BXXXVI

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Théo: Fait tes affaires, tu pars dans quelques minutes. Dit-il en me contournant

Briséis: Impossible...

Théo: Ce n'est pas le moment Briséis.

Briséis: Je partirais pas sans toi.

Il se retourna, les sourcils froncer et complètement dans l'incompréhension. Je n'avais pas le choix lui dire la vérité était la seule solution.

Briséis: Après ce qui viens de ce passer, je ne pourrais pas y aller seule. J'aurais trop peur.

Vous devez vous dire, aller la ba seule était un bon moyens de contacter mes parents ou encore pouvoir m'enfuir, mais Théo m'avais déjà menacer de les tuer si je t'entais quoi que se soit, les conséquences était trop important pour risquer.

Théo: tu n'auras pas à t'inquiéter. La maison sera surveillée continuellement.

Briséis: Mais... bien.

Je n'avais pas envie d'insister, il ne voulait pas y aller, très bien c'était son choix. Mon anxiété ne faisait qu'accroître. Je remontais dans la chambre, faisant mes affaires. Une fois finis je refermais ma valise. La posant dans un coin de la chambre, je pris des vêtements et filais dans la douche, celle-ci m'avais bien détendus. Laissant mon anxiété toujours au même stade d'intensité. Je m'habillais doucement retardant le moment venu. Je descendis les escaliers remarquent Théo remonter du sous sol les manches retroussées. Je mangeais rapidement une pomme.

Théo: N'oublie pas j'ai des yeux partout. Ne tente pas l'irrationnel. Dit-il posant en face de moi son téléphone

La photo de ma maison, était sur l'appareil. Une nouvelle de ces menaces stupide. Me forçant ainsi à me tenir à carreaux. J'éteignais son téléphone, le faisant glisser dans sa poche sans dire un mot. Je devais être forte, et lui montré que ces menaces ne me touchais plus. La sonnerie de l'appartement se fit entendre, je m'apprêtais à aller ouvrir, quand Théo me rattrapais par la taille, me forçant à rester sur place.

Théo: Reste ici. Dit-il en se dirigeant vers la porte

Je restais dans la cuisine attendant patiemment. Énola fit brusquement son entrée, en me courant dans les bras.

Énola: Tu as un beau bobo tiens... heureuse de voire que tu vas bien.

Briséis: Merci...Dis-je en souriant

Énola: On y va ? Je suis tellement heureuse que tu passe Noël avec nous. Dit-elle en me tirant vers l'entrée

Théo: Bien. Quatre de mes hommes vous escortent vers New-York. Dit-il en nous accompagnant

Énola et moi nous nous dirigions vers l'entrée, suivis de Théo. Les hommes de main avaient déjà descendus la valise.

Théo: Eh. Tout ira bien... Dit-il en m'attrapant

Je ne lui répondis pas. Je rejoignis Énola qui était déjà sortie de l'appartement. Nous avions pris la voiture et ensuite un jet pour finalement arriver à New-York complètement épuisés, durant tout le vol j'avais était anxieuse et chaque mouvement fait était analysé. Je devenais paranoïaque, j'avais réellement peur qu'on s'en reprenne à moi un troisième fois. Je n'imagine même pas comment la futur femme de Théo pourra vivre dans un tel chaos et dans une telle peur. Cela était complètement incompréhensible et irrationnel. Nous étions à présent dans une voiture direction New-York il faisait vraiment frais ici, plus qu'à Londres. Quelques heures plus tard nous étions arriver en ville, les rues étaient blindés de monde et toute animée, un tout autre monde s'offrait devant mes yeux. 30 minutes plus tard nous étions devant une immense propriété, le portail c'était ouvert sur une grande maison munit d'un grand jardin. Je découvrais enfin alors la propriété de May.

BRISÉISOù les histoires vivent. Découvrez maintenant