BXXXVII

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Je descendais de cette voiture ou l'air était très restreint. Observant cette demeure sûrement plus grande qu'une place publique à Manchester. Énola m'invita à ne pas rester sur le palier. Soudainement un main se posa sur mon épaule, par réflexe je me retournais brusquement, enlevant cette mystérieuse main posé sur mon épaule.

Employés: Oh excusez-moi mlle. Mais vous avez fait tomber votre écharpe. Dit-il en me la tendant

Briséis: Merci. Dis-je en souriant

Il fallait que je me détende, penser à hier n'arranger rien. Inspiration, expiration voilà ce qu'il fallait faire. Je rentrais alors dans cette maison accompagné d'Énola. May nous avait accueilli.

May: Mes petites chéries. Dit-elle en nous prenant dans les bras

Elle m'avait fait visiter toute la maison. Et m'avais attribué une chambre pour mon séjour ici. Les enfants n'arrivaient que dans 1h d'après Énola. Je posais ma valise au sol, dévalant celle-ci. Une petite enveloppe en carton s'y trouvais. Bizarrement je ne l'avais jamais mise dans ma valise, je l'attrapais, avant de l'ouvrir. Un téléphone s'y trouvait munis d'un petit mots.

     " Ce téléphone est bloquer sur      "
       Mon numéro. Appel moi si tu as
       Le moindre soucis. Ne loupe pas
       Mes appels.
     "                                     - Théo.           "

Je débloquais alors le téléphone, composant le numéro de mes parents. Bien évidemment, il était réellement bloquer sur son numéro déjà enregistré dans celui-ci. Je le reposais sur la table de chevet déçus, allant prendre une douche chaude, avant de m'habiller chaudement, et descendre chercher Énola, être seule pour moi était impossible. En descendant je trouvais 15 mioches assis tous en silence dans le séjour. May leurs lisant une histoire. Je m'appuyais alors sur l'embrasure de la porte, obscure leurs visages ébahit par le récit.

Énola: Ils viennent d'arriver. Dit-elle en arrivant

Briséis: Ils sont l'aire heureux.

Énola: Il le sont. Tu viens on va manger.

Je suivis Énola dans la cuisine, une employée nous servis à manger. Ont avaient fait un long voyage et ont étaient morte de faim. Nous avions mangé toute en discutant.

Énola: Ce soir, ma mère organise un petit gala de charité pour les enfants.
L'occasion de voir du monde.

Briséis: Oh, c'est super mais je ne pense pas y aller. Dis-je en mangeant

Énola: Tu es obligé, ne serais-ce que pour ces enfants. Regarde les, fait leur honneur.

Je souris, repensant à leurs têtes avant de reconsidérer ma descision. J'allais y aller pour ces enfants. Soudain une silhouette que je j'avais déjà vue entra dans la cuisine.

Bryan: Énola ! Range tes putain d'affaires. Dit-il en entrant

Je me retournais le regardant dans les yeux. Il ne manquer plus que ça. Ma première impression sur lui n'avait pas fait l'an feu. Dire qu'il était là maintenant dans cette maison.

Énola: Oh ! Briséis, voilà Bryan mon demi-frère.

PARDON ?! Théo m'avais dit que c'était seulement son amis d'enfance. J'en apprenais de jour en jour sur cette famille.

Bryan: Une revenante. Dit-il en me regardant

Il enroula son bras autour des épaules d'Énola. Ne me quittant pas du regard.

Énola: Vous vous connaissez ?

Briséis: Non. Dis-je rapidement

BRISÉISOù les histoires vivent. Découvrez maintenant