BXXXIII

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Énola, m'avais rappelé que nous étions à une semaine de Noël. Cette période m'enchanter vraiment, elle était si spéciale à mes yeux. Ce noël allait être différents des autres joyeux moments.

Énola: A chaque Noël, ma mère décide d'invité un groupe d'enfants orphelins à sa propriété y passer quelques jours. Elle leurs offre des bons repas et des cadeaux.

Briséis: oh... c'est vraiment généreux de sa part.

Énola: Si seulement tu pouvais voir leurs visages émerveillés. Cette période et vraiment importante pour elle.

J'imaginais le visage de chaque enfants heureux. L'image me réchauffait le cœur.

Énola: Ma mère a invité plusieurs fois Théo, mais il refuse toujours. Sa serait cool que tu puisse te joindre à nous. Dit-elle souriante

Briséis: Sa serait merveilleux.

Soudain, nous entendions la porte claquer. La voix de Théo criant sur les employés, se faisait déjà entendre. Il était rentré.

Théo: On m'explique pourquoi il y a de la musique ici ? Dit-il en entrant dans le séjour tendue

Énola: Oh c'est moi, il y avait pas assez d'ambiance à mon goût.

Théo: Énola, ici c'est chez moi tu veux de l'ambiance tu rentre chez toi et à ce moment là tu en mets à ta guise.

Énola: Détends toi, le boulot ta vraiment fatiguer, à ce que je vois.

Théo: Ne commence pas.

Énola: Ok... d'ailleurs j'ai proposé à Briséis de venir passer Noël avec nous.

Théo: Hors de question.

Énola: Elle a déjà dit oui. Je vais aller promener ce petit chiots. Dit-elle en souriant

Théo: un de mes hommes t'accompagne. Dit-il en la regardant

Le regard de Théo en disait long, il était vraiment en colère, et je voyais bien qu'il essayait de prendre sur lui pour ne pas exploser. Énola c'était lever pour sortir du séjour accompagné de Bali, me laissant malheureusement avec Théo, visiblement très énervé. Nous entendions la porte claquer.

Théo: Je peux savoir ce qui t'a pris d'accepter ?!

Briséis: Je ne parlerais pas avec toi... si tu es dans cet état. Dis-je en me levant

Il attrapait mon bras, me forçant à resté immobile.

Théo: Tu penses que tu as le choix ?

Il m'entraîna à l'étage, où il ouvrit la chambre, j'avais beau lui demander de me lâcher, il ne m'avait bien évidemment pas écouter. Et j'avais beau me débattre il était beaucoup plus fort que moi. D'un geste il attacha mes deux poignets au Colones du lit baldaquin. Bloquant ainsi tout mes gestes. Il fit demie tours et ferma la porte à clefs.

Briséis: qu'est-ce que tu fait ?! Dis-je paniquer

Théo: Et toi tu cherchais quoi dans mon bureau ? Dit-il en s'approchant

Briséis: Quoi ...? Je ne suis pas aller dans ton bureau.

Théo: Mauvaise réponse. Dit-il en attrapant un ciseau

Briséis: Théo... arrête, je t'en pris.

Théo: J'ai exactement 30 minutes devant moi, alors tu pourras crier autant que tu veux. En découpant mes vêtements

Durant ces 30 minutes Théo m'avais, blesser physiquement comme mentalement. Il c'était servis d'un martinet, et m'avais fouetté tout le corps. me laissant des marques rouges. Il c'était approché de moi et de mon corps habillé seulement de sous-vêtements noir, et m'avais libéré. Je m'étais écroulé au sol. N'ayant plus de force pour me battre. Théo était sortie de la chambre, me laissant seule pour une millième fois. Je mettais, mise en pyjama, avant de me mettre en boule dans le lit. Je m'étais écrouler de fatigue et de douleurs physique comme mentale. Je ne pouvais plus le comprendre un coup il était doux et attentionné avec moi et un coup il était si méchant et destructeur. Je détestais cette face cacher. Les larmes n'avaient cesser de coulé, m'entraînant encore plus dans un sommeil profond.

BRISÉISOù les histoires vivent. Découvrez maintenant