BI

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Sans m'en rendre compte j'avais tiré la poignet et ouverte la salle qui m'étais interdite... mon cerveau a la vue de tant d'armes à feu avait cessé de fonctionner cette chambre était celle de la torture toute forme de violence s'y trouvé. J'étais pétrifié quand soudain un souffle chaud s'abbatis sur ma nuque me procurant par la même occasion des millions de frisson, il était rentré et m'avais surpris la ou je ne devais en aucun cas être.

Théo: je croyais t'avoir interdit de venir ici ? Chuchote t-il au creux de l'oreille

Il ne paraissait pas énervé mais comme soulagé, de m'avoir laisser rentré dans cette torture room, il manipulé tout depuis le début, me faisant devenir celle que j'allais bientôt détester. La Briséis sans cœur et au sang froid, semant la mort autour d'elle et ayant celle-ci comme allié.

Théo: tu sais que je déteste quand on ne n'obéis pas. Dit-il en me contournant

Il s'approcha de chaque instrument à feu, l'effleurant d'une simple caresse il saisit l'arme déclenchant ainsi en moi un mouvement de recule.

Théo: tu n'as pas à avoir peur. Une fois que tu sais la manier, tu ne peux t'en passer dans mon monde. Dit-il en se dirigeant vers moi

J'étais toujours en état de choque, il se dirigea vers moi prit ma main me déposant l'arme au creux de celle-ci. Je ne voulais en aucun cas l'avoir sur moi et encore moins l'utiliser.

Briséis: euh... reprends... la s'il te plaît. Dis-je un peu paniquer

Théo: tu te rappelles de ce que tu m'as dit le jour de ta venue ici ? Dit-il en saisissant l'arme dans ma main et la pointant sur lui

Briséis: qu'est...ce que tu fais ? Dis-je perdu

Théo: tu désirais me tuer. Fait le ! Ordonnait-il pressant ma main sur l'arme

Totalement perdus je ne réagissais pas, je n'étais pas inhumaine pour commette un tel crime, ôté la vie d'une personne même cruel et sans cervelle n'étais pas mon rôle. Si sa seule satisfaction était de mourir il devait le faire seule.

Théo: si tu ne le fait pas tu risques de rester ici avec moi un paquet de temps je t'offre ta liberté.

Briséis: ma liberté accompagner d'un vieux tas poussiéreux de culpabilité. Je ... je n'en veux pas. Dis-je en me dégageant de sa prise

Désolé pour les fautes, je ne suis encore qu'une débutante mais j'espère que vous avez kiffer le premier chapitre !

BRISÉISOù les histoires vivent. Découvrez maintenant