BXXIX

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J'avais profité du fait que Théo soit enfermer dans son bureau, pour me promener dans cette immense appartement, à part ma chambre, la cuisine, le séjour et le bureau de Théo je ne connaissais pas vraiment les lieux. J'ouvrai alors porte par porte. J'avais découverte une salle de sport, une bibliothèque, une salle de cinéma ?! C'était pas croyable. Un appartement en plein Londres avec autant de pièce était tout simplement impossible, sans compter les nombreuses chambres à disposition. J'étais entré dans une salle où seule un piano était disposé en plein milieu de la salle, les rideaux était tiré, ne laissant pas pénétrer le clair de lune.
Je m'approchais de celui-ci, et l'effleurais de mes doigts. Ma mère aimait bien jouer du piano, on manquait énormément de sous, on n'avait pas les moyens de s'en payé un, alors je me rappel qu'elle me traîner à la place publique de notre rue ou un piano était poser, et ou tout le monde pouvais jouer, je l'écoutais et l'observais jouer ces magnifiques morceaux, qui avait bercer mon enfance. Je posais mes doigts sur les touches du piano et jouer un petit morceau rapide. la mélodie était tellement douce au oreilles. Qu'elle me rappelait cette petite place, les moments où ma mère jouer, les moments où elle me souriait, les moments où elle m'apprenait. Elle me manquais terriblement, les larmes menaçaient de s'échapper de mes yeux, et de courir sur mes joues. Soudain je sentie une personne me pousser sur le côté, et prendre place près de moi.

Théo: Je ne savais pas que tu en jouer.

Briséis: Je ne sais pas vraiment en jouer, je me débrouille. Dis-je en séchant rapidement mes larmes

Théo: Joue un morceau. Dit-il en me regardant

Briséis: Je...

Théo: Contente toi de jouer. Dit-il en posant les mains sur les touches

Je reportais mon attention sur les touches du piano, et me laissait emporté par les émotions. En jouant de cet instrument je me sentais libre et revenir la où était ma place auprès des miens.
Une fois le morceau achever je regardais Théo qui n'avait pas loupé le moindre de mes geste.

Théo: Tu te "débrouille" plutôt bien. Dit-il un rapide sourire aux lèvres

Un petit rire s'échappa de ma bouche. Théo était parfois gentille avec moi et parfois simplement dure et impassible. Mais il avait un côté bon et cela ne pouvais pas être caché. Je ne comprenais pas pourquoi il persistait à se montré dure et intouchable, alors que la vérité est qu'il est en fait vulnérable.

Briséis: J'ai faim. Dis-je fuyant le sujet

Théo: Je venais te chercher pour dîner. Dit-il en se levant

Je le suivais à travers la maison. Nous nous installions pour manger, et mangions en silence. Il nous arriver d'échanger rapidement. Cassandre et le reste des employés était déjà partie il était presque 22 heures, cette journée était passer tellement rapidement. Sûrement car je m'étais lever tardivement. Après avoir finis nous débarrassions ensemble. J'avais beaucoup manger, mon ventre allais exploser, je m'étalais alors sur le canapé. Complètement caler. Quelques minutes plus tard Théo c'était installer près de moi sur son ordinateur, à une fois de plus travailler. Je me redresser, fermant son ordinateur portable.

Briséis: Tu te souviens du jeu auquel on a jouer hier ? Dis-je une idée derrière la tête

Théo: Hum...

Briséis: je veux y jouer. Dis-je simplement

Théo: Non, je suis fatiguer. Dit-il en se levant

Briséis: Attend. En lui attrapant le bras

Il s'arrêta, observant mon geste. Je voulais avoir plus d'informations, il m'en fallait plus.

Briséis: Question, pas de réponse un gage.

Théo: Bien. En s'asseyant posant son engin sur la table basse

Je crus voir une lueur de désir traverser ces yeux, je savais bien évidemment à quel genre de gage il pensait.

Théo: serais tu prêtes à rester ici ?

Briséis: Non, ma place n'est pas ici. Dis-je en fronçant les sourcils

Je ne comprenais pas sa question, visiblement ma réponse ne lui avait pas plut.

Briséis: Quel était la dette de mon Père ?

Je vis Théo pincer ces lèvre. Avant de me répondre.

Théo: Ton père était un amis du mien. Il c'était attiré des ennuis, mon père m'a demandé de l'aider.

Briséis: Mais encore ?

Théo: Briséis, j'ai répondus à t'as question.

Je soufflais, il avait effectivement répondus à ma question.

Théo: Combien d'hommes t'on fait l'amour ?

BRISÉISOù les histoires vivent. Découvrez maintenant