BXXXII

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Nos lèvres ne se quittaient plus, une de ces mains tenaient mes poignets m'empêchant de me débattre, et l'autre se baladait sur mon corps. Parsemant tout le long des caresses . Il libéra ma lèvre, s'attaquant à mon cou, semant des milliers de baisers tendre.

Briséis: Je... essayais-je de parler

Il m'entraîna dans la chambre, s'attaquant à ma poitrine, je me détestais de ne pas avoir la force de pouvoir le repousser, il détenait cette emprise sur moi. Je ne pouvais lui résister. Il pénétra sa main dans mon short, s'approchant de mon intimité, qu'il caresser, créant en moi de multiples désires. Il titillais mon corps comme il savait si bien le faire. Cette sensation inconnus dominé tout mon esprits et m'empêchais de reprendre le contrôle de moi même. Soudain il arrêta toute caresse, posant ses lèvres sur les miennes. Avant de se relever et de sortir de la chambre. Ouvrant les yeux, je découvrit son absence, frustré et en colère je me levais, me changeant rapidement avant de filer sous la couette. Je m'étais laisser aller, cela ne me ressemblait pas, je ne devais pas. Il fallait trouver un moyens de tout arrêter, mettre des distances n'avais pas fonctionné. Il savait pertinemment que je ne pouvais lui résister. Et il en profitais.
Je fermer les yeux, essayant de ne plus y penser.

Le lendemain je fit réveiller par de la musique, première fois depuis Mon arrivée ici que j'en entendais. Le lit était vide, m'indiquant que personne n'avait dormis près de moi la nuit dernière, je ne sais pas vraiment à quoi je m'attendais en me réveiller, à le trouver près de moi ? Peut-être, il fallait que je me reprenne. Je sortie du lit, descendant les escaliers.
Énola était avec Cassandre, la table était entièrement plaine. Des fruits, crêpes, sirop d'érable remplissaient la table.
Énola me vit, avant de se ruer sur moi.

Énola: Tu es réveille ! Viens, manger !

Briséis: Je vois que tu va mieux.

Énola: Oui j'ai repensé à ce que tu m'as dit hier. Je n'ai besoin de personne pour aller bien et profiter de ma vie, et si elle est vraiment faite pour moi nos chemins se re croiseront. Dit-elle en me posant une tasse de café

Briséis: Je suis contente que tu l'ai compris. Dis-je en souriant

Nous prenions notre petit déjeuner ensemble, toute en discutant. Théo hantait mon esprits, les flashback d'hier me revenaient en tête, me faisant regretter encore plus mon lâcher prise.

Énola: Théo dors encore ? C'est pas son genre...

Briséis: Non... enfin... je pense qu'il n'a pas dormir ici. Dis-je en buvant mon jus

Énola: Rien de grave j'espère. Dit-elle

J'ignorais sa réponse et continuer à manger. Énola partit prendre un douche, me demandant des vêtements, que bien évidemment je lui donnais. Moi j'étais rester avec Cassandre à l'aider en cuisine, essayant de ne plus penser au perturbateur qui envahissait mon esprits. Je n'avais pas oublier ma mission il me fallait un téléphone pour pouvoir contacter ma famille et prendre de leurs nouvelles et surtout avoir le fin mot de l'histoire que Théo m'avais raconter sur mon père. Je montais alors vers le bureau de Théo, la dernière fois je n'avais pas eu le temps de chercher, car il était apparus avec son amis. Je poussais la grande porte, vérifiant que personne n'était dans les parages, avant de la refermer. Je vérifier tiroirs par tiroirs, seule un demeuré fermer à clefs et aucun téléphone ne fut trouvé. La frustration était devenus ma meilleur amis ces temps-ci. J'essayais d'ouvrir le fameux tiroirs de son bureau fermer. Mais même en forçant il demeurerait de marbre, faire sauter la serrure serait idiot il saurait que j'étais passer par ici et s'en prendrait sûrement à moi. Je sortis de son bureau bredouille, n'ayant pas plus avancé que ça. J'avais rejoint Énola dans le séjour, qui jouait avec Bali.

Énola: C'est impossible ! Un chiot dans cet appartement. Dit-elle choquer

Briséis: Oh tu es tomber sur Bali. Ta mère nous la offert. Dis-je en souriant

Énola: Et Théo ta laisser le garder ici. Wahoo, lui qui déteste ce genre de petite bête.

Je rigolais à sa remarque, c'est vrai qu'il n'aimait pas vraiment Bali. Quand je partirai d'ici je l'emmènerai sûrement avec moi, si je ne veux pas que Bali soit jeter au ordures.

Énola: Ton épaule va mieux ? Avec ce qui c'est passer, je ne t'ai pas demander comment tu allais depuis l'accident.

Briséis: Oui, tout va bien ma plaie a cicatrisé.

Énola: Je m'étais tellement fait du soucis, j'appelais tout les jours, pour prendre de t'es nouvelles.

Briséis: Merci c'était très gentille.

Énola me pris soudainement dans les bras, me serrant fort.

Énola: Théo a beaucoup de chance de t'avoir. J'espère qu'il ne fera pas n'importe quoi. Je te compte déjà de la famille.

Briséis: Merci. Dis-je d'un faux sourir

Énola était un sucre, mais elle ne savait pas toute la vérité. Si seulement elle connaissait l'histoire elle comprendrait que je ne pourrais jamais faire partie de leurs famille.

BRISÉISOù les histoires vivent. Découvrez maintenant