BXXXIV

573 43 1
                                    


Je m'étais réveiller au beau milieu de la nuit, assoiffé et affamé. Les bras de Théo m'encerclaient, brûlant à vif ma peau. Je le repoussait sortant du lit. Après ce qu'il m'avais fait je ne pouvais dormir près de lui. Je descendis vers la cuisine, dans l'obscurité et le silence complet, je détestais cette obscurité. J'avançais vers mon but, me servant à boire. Des bruits se firent entendre.

Briséis: Bali ? Dis-je en chuchotant

Aucune réponse ne se fit entendre, je continuer alors mon activité, regardant l'heure affichée sur le four. 3h41 il était vraiment tard. J'entendis un autre de ces bruits de pas, j'attrapais une fourchette, comme si elle allait m'être utile. Cherchant dans les parages, si Énola ou Théo étaient réveiller. Mais toujours personnes. Je me dirigeais vers le séjour, je n'avais pas envie de retourner dormir au côté de Théo après ce qu'il c'était passer.
Je fis soudainement attrapé, et tiré par l'arrière, me faisant lâcher un crie aiguë.

???: Avise toi encore de crier, et ce poignard te transpercera. Dit-il en chuchotant

Il posa sa main sur ma bouche m'empêchant de parler. Je m'agitais comme je le pouvais, essayant de me dégager de ma prise. Me rappelant le petit objet à ma disposition.

???: On va tranquillement aller vers l'entrée sans faire de bruit poupée.

Il m'entraîna avec lui, me tenant toujours fermement. Je saisit la fourchette l'enfonçant à l'aveuglette dans une partie de son corps. Il relâcha sa prise, prit d'une douleurs. Je me dégageais, courant vers les escaliers.

???: Espèce de petite salope. Entendis-je

Je me sentie soudainement tomber en avant, Ma tête cognant contre la première marche de l'escalier. L'individualisant m'avais rattraper. Il c'était mis à califourchon sur moi. Me ruant de coups. Dans l'obscurité, discerner les traits de son visage était impossible. Des cries de douleurs s'échappaient de ma bouche. Où il posa sa main pour m'empêcher de crier.
Il me releva d'un bond posant son couteau sous ma gorge.

???: La prochaine fois que tu agis stupidement, je te fait la promesse que je laisse ici sans vie.

Les larmes coulaient toute seule, à ce moment je me disais que ma vie toucher à sa fin. Cette agresseur allait me tuer. Et jamais je n'allait pouvoir revoir quoi que se soit.

Théo: Et moi je te fait la promesse que si tu ne la lâche pas, c'est ton corps qui sera sans vie. Dit-il Soudainement

Théo était arriver, nous avions tous entendus le bruit de la gâchette de sécurité de son révolver. La lumière de l'appartement s'était rallumée entre temps. Et je me retrouvais en face de Théo pointant son pistolet sur nous.

???: Je pourrais la tuer avant que tu n'ai le temps de tiré, ou je pourrais m'amuser avec elle pendant que tu regarde et que tu ne peut pas tiré. Dit-il en remettant le couteau sous la gorge

Il laisser balader son autre main, mon regard était noyer dans les larmes, regardant Théo le suppliant de faire quelque chose pour me tiré de la. Son regard à lui était obscure. Soudain un sourd bruit de balle tiré se fit entendre.
En l'espace d'un instant mon cerveau avait cesser de fonctionner. Le couteau de l'agresseur avait glisser de mon cou, à mon ventre, mes jambes, s'écrasant au sole.

Théo: Tyler, john ! Attacher le et descender le au sous-sol. Dit-il posant son arme

Je me précipitai vers lui, me cachant dans ces bras, explosant en larmes. Il me pris dans ces bras me serrant fort. Me rassurant par la même occasion. Les hommes de Théo étaient venue et avaient amener l'agresseur hors de notre vues.

Théo: Eh tout est terminé. Tu es saine et sauve. Dit-il en chuchotant me caressant les cheveux

Je tremblais, je pleurais, j'avais peur. Rien de tout ça n'aurais du arriver. Ma vie n'aurais jamais dû être en danger de cette manière. Je le pousser fortement, rompant notre proximité.

Briséis: Tu avais promis ! Promis de me protéger ! Regarde ce qui est arrivé par ta faute ! Dis-je en explosant

Théo: Briséis calme toi.

Briséis: Non ! j'en ai plus qu'assez ! D'avoir constamment peur ! Être avec toi nuis à ma santé mentale comme physique !

Énola: Les gars il est 4 heures du matin.
Dit-elle en descendant les escaliers

Théo: Énola, remonte te coucher.

Briséis: Non, laisse la savoir !

Théo: Fais ce que je te dis !

Énola, remonta les escaliers en sens inverse, me laissant encore une fois seule avec le démon qui aller me détruire de plus en plus vite.

BRISÉISOù les histoires vivent. Découvrez maintenant