BXXV

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Théo: Je sais que sa ne te réjouit pas de retourner la bas. Dit-il sincèrement

Briséis: Non sa ne me réjouis pas.

Théo: Mais j'y peux rien.

Briséis: Oui, comme les deux mois qui se sont écoulés. Dis-je regardant la télé

Théo: Briséis, change de disque. Dit-il strictement

Les larmes menaçaient de s'échapper sans mon consentement, je me levais énervé en me ruant dans la chambre. Comment pouvait-il me demander de changer. 2 mois de ma vie s'étaient complètement évaporés à cause de lui. Il  me demandais de retourner dans la ville où j'ai faillit y laisser ma vie, et de plus je n'avais pas le choix, il pensait que j'allais accepter gentiment, comme si le traumatisme qui c'était créé en moi c'était envolé ?
Je filais sous les draps me mettant en boule.
J'avais passer ma journée dans le lit pensant à comment aller se dérouler notre retour à Londres allais-je paniquer ? Tel était ma question et je n'allais avoir la réponse qu'une fois la ba. Théo était venu me chercher dans la chambre pour partir j'avais enfiler mes chaussures ainsi que mon manteau avant de sortir prendre la voiture, puis l'avion. Après 5 heure de vol nous étions arriver et le chauffeur de Théo était venus nous prendre. Il nous avait conduis jusqu'à l'appartement. Nous laissant monté. Une fois l'ascenseur ouvert l'appartement que j'avais laisser était totalement différent de celui-ci, il était décoré de toute sorte, l'esprit de Noël était Omni présent.

Théo: C'est pas vrai. Cassandre ?! Dit-il en se dirigeant vers la cuisine

J'avais étais anxieuse durant tout le trajet, en arrivant à l'appartement je me sentais enfin en sécurité, plus que dans les rues de Londres au moins. Les cris de Théo se faisait entendre de jusqu'à la rues, je pris alors direction vers la cuisine d'où les cris provenait.

Théo: Combien de fois va falloir que je vous répète ?! Ne laisser pas ma mère toucher à l'appartement en mon absence ! Dit-il en criant sur les employés

Je n'aimais vraiment pas la façon dont Théo parlait à ces pauvres gens qui essayaient simplement de faire leur jobs. Je pénétrais dans la cuisine derrière lui.

Briséis: C'est pas de leurs faute. Dis-je simplement

Théo se retourna vers moi me lançant un regards noir, qui ne prévoyait rien de bon.

Théo: Chacun retourne à son job ! Le prochain que je vois glander c'est la porte. Dit-il en se retournant

Il me saisit pas le bras, m'entraînant avec lui à l'étage, où il n'y avait jamais d'employé, il me plaqua soudainement au mur, ce rapprochant dangereusement de moi.

Théo: il faut que tu arrêtes de te mêler de ce qui ne te regarde pas Briséis. Dit-il sévèrement

Briséis: Ce n'est pas de leurs fautes et tu le sais. Dis-je en lui répondant

Théo: Et j'en ai rien à foutre. Ce n'est pas  parce que je suis plus indulgent avec toi que tu peux te permettre de contester mon autorité devant mes employés. Dit-il en serrant sa prise

Briséis: Qu'est-ce qui te prend ? Tu me fait mal.

Théo: Et toi tu me rends fou. Dit-il en posant ces lèvres sur les miennes

Brisant cette proximité si étroite. Il posa ces lèvres chaude et douce sur les miennes, mes main par automatisme essayé de le repoussé mais c'était peine perdus, je prenais déjà plaisir à goûter ces lèvres, il força l'accès à ma bouche.  Nos langues s'entraînant dans une danse endiablée. Je finis par reprendre mes esprits avant de lui mordre la lèvre inférieure, l'obligeant à cesser notre baiser.

Théo: C'est la dernière fois, que tu conteste mes ordres devant ces gens. Dit-il avant de s'en aller vers son bureau

Je repris mon souffle, le regardant s'éloigner, je pris le chemin inverse descendant ainsi les escaliers perturbé de ce qui venait de se passer. Mon bas ventre était en feu, jamais je n'avais ressentie de telles émotions, et cela me m'intriguais encore plus. Je ne doit pas flancher, je ne doit pas flancher voilà ce que je me répéter en boucle.

BRISÉISOù les histoires vivent. Découvrez maintenant