BXXXXXI

871 45 5
                                    

Les jours étaient passer, et la fameuse journée de mon départ était arriver j'avais fait toutes mes affaires, et je m'en allais dans quelques minutes, durant ces derniers jours Théo ne m'avait adresser aucun mots, regards, aucune attention ne m'avait était faite, comme si j'étais un simple et futile fantôme. Il passait ces journées dehors et ne rentré que très tard, il ne partageait plus le même lit que moi. Ma valise était devant la porte seule un carton, était tenus dans mes mains. Je me dirigeais vers le bureau de Théo pour lui annoncé mon départ. J'ouvris la porte hésitante. Il était plongé dans le noir seule, les rideaux tiré, les rayons bien illuminé traversais le tissus, laissant une très fine lumière parcourir la pièce. Un verre était posé devant lui, étendus sur sa chaise, il me regardais à peine.

Briséis: Je... Je m'en vais, tu dois sûrement connaître mon adresse, si tu change d'avis. J'ai... j'ai appris à t'aimer comme à te détester, j'ai besoin de toi Théo...dis-je m'avançant vers lui

Il leva sa main, me faisant signe de ne plus avancer et sûrement de me taire. Se qui me brisa une fois de plus le cœur.

Briséis: Bien... dis-je en murmurant

Je tripotais la bague à mon doigt, avant de l'enlever et de m'avançais vers son bureau, la posant devant lui. Je me retournais, prenant le chemin du retour.

Théo: Le clebs, reste ici. Dit-il sévèrement

Je m'apprêtais à riposter, quand je me souvenue, que c'était le cadeau de sa mère, je n'avais aucun droit de le prendre avec moi.

Briséis: Comme tu le souhaite... Dis-je en sortant du bureau

Je fermais la porte de celui-ci, les larmes menaçant de couler, j'entendis un verre se briser, déclenchent un sursaut de ma part. Je repris mes esprits avant de me dirigeais vers l'entrée, embrassant une dernière fois Bali et sortant de cette maison. Je montais dans la même voiture qu'à mon arriver, relevant la tête je vis Théo regarder par la fenêtre de son bureau, il me tourna le dos, et disparue de ma vue.
Une voiture m'avais amener jusqu'au jet que j'avais pris, il m'emmena jusqu'à Manchester, ou une voiture me déposa devant chez moi, durant tout cet effroyable trajet je n'avais fait que penser à Théo. j'étais rentré voyant ma mère mon père et mon frère m'attendre, ils m'avaient prise dans leurs bras, et ma vie avait repris son cours. J'avais questionner mon père sur cette fameuse dette, et sur sa proposition de me livrer pour l'éponger, il m'avait laisser dans le flou et ne faisait que fuir le sujet. Je ne m'étais pas prise la tête et avait clos le sujet. Cette histoire avec Théo devait tôt ou tard prendre fin, mon cœur était meurtris, et avait besoin de répit, Théo allait prendre la forme d'un rêve qui aura durait 7 mois. Un livre c'était fermer et un autre aller s'ouvrir, et c'était à moi d'en écrire le premier chapitre.

                              FIN

BRISÉISOù les histoires vivent. Découvrez maintenant