BRISÉIS

BXXXXVII

Briséis: Je te hais, toute autant que je me hais. Dis-je en l'embrassant

Je ne sais pas si j'allais regretter ce que je faisait, mais le désir de la chair l'avait emporté sur la raison, il répondît à mon baiser, sauvagement il mener la danse, l'eau l'avait totalement trempé, à travers sa chemise je pouvais voir son torse ainsi que ces abdos dessiner. Il laissa balader sa main libre sur ma poitrine.
Avant de la descendre vers mon intimité, en ne quittant jamais mes lèvres, il entra sa main dans ma culotte trempé par l'eau, avant de venir titiller mon intimité, libérant mes mains. Qui venaient s'enrouler autour de sa nuque, de son autre main il venait caresser ma poitrine. Avant de soudainement entrer un doigt en moi. Mes gémissements se faisait de plus en plus fort. Mes mains venaient timidement, déboutonner sa chemise, avant de la lui enlever. Il empoigna mes fesses, me soulevant, je venais enrouler mes jambes autour de lui. Il nous sortie de la salle de bain, me posant sur le lit, avant de défaire la ceinture de son pantalon, et de l'ôter.
Il attrapa ma culotte qui en un geste vola, il m'avait écarter les jambes me rapprochant de lui, avant de venir posé sa bouche sur mon intimité, je hurlais de plaisir, cette sensation qui mettait étrange, réveiller tout mon corps. Il ôta le dernier bout de tissus qui recouvrait son corps, avant de se placé au dessus de moi, et m'embrasser. Il entra en moi brusquement, me faisant crier de douleurs, ces vas et viens se faisait doux, me laissant m'habituer, avant de les accélérer, mon corps était envahie de plaisir et en demander plus. Il enroula ces doigts au miens, m'embrassant à nouveau. Nous ne tardions pas à arriver à l'orgasme, j'entendis son gémissement roque qui sonnait comme une mélodie à mes oreille, il déposa un simple baiser sur mon front avant de lever, entrant dans la salle de bain. Je m'étais enrouler sous la couverture. Et avais éteins la lumière, quelques minutes plus tard il j'avais sentie son cops chaud et nue venir se coller au miens.

Théo: Je suis désolé. Dit-il en embrassant mon épaule nue

C'est sur ces mots que le sommeil m'avait emportée, j'étais tomber amoureuse de Théo et maintenant je ne pouvais plus le nier, il restait tout juste 5 mois, avant que tout ne re vienne à la normale, j'allais vivre jours pour jours et profiter de ce que j'avais. Voilà mon choix.

Des caresses m'avais réveiller, j'ouvrais difficilement les yeux, voyant les rayons du soleil éclairé le visage de Théo, ces mains se promener sur mon corps nue, ses caresses allaient de mes hanches à mon bras. Un sourire aux lèvres, il m'embrassa, ses lèvres chaudes éveiller le désire.

Théo: Bonjour.

Briséis: Bonjour, Emma n'a pas dormis ici ? Dis-je en me rappelant

Théo: Non elle sait coucher avec Énola. Dit-il en arrêtant ces caresses

Briséis: Pourquoi tu t'arrêtes ?

Théo: Parce que sinon, je vais déraper . Dit-il s'apprêtant à ce lever

Je le retenus lui saisissant la main.

Briséis: Reste.

Théo: J'ai du boulot, mon ange. Dit-il en embrassant ma main

Son élan de douceur envers moi, m'encourager à aller vers lui. Mes sentiments pour lui avait fait que décupler depuis la nuit dernière.
J'enroulais la couverture autour de mon corps avant de me lever et d'entré sous ces yeux dans la salle de bain, je pris une douche rapide avant d'enfiler de nouveau sous-vêtements et un haut près du corps ainsi qu'un jean. Sortant de la salle de bain me séchant les cheveux avec une simple serviette, Théo avait disparus, la vue de ce lit complètement défait m'avais rappelé les événements de la veille, créant un sourire bête sur mes lèvres. Je repris mes esprits et sortie de la chambre. Le réveillons de Noël était aujourd'hui, tout les employés s'activaient, l'horloge indiquait 12h41 ont avaient effectivement dormis jusqu'à très tard, la soirée nous avait épuisé. J'entrais dans la cuisine voyant Énola encore en pyjama, assise entrains de manger. Elle m'avait remarqué.

Énola: Briséis ! Bryan m'as dit ce qui c'est passer hier, tu vas bien. Dit-elle paniquée

Briséis: Ne t'inquiète pas, je vais bien. Dis-je en prenant une viennoiserie

Énola regagna sa place, tout en me souriant.

Briséis: Arrête de me regarder comme ça. D'ailleurs pourquoi tu es encore en pyjama ?

Énola: Hier, j'ai voulus prendre de tes nouvelles mais la porte de ta chambre était fermer. Et comme toute pièce dans cette maison est insonorisée permet moi de me posé des questions.

Briséis: La curiosité et un bien vilain défaut. Dis-je en rigolant

Ariane percher sur ces talons haut, était rentré dans la cuisine. Interpellant Énola. Elle portais une mini-jupe accompagner d'un haut moulant dévoilant sa poitrine.

Ariane: Quelqu'un aurait vue Théo ! Dit-elle réajustent dans jupe

Énola: C'est mon frère pas mon mec Ariane. Dit-elle en se levant et sortant de la cuisine

Ariane se tourna vers moi, me regardant de haut en bas.

Ariane: c'est sur que ce n'est pas non plus le tiens. Dit-elle en tournant les talons

Un petit rire échappa de ma bouche, elle se retourna en ma direction, me dévisageant. Je la contournais sortant de la cuisine une viennoiserie à la main. Si seulement elle savait.