BXXVI

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La journée était passer sans voir à nouveau le visage de Théo, j'avais simplement dessiner et écrit un court texte. Une des nombreuses journées ennuyantes à nouveau se répéter. La nuit avait pointé son nez et la table était servis, les pas de Théo derrière moi c'était fait entendre, j'avais pris place à table et lui était venus quelques minutes plus tard en face de moi. Le dîner c'était fait en silence, une fois terminer chacun de nous encore une fois vaquer à ces occupation, une fois que tout les employés furent partie, les lumières de l'appartement s'éteignirent. Je me levais, lâchant mon carnet et crayon des main en cherchant à rallumer celles-ci.

Briséis: Cassandre ? Vous êtes encore là ? Dis-je cherchant l'interrupteur

Je ne voyais rien et la panique commençait à me gagner. Je chercher désespérément l'interrupteur, faisant attention à ne pas me cogner contre les meubles. Soudain une force m'attrapait par la taille m'attirant vers elle. Me faisant paniquer et crier de peur.

Théo: Tu as peur ? Chuchote t-il

Briséis: lâche moi ! T'es pas drôle. Dis-je en me retournant

J'attrapais son bras pour ne pas me perdre dans le noir. Et me blesser bêtement. Il m'attira alors vers lui avant de rallumer la lumière.

Théo: le soleil est revenue. Dit-il un sourire au lèvre

Briséis: Tes sauts d'humeurs me donne la migraine. Dis-je en m'asseyant au sol reprennent mon carnet et stylo

Je m'assis en face de la grande baie vitré, qui donnait sur les rues célèbres de Londres. Théo prit place à mes côtés observant les rues illuminées pour les fêtes.

Théo: Jouons. Dit-il en me regardant dessiner

Briséis: J'ai pas très envie de jouer, et certainement pas avec toi. Dis-je en l'ignorant

Théo: Je te laisse pas le choix. Dit-il en prenant mon carnet des mains

Je le regardais, soupirant car je n'avais réellement pas le choix. C'est lui qui décidais de chacun de mes faits et geste.

Théo: Une question, une réponse. Dit-il simplement

Ce jeux pourrait m'aider à en savoir plus peut-être sur la fameuse soirée, où j'ai faillit y passer. Et certainement à en savoir plus sur Théo et son métier.

Briséis: Bien, je commence. Dans quel domaine es tu ? Dis-je le regardant

Théo: l'automobile, j'achète et je revend au plus offrant. Dit-il simplement

Théo: A moi, Je veux savoir ce que tu pense de moi.

Briséis: oh... c'est compliqué. Tu es très complexe à cerner, mais je pense que tu es simplement victime de ta vie, tu ne sais pas vraiment la vivre. Tu es perdu dans un monde qui ne semble pas être le tiens, toute cette violence qui te domine n'est sans doute pas la tienne... Mais après ce n'est que mon avis. Dis-je sincèrement

Théo: Tu te goures complètement. Dit-il impassible

Briséis: Pourquoi avoir proposé à mon père ce contrat ? Dis-je curieuse

Théo: En réalité c'est lui qui me l'a proposé. Je n'ai jamais eu l'idée de te ramener ici. Dit-il en se grattant la tête

Je ne le croyais pas, mon père n'avait pas ce genre d'idée, mettre sa fille en danger durant 7 mois, pour rembourser sa dette, cela ne lui ressemblais pas. Théo mentait comme d'habitude, je n'allais pas gober une de ces sottises raconter.

Briséis: Le but de ce jeux est dire la vérité.

BRISÉISOù les histoires vivent. Découvrez maintenant