Briséis: Sort de cette chambre. Dis-je au bord des larmes
Comme si tout était de ma faute si cette balle avait transpercé mon épaule, si j'avais faillit perdre la vie, si j'étais finalement là. Rien de tout ça n'aurais du ce passer, j'aurais du aller en école d'art, à cette instant la j'aurais du être avec ma famille partageant un repas. J'aurais du vivre ma vie en ne pensant pour une fois qu'à mon bien être. A la place je vis un cauchemars éveillé. Depuis ma venue ici je n'avais pas craqué, prenant sur moi à chaque instant, me répétant que tout irais bien une fois ces mois d'enfers passer. Mais me rendre à l'évidence était nécessaire, tout cela était loin d'être finis.
Briséis: casse toi ! Qu'est-ce que tu ne comprends pas !! Bordel barre toi ! Essayais-je de crier en pleurant
Ma respiration se faisait de plus en plus forte j'arrivais à peine a respirer. Le souffle me manquais, et elle ne bougeais pas restant à sa place fixe. La porte s'ouvrît soudainement, Sur Théo qui avait du entendre les cris .
Ariane: Briséis, calme toi je t'en pris. Dit-elle changeant complètement
Théo: Ariane, sort rapidement. Dit-il en m'approchant
Ma respiration ne s'était pas calmer, et mon souffle se faisait de moins en moins régulier comme si on essayait de m'étouffer. Je vis alors Ariane sortir, et Théo s'approcher de moi.
Théo: Eh, calme toi... respire... elle est partis, elle ne reviendra plus. Dit-il en me prenant la main
Ma respiration se calmait alors petite à petit, Théo me pris dans ces bras, ce qui m'apaisais les sanglots se firent de moins en moins laissant place à l'aire.
Il effectuais des petits cercles sur ma peau me calmant par la même occasion. Au bout de quelques minutes il décida de briser le silence.Théo: Tu te sens mieux ? Dit-il près de mon oreille
Seule un hochement de tête lui fit comprendre que la petite crise d'angoisse était passer.
Théo: Je vais refaire ton bandage. Dit-il en se séparant de moi
Je n'avais pas la force de protester, et l'envie de voire Ariane devant moi, n'était pas du tout pressante, alors je le laisser faire. Il déboutonna ma chemise en satin. Avant de détailler mon bandage, le déroulant délicatement, laissant dévoiler ma poitrine nue, il l'a détaillait avant que je vienne la cacher à l'aide de mon autre bras. Il se retourna saisissant un simple désinfectant je pouvait observer la cicatrice, qui n'était pas jolie a voire, mais elle c'était presque toute refermer. C'était la première fois que je la découvrait et c'était moins terrible que je ne le pensais.
Il posait la compresse sans me prévenir sur ma plaie. Laissant échapper un cris, je saisissait son autre main enfonçant mes ongles dans celle-ci.Théo: Tu en as de la force. En retirant la compresse
Il saisit un bandage tout neuf avant de retirer mon bras qui couvrait ma poitrine. Et d'enrouler celui-ci autour de ma poitrine, le faisant passer derrière mon dos, une fois finie tout cela, il m'aide à enfilais ma chemise, et m'installais délicatement sur la tonne de coussins éparpillés sur le lit.
Théo: Tu as un corps de déesse, inutile de le cacher. Dit-il prenant place près de moi
Un rapide sourire étira mes lèvres avant de rapidement se dissipé.
Briséis: Par pitié, ne la fait pas revenir. Dis-je les larmes au yeux
Théo: Elle ne reviendra pas, c'est promis. Dit-il en se levant
Il s'approchait de moi, déposant sa main sur la joue, lui infligeant une simple et délicate caresse avant d'éteindre la lumière et sortie de la chambre.
Je m'endormis sur le coup, fatiguer de tous ces rebondissements dans ma vie et de cette douleurs insoutenables que je ressentais à l'intérieur de moi.

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BRISÉIS
PrzygodoweElle avait tout d'une parfaite inconnue pour lui. Cependant une simple histoire de dette impayée, les réunira. Briséis est simple, elle a tout d'un ange. Théo est impitoyable, il a tout d'un démon. Le destin les réunira 7 mois, l'ange à la merci...