BRISÉIS

BXXIV

Théo ouvrait ces magnifiques yeux noisettes, me détaillant. Il prit ma main avant de la posé sur sa joue. J'avais peut être était dur avec lui mais il le méritais, il m'avait promis de me protéger et il prenait vachement sur lui, je l'avais remarqué et j'appréciais ces efforts. Je repris alors mes caresses sur sa joue.

Théo: Tu vois, tu ne me déteste pas tellement. Dit-il en souriant

Briséis: Je le fait car je suis obliger. Dis-je en arrêtant

Théo: bien sûr, laisse moi voir ta blessure. Dit-il en déboutonnant ma chemise

Briséis: ça va, je vais bien. Dis-je en attrapant sa main

Théo: Je ne te demandes pas la permission. Dit-il en dégageant sa main.

Il déboutonna ma chemise, en soulevant le petit bandage. Ma blessure avait bien cicatrisé et j'étais contente. Je me relevais et reboutonnais ma chemise avant de sortir du lit. Théo était rester coucher dans celui-ci, je saisit des vêtements allant prendre une bonne douche chaude. Allumant l'eau chaude, la laissant déballer mon corps et mes cheveux brun sous forme de vrai cascade. Mes articulation maintenant détendus je pouvais enfin respirer. Je sortis après au moins 1 heure dans celle-ci. Avant de regagner la chambre une serviette sur les cheveux. Théo était encore coucher dans le lit un dossier à la main, sécher mes cheveux était devenus un vrai calvaire, en levant mon bras pour enlever la serviette un gris étouffer de douleurs s'échappait de la bouche.
Théo poussa un soupire avant de posé son dossier sur le lit et de se lever, se dirigeant vers moi. Son torse complètement nue, ne me laissait pas indifférent. Et avait capté toute mon attention.

Théo: Attention tu baves. Dit-il en me prenant la serviette dès main

N'importe quoi, moi bavé ? Jamais c'est pas comme si il était à tomber, quand il ne faisait pas des sienne.

Théo: Tourne toi. Dit-il en me faisant tourner

Briséis: je peux le faire seule, tu sais ?

Il pris la serviette, enroulant mes cheveux dans celle-ci, et les séchant. Une fois finis il laissait échapper un petit baiser sur mon épaule avant de retourner à sa place, et de reprendre son travaille. Je sortis de la chambre, me dirigeant vers la cuisine, des crêpes étaient posé sur le plan de travaille. Théo avait cuisiner ? Sa ne lui ressemblait pas. J'en pris plusieurs, me faisant un thé et mangeant mon petit déjeuner. Une fois finis je rangeais rapidement. Avant de me dirigeais une fois de plus vers la chambre. Théo était dos à la fenêtre, observant le paysage dehors. Ce qui attira mon attention était son immense bleu sur sa cote, que je venais visiblement de remarquer.
Je fronçais les sourcils avant de m'approcher en silence.

Briséis: Théo ? Tu as un immense bleu... dis-je en le touchant du bout des doigts

Théo: c'est rien. Dit-il en attrapant ma main

Briséis: tu te fiches de moi ? Regarde comment c'est violet. Dis-je en dégageant ma main

Théo: tu te soucis de moi maintenant ? Dit-il en souriant

Briséis: Non ! C'est juste que... sa pourrait être grave. Dis-je en passant mes mains derrière mon dos

Théo: je te le répète, ce n'est rien. En me contournant, enfilant un simple tee-shirts

Tout d'un coup le téléphone sonna, Théo le saisit d'une seule main sortant de la chambre, je le laissait sortir avant de m'incruster minutieusement derrière lui écoutant la conversation.

Théo: Énola ?... oui tout va bien... on en a déjà parlé et la réponse reste la même... c'est à cause de lui que tout ça est arrivé et il est hors de question que je le vois... tu m'excuse j'ai des choses plus importantes à faire. Dit-il en coupant

Je sortis alors de ma cachette, me dirigeant vers le canapé. De qui pouvait-il bien parler ? Son père ? Je ne vois que lui. Il le détestais visiblement et à la soirée ils semblaient se disputé. Je m'asseyais sur le canapé, allumant la télévision, en regardant les programmes à l'affiche. Vue les périodes de fêtes, les chaînes étaient rempli de film remémorant Noël.

Théo: on décolle ce soir pour Londres. Dit-il en s'appuyant sur le canapé

J'ignorais ces paroles. Cet endroit était juste magique personne autour, aucun danger ne plantait ici, une forêt juste à cotée, ou nous pouvions marcher des heures. Quitter cet endroit pour des trottoirs et bâtiments me désolé vraiment.