BRISÉIS

BXXXXX

Briséis: Imagine ma déception, quand j'ai vue que tu n'étais plus dans le lit. Dit-je en rigolant

Il attrapa mes mains dans les siennes, les regardant. Avant de froncer les sourcils. Et de me regarder dans les yeux.

Théo: Où est ta bague ? Dit-il en s'impatientant

Briséis: Je me suis laver, j'ai sûrement du oublier de la remettre.

Théo se leva, me contournant. Il revenue quelques minutes plus tard l'objet dans ces main. Il saisissait ma main avant d'enfiler la bague dans mon doigt.

Théo: Ne l'enlève plus, si tu la perds ou l'abîme je t'en achèterais une autre. Mais garde la toujours sur toi. Dit-il en prenant mon visage en coupe

Briséis: Qu'est-ce qui t'arrive. Dis-je en le regardant dans les yeux

Théo: Rien... Dit-il en m'embrassant

J'avais lâcher l'affaire, ce n'était pas la première fois qu'il me persuader que tout aller bien. Nous étions passer à table, avant qu'il ne s'habille et sorte.
Bali était encore endormie dans son panier, durant ces mois nous avions voyager avec Théo, les souvenirs se bousculaient dans ma tête. Tout allaient s'arrêter dans quelques jours, ce cauchemars devenue un rêve aller prendre fin. Je regardais par la fenêtre le jardin, les rayons de soleil à Londres étaient réapparu, et la chaleur avait fait sa place. J'étais simplement vêtu d'un chemise mis longue, celle de Théo, je pris direction de la chambre prenant une bonne douche, avant d'enfiler une robe noir près du corps avec un Colle carré.
J'attachais mes cheveux en forme de tresse, avant de filer dans le salon, allumant la télévision. Durant la journée qui me paraissait longue, Énola était de passage à Londres, elle était passer et m'avait tenue compagnie. Me parlant de ces nombreuses conquêtes une fois de plus. Avant d'être appeler en urgence chez elle. Les coups de 20 heures approchaient et une fois de plus je n'avais rien fait de ma journée. J'entendis la porte claquer ce qui signifiait que Théo venait de rentré. Je me levais en direction de la chambre, passant devant la salle de bain, j'entendis l'eau couler, j'enlevais ma robe ainsi que mes sous-vêtements, entrant dans celle-ci, j'ouvrais la baie-vitrée, laissant les gouttes d'eau me toucher, j'avançais, posant mes mains sur les épaule de Théo, laissant échapper un baiser sur son dos. Il se laissa faire, Je parsemé son dos de baiser délicat, il se retourna, prenant mon visage en coupe, il m'embrassa délicatement, m'attirant par la taille.

Théo: Tu me complique les choses poupée. Dit-il en me caressant la bouche

De son autre main il remonta le long de ma cuisse, effleurant mon intimité pour s'y introduire brutalement, je laissais ma tête tomber en arrière, il laisser échapper des baisers sur mon cou, avant de retiré son doigt en moi, et de le remplacé, il me pénétra délicatement, mes mains venaient s'accrocher à mon cou, je laissais courir mes gémissements sans retenus, ma lèvres venait chercher du réconfort auprès de la sienne, ces vas et viens était délicat, comme si c'était la dernière moi qu'il me toucher de cette manière. Une fois arriver à l'orgasme. Il me serra fort dans ces bras, avant de nous laver et de sortir de la salle de bain. Théo avait allumé un feu de cheminée dans le salon, seulement recouvert d'un peignoir blanc, il c'était assis sur le fauteuil, un verre de boisson à la main, perdus dans ces pensées, Je m'étais avancé vers lui prenant place sur ces genoux, il fit passer une de ces mains autour de mes hanches.

Briséis: A quoi pense tu ? Dis-je en posant ma tête sur son torse

Théo: Reste. Dit-il en buvant son verre de son autre main

Briséis: Je dois retrouvé ma famille, tu le sais.

Théo: hum. Dit-il simplement

Briséis: Tu pourras venir me voir, à Manchester.

Théo: Non.

Briséis: Bien. Si tu ne peux pas, alors je viendrais à Londres.

Théo: Une fois que tu auras passer cette porte. Plus aucun contacte ne sera possible entre nous. Comme si je n'avais jamais existé. Dit-il en buvant une nouvelle fois

Je relevais la tête en sa direction, me redressant par la même occasion. Prise d'une incompréhension, je fronçais les sourcils.

Briséis: Tu racontes n'importe quoi. Dis-je en me levant

Théo: Je ne serais plus à Londres, Mais à Seattle.

Briséis: Eh bien, qu'il en soit ainsi. Dis-je en m'éloignant

Je me refusais de le perdre, mais le rêve devait prendre fin, il ne rester plus que quelques jours avant que tout redevienne à la normale, et si il tenait réellement à moi, il m'aurait suivis à Manchester et n'aurais pas décidé de s'installer à Seattle. Je m'allongeais dans ma chambre sur le lit, resserrent mon peignoir sur mon corps frêle. Mes larmes s'échappaient de mes yeux laissant un sentiment d'amertume.

————————————————————————

Voilà pour cette nouvelle partie :)
Je tiens juste à préciser que j'ai changer la couverture, et j'aimerai bien avoir vos avis :) alors n'hésitez pas à laisser un petit mot ;)