BRISÉIS

BXXXXIV

Une pluie d'étoiles recouvrait nos têtes , j'avais cesser de me débattre, les bras de Théo étaient enroulés sur mon corps et d'une certaine manière je m'y sentais bien.

Théo: Ces mioches, m'on épuisé. Dit-il posant son menton sur mon épaule

Briséis: Tu n'aime pas les enfants ?

Théo: Pas spécialement.

Briséis: Pourquoi t'investis tu alors ?

Théo: Revoir sourire ma mère, voilà pourquoi je le fait.

Je restais silencieuse, sous ce cœur de Pierre, il y avais un shamallow. Sous ce corps de dur, il y avait des cicatrises si profond qu'on pouvait s'y cacher. Mais tout cela était enfuis.

Théo: Je t'ai vue partir contrarié, Bryan t'a dit quelques choses ?

Briséis: Non...j'étais...simplement fatigué. Dis-je posant mes mains sur ces bras

Théo: Mensonge, sa commence à en faire beaucoup. Dit-il en déposant un baiser sur mon cou

Briséis: J'aimerais aller me coucher. Dis-je esquivant le sujet

Les bras qui m'envelopper, se dégagèrent laissant place au vide, je me retournais vers Théo, voyant enfin son visage dans cette obscurité. Je le contournais entrant dans la chambre, sous la ouverture en satin, Théo avait enfiler pour seule habit un pantalons de pyjama, avant de s'introduire dans le lit. Collant son torse à mon dos, passant ces bras, autour de moi. Le meilleur moment de la journée, était quand il passait ces bras autour de mon corps, comme une forme de protection. La lumière éteinte, je m'endormais dans ces bras après 2 jours d'absence. On entendit frapper à la porte, celle-ci s'ouvrît, sur une petite silhouette, que j'arrivais à distinguer rapidement, sentant Théo se redresser, je fis de même, j'allumais la petite lampe de chevet, et vis Emma.

Théo: C'est pas possible. Murmure t-il

Briséis: hey... qu'est-ce que tu fais encore réveiller toi. Dis-je en me levant

Emma: J'arrive pas à dodo. Dit-elle hésitante

Théo: J'appel une employée. Dit-il en se levant

Briséis: Non. Je peux m'en charger. Dis-je en le regardant

Je pris Emma dans mes bras pour la posé sur le lit avant de la recouvrir. Théo me regardait faire, les sourcils froncé. Je me relevais, l'attrapant par le bras m'entraînant dans la salle de bain.

Briséis: Avant que tu arrives, ce qui n'était pas prévus, Emma dormait avec moi, elle a prit l'habitude. Dis-je fermant la porte

Théo: Elle peut très bien dormir avec les autres enfants. Dit-il contrarié

Briséis: Tu n'avais qu'à venir avec moi ici dès le début, on n'auraient pas eu cette conversation. Dis-je m'apprêtant à sortir

Théo, me retenus par le bras me bloquant entre le lavabo et lui. La mâchoire complètement crispé.

Théo: Arrête de jouer avec moi, quand est-ce que je t'aurai pour moi seule. Dit-il approchant ces lèvres des miennes

Briséis: Tu... tu ne m'aura jamais pour toi. Dis-je hésitante

Ces yeux avaient complètement viré au noire, et me lançaient des éclaires, il balançait un pot de fleur posé sur une table avant de sortir de la salle de bain, ainsi que de la chambre en claquant la porte. J'étais sortie de la salle de bain retrouvant Emma, je pris place près d'elle.

Emma: Pourquoi, le monsieur était énervé ? Dit-il d'un petite voie

Briséis: Il était énervé ? Il a sûrement du être priver de bonbon. Dis-je en nous recouvrant

Emma me prit dans ces bras. Avant de s'endormir. Cette phrase que j'avais dit à Théo, je ne la pensais pas, je voulais simplement me protéger, repoussait ces sentiments naissant. Notre amour était impossible, une histoire ne pouvait pas naître de la sorte par une simple dette qui devait être remboursée, il en était hors de question, nos deux mondes étaient trop différents. Je me passerais de ces bras cette nuit. Même si le sentiment que j'éprouvais au fond de moi, me criais de courir le retrouver. Mais ma raison de dicter de faire tout le contraire.

Le lendemain, comme à mon habitude depuis maintenant 3 jours, le lit ou je dormais était vide une nouvelle fois Emma avait du se lever et aller déjeuner, je me levais doucement, me dirigeant vers la salle de bain, la porte de celle-ci s'ouvrît brusquement, laissant sortir Théo seulement enrouler d'une serviette une buée chaude l'accompagnant. Il passa devant mes yeux ces abdos sculpté, et son corps imposant, aucun regard de sa part ne me fût destiné. Sans aucun mots il s'habillait. Il paraissait indifférent. Je repris mes esprits entrant dans la salle de bain, j'avais besoin d'une douche froide, toute cette forte température me faisais suer. Je me déshabiller rapidement entrant dans cette douche allumant l'eau, la laissant dévaler mon corps. Je me savonnais, lavant mes cheveux, la porte s'ouvrît brusquement sur Théo, se dirigeant vers la glace.

Briséis: Théo, sort immédiatement. Dis-je en me tournant essayant de me cacher

Aucun mots ne sortie de la bouche de celui-ci, il m'ignorait, se regardant dans la glace, il se coiffait. Je saisit rapidement une serviette enroulant celle-ci autour de moi.

Briséis: Tu sais quoi, fais ce qui te chante. Dis-je en m'apprêtant à sortir

Il me plaqua subitement contre le mur.
Bloquant ainsi tout geste de ma part.

Théo: Je pourrais t'enlever cette serviette, et te prendre ici même. Ou simplement te laisser partir. Et comme tu le dis je fais ce qui me chante. Dit-il avant de s'emparer de mes lèvres sauvagement

Il m'embrassa sauvagement, me laissant désirante d'en avoir plus. Je sentis sa main remonter le long de ma cuisse avant d'effleurer mon intimité. D'une simple caresse, il éveillait tout mes sens. Il s'arrêta subitement, j'ouvris alors les yeux, découvrant la salle complètement vide. J'avais compris il se vengeait de la veille. Je repris mes esprits avant de sortir de la salle de bain et filer m'habiller. Je mis un simple pull beige accompagné d'un jean noir et de botte. Je descendis les escaliers pour tomber sur Énola.

Énola: Hey... dis donc tu as mauvaise mine. Tu as bien dormis.

Briséis: C'est un maniéré de me dire bonjour ? Dis-je en souriant

Énola: Mais non... je te fait marcher, aller viens on va déjeuner. Dit-elle en me tirant avec elle