BXXXI

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Briséis: Oui. Dis-je en cherchant les sachets de thé

Théo: Et ?

Briséis: Ou sont les sachets de thé ? Dis-je en cherchant

Il me retrouve à d'un coup vers lui, me rapprochant le plus possible de son corps.

Théo: Ne joue pas avec moi Briséis.

Briséis: Se... sont des histoires de filles, si elle veut t'en parler elle t'en parlera, mais ne la brusque pas. Dis-je en reportant mon attention sur ces lèvres

Je me maudissait, toute mon attention était sur ces lèvres si proche des miennes. Il me relâchait, fouillant dans un des placards, lançant la boîte de sachets de thé.

Théo: Bien, dis moi qu'elle va bien.

Briséis: Elle va bien. Dis-je en versant l'eau chaude dans la tasse

Théo: Regarde mes yeux, non pas mes lèvres quand je parle. Dit-il me faisant un clin d'œil

Il avait remarquer. J'étais rouge de honte, sa remarque était tellement inattendue que j'avais renversée l'eau bouillante sur une partie de ma main. Lâchant la bouilloire dès main, en criant.

Théo: C'est pas vrai.

Théo pris soudainement ma main là passant sous le jet d'eau froide du lavabo. La douleurs commençais enfin à s'effacer.

Théo: Tu ne touche plus à ça. Dit-il sérieusement

Briséis: Si tu ne m'avais pas déranger, on en serait pas là.

Théo: C'est de ma faute si tu ne sais pas tenir un objet dans les mains.

Je ne répliquais pas, son regards était noir et m'indiquais de ne pas répondre. Il attrapa un chiffon avant de le passer sur la main. Je me dégageais de sa prise, nettoyant l'eau renversée. Je pris la tasse de thé de l'autre main en montant les escaliers. Je frappais à la chambre avant d'entré, Énola était allongé en boule sur le lit, je déposais la tasse sur la table de nuit, avant de m'asseoir près d'elle.

Briséis: Ça va... mieux ? Dis-je hésitante

Elle ne me répondît pas, et resta de marbre. Me rendant compte de la stupidité de ma question, elle venait de rompre comment pouvait-elle aller mieux.

Briséis: désolé... ma question était stupide.

Énola: Je... je comprend pas... ce que j'ai de moins que les autres filles.

Je me rapprochais d'elle. La prenant dans mes bras, elle déposa sa tête sur mes genoux, me laissant lui caresser les cheveux.

Briséis: Tu n'as rien de moins que les autres filles, ne laisse jamais personne te persuader du contraire.

Énola: Elle.... était tout pour moi.

Briséis: Elle ne savait sûrement pas la pépite qu'elle avait entre les mains. Tu es forte et tu n'as certainement pas besoin de quelqu'un pour te le montré. Te mettre dans des états comme ça ne la fera pas revenir vers toi, vis ta vie, ce n'est pas la seule fille que tu aimeras. Dis-je en lui caressant les cheveux

Énola: Merci...

Je n'avais jamais vécu de rupture amoureuse, et je ne savais pas vraiment comment me comporter avec Énola face à cette situation, je ne pouvais rien faire or la réconforter. Plusieurs minutes plus tard elle c'était endormis sur mes genoux, elle semblait être vraiment fatigué la journée qu'elle avait du passer était sans doute très éprouvante pour elle. L'amour commet des dégâts et on en subit les conséquences. La porte s'ouvrît me sortant de mes pensées.

Théo: Elle c'est endormis ? Chuchotait-il

Je tournais ma tête vers l'horloge qui indiquait 1 heure du matin. J'étais crever aussi et j'avais besoin de sommeil.

Théo: Tu devrais aller te coucher. Dit-il en s'approchant

Briséis: Non, je pense que je vais rester avec elle. Dis-je en la regardant

Théo: Briséis, va te coucher. Répéta t-il

Je soulevais la tête d'Énola pour la poser sur le coussin, avant de la recouvrir, je n'avais pas la force de protester, je me levais avant de le contourner et de sortir de la chambre. Il fit de même, refermant la chambre de sa sœur. Soudainement il saisit mon bras me retournant vers lui, me plaquant au mur, ces pupilles étaient dilaté, et son souffle fort.

Théo: Tu as mentis hier, et je déteste les mensonges. Dit-il baladant sa main sur mon corps

Briséis: qu'est-ce... arrête. Dis-je à contre cœur

Il laissa échappé une caresse sur mon bras, avant de libéré sa main sur ma cuisse la faisant monté jusque mes hanches, du bout de doigts, il effleura mes lèvres. Son touché brûlait à vif ma peau, créant de multiple électrochoc.
Humectant mes lèvres du bout de la langue, devant se désires de chaire, que je n'avais jamais connus auparavant.

Théo: Je vais devoir t'embrasser. Dit-il en attrapant en otage mes lèvres

J'essayais de le repousser, posant mes mains sur son torse, il saisit mes poignets les plaçant au dessus de ma tête. J'avais beau le repousser, je me mentais à moi même, à chacun de ces toucher j'en voulait plus. M'aventurer dans un terrain inconnu était beaucoup trop tentant.

BRISÉISOù les histoires vivent. Découvrez maintenant