BVI

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La soirée battait son plein. En jetant un coup d'œil assise à la place, je pouvais voir Aaron vagabonder d'invité a invité, un sourire charmeur au lèvre. Son regard croisa le mieux, il me souriait de toute ces dents, je fis de même.

Théo: on s'en va. Dit-il en me prenant la main pour me lever

Briséis: je croyais que tu voulais rester ? Dis-je reportant mon attention sur lui

Théo: j'ai changé d'avis. En passant sa main sur ma taille

Je me lever de ma chaise, jettent un dernier coup d'œil à Aaron, en avançant vers l'entrée, la réceptionniste nous rendirent nos veste et nous sortions enfin. Arriver à la voiture, avant de monter dans celle-ci j'ôtais mes escarpins qui m'avaient fait malheur durant toute la soirée.

Au bout d'une trentaine de minute nous étions devant l'appartement, le trajet c'était fait en silence, nous étions dans l'ascenseur et le calme était Omni présent, Théo dresserez sa cravate, il était tendue et cela se voyait à sa mâchoire crispé, à peine les portes ouverte, il se retournait vers moi me portant comme un sac à patate sur son épaule, me restant lâcher un crie de surprise.

Briséis: Mais... qu'est-ce que tu fait !

Il ne me répondit pas, et me déposais une fois arriver près du canapé, il m'attira vers lui, me faisant  tomber sur ces genoux, les fesses en l'aire. Il me bloqua posant ces main sur mon dos. J'essayais tant bien que mal de me relever, me débattant fortement.

Théo: tu ne fais qu'empirer ton cas Briséis. Dit-il en remontant ma robe

Briséis: laisse moi ! S'il te plaît. Dis-je paniqué

Théo: je t'avais prévenue mais comme à ton habitude tu n'écoutes pas.

Il baissa ma culotte, au moment où je m'apprêtais à protester je sentie sa main s'abattre sur une de mes fesse, laissant échapper un crie de douleur.

Théo: je ne veux rien entendre ! Dit-il en abattant sa main encore une fois

Les coups se faisait de plus en plus, sans qu'un bruit ne s'échappe de ma bouche. Les larmes s'échappèrent sans que je puisse les retenir, au bout du 15ème coups il s'arrêta, baissant ma robe sur mes fesses meurtries, me libérant de cette affreuse scène.

Théo: j'espère que tu as compris la leçon. Dit-il en le repoussant de ces genoux et s'éloignant

J'étais rester assise au sol, complètement choquer de ce qui venais de ce passer, la douleurs que je ressentais à l'intérieur était beaucoup plus forte que la douleur physique. Je me levais saisissant ma culotte avant de montais les escaliers, m'enfermant dans la chambre. Les larmes parlaient d'elle même, ne pouvant plus s'arrêter, je pris le pyjama posé sur le lit, et sortie de la chambre pour aller dans la salle de bain, je pris une douche chaude, essayant d'oublier ce qui venait de ce passer, les gouttes d'eau chaude venant s'abattre sur mes fesses meurtris, me procurer une douleur atroce. Je sortis m'habillais rapidement avant de me regagner la chambre et de me mettre sous la couverture épuisé, et triste. Les larmes n'avaient cesser de couler, j'essayer tant bien que mal de trouver le sommeil. La porte de la chambre s'ouvrît, Théo venait d'entré j'essayer de ne pas croiser son regard. Il pénétra sous la couverture venant coller son corps chaud contre le mien. Je ne pouvais pas protestais de peur de me retrouver blesser une seconde fois. Il passait ces bras autour de ma taille m'attirant vers lui. Ces bras autour de moi apaisait mes sanglots.

BRISÉISOù les histoires vivent. Découvrez maintenant