Théo: Briséis, calme toi.
Briséis: Je peux pas ... ! J'ai ... j'ai... tellement mal. Dis-je en pleurant
J'avais mal intérieurement, les mains de cet intrus poser sur moi. Me donnais la migraine, le sentir me toucher me dégoûtais. Un vase posé sur la table, se retrouva au sole en miette après mon passage.
Briséis: Il... il a posé... ces mains sur moi. Il m'a touché ! Dis-je en attrapant un autre vase le jetant au sole
Théo, attrapa mon bras m'attirant vers lui, en me serrant fort dans ces bras m'empêchant de faire tout mouvement.
Théo: Tout est finie.
Briséis: Si tu n'étais... pas arrivé...
Théo: Mais, je suis arrivé ne pense plus à ça.
Théo nous entraîna à l'étage, dans la chambre, il m'aidait à me coucher dans le lit. Il soigna rapidement ma blessure sur le front très délicatement, sans jamais croisé mon regard.
Théo: Essaie de dormir, je vais rester réveiller. Dit-il en s'asseyant sur le fauteuil en face du lit
Je fermais les yeux, essayant malgré moi de trouvé le sommeil. Plus 1 heures était passer et je n'avais toujours pas réussis à dormir. Théo n'avait pas quitter sa place et se trouvait toujours en face de moi un verre de boisson à la main. Il n'avait pas bouger, cela me rassurais de le savoir près de moi, malgré tout les atrocitées qu'il m'avais faite. J'arrivais alors petite à petit a trouver le sommeil.
Les rideaux de la chambre à mon réveille étaient tiré et empêcher le soleil de pénétré dans la chambre. Des cries plutôt fort se faisait entendre depuis les escaliers. Je me lever ayant affreusement mal à la tête, et marcher en direction de ces engueulades. Arriver au escaliers je pouvais discerner la voix de Théo.
Théo: Ou étiez vous hier ?! Si cette individus a sût entré sans que vous ne le voyez, tout le monde alors peut entré ! Vous ne servez donc à rien ?! Je ne vous post pas devant l'appartement pour faire beau !
Un bruit sourd d'un verre casser ce fit entendre.
Théo: Écoutez moi bien. La prochaine fois qu'une autre chose comme ça se produit, sa se payera de votre vie ! C'est bien claire ? Retournez à vos post.
Les hommes, avaient simplement baisser la tête, retournant à leurs postes. Un autre bruit de vaisselle écrasant le sol se fit entendre. Je descendais alors doucement les escaliers. Arrivant devant la scène. Je voyais Théo de dos ces deux mains posées sur le plan de travaille. Il s'en voulait sûrement, en rajoutant une couche hier soirs, je n'avais pas arrangé les choses. Et après tout il était arriver à temps, et m'avais sauvé. Il avait honoré sa promesse, mais de peur et de colère, je n'avais pas sus l'admettre.
Briséis: Théo... ? Dis-je en l'approchant
Il resta de marbre, me tournant le dos, les bouts de verre au sol du aux assiettes brisé, exprimer sa colère et son désespoir. J'avançais une main tremblante, la posant sur son épaule.
Théo: Briséis, n'approche pas...Dit-il simplement
Briséis: Trop tard...
Il saisit ma main, se retournant. Il passa sa main sur la blessure de mon front. Des cries de douleurs se firent entendre subitement. Me retournant subitement vers ceux là.
Briséis: c'était quoi...?
Théo: Fait tes affaires... Énola va passer te prendre. Vous aller chez ma mère pour Noël.
Briséis: Quoi...? Et...toi ? Dis-je dubitative
Je savais pertinemment que ces cries de douleurs, était ceux de mon agresseur. Je n'aimais pas la violence et entendre ces cries était comme si je marchais sur du verre brisé. Et il était hors de question que je parte dans un endroit inconnu surtout avec ce qu'il venait de ce passer. Le seule endroit où je me sentais en sécurité c'était près de lui.
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BRISÉIS
AventuraElle avait tout d'une parfaite inconnue pour lui. Cependant une simple histoire de dette impayée, les réunira. Briséis est simple, elle a tout d'un ange. Théo est impitoyable, il a tout d'un démon. Le destin les réunira 7 mois, l'ange à la merci...