné.

Théo: j'aurais du te donner ça dès ton arrivée. Dit-il en posant une petite boîte devant moi

Je fronçais les sourcils ne sachant pas que contenait cette boite rouge Bordeaux. Je l'attirait  vers moi l'ouvrant délicatement. Un médaillon gravé BT, mon cerveau mis du temps à comprendre avant de saisir la signification de ces lettre.
Brooks Théo.

BRISÉISOù les histoires vivent. Découvrez maintenant