BXIII

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Théo: tu le promet ? Dit-il en me regardant dans les yeux

Briséis: promis juré ! Dis-je toute contente

Avant de me retourner vers la petite boule de poils, la cherchant du regarde, avant de la voire au pieds de Théo, elle se frotter.

Briséis: tu vois regarde il t'aime déjà.

Théo: il a pas intérêt à démolir ou pissé chez moi. Dit-il en s'éloignant

Je pris la petite boule de poils dans les bras, pour la serrée fort.

Briséis: tu doit avoir faim. En le prenant et l'emportant dans la cuisine

Une fois dans la cuisine, les images de ce qui c'était passer plus tôt me revient,
Me rappelant que je l'avais désiré et que mon corps l'avais appeler et ne voulait qu'une chose sentir son touché. L'attirance que j'éprouvais pour Théo, je l'avais ressentie dès le premier jour de ma venue, j'essayais simplement de le nier indéniablement. Je fis le vide dans ma tête essayant de pensé à autre chose.
Je donnais un peut de nourriture au petit chiots avant de le caresser et de le laisser manger.

Briséis: faut te trouvé un petit nom. Dis-je en réfléchissant

J'avais toujours rêver de m'en aller à Bali passer des vacances avec ma famille, alors une fois sortie d'ici nous irons moi et ma famille à Bali.

Briséis: Bali sa te va bien. Dis-je en le caressant

J'avais aussi mangé, mon ventre était rassasié. J'étais dans le séjour avec Bali entrain de regarder la télé, se petit chiot était tellement fatigué qu'il était tomber de fatigue. Des pas descendaient les escaliers avant de venir s'installer à mes côtés. Théo c'était rhabiller, j'avais complètement oublier que je portais encore son tee-shirt.

Briséis: Pourquoi, tu as dit à ta mère que je étais ta petite amis ?

Théo: Parce que aux yeux de ma famille demain tu le seras et aucune faute ne passera.

Briséis: Et si je refuse ?

Théo: obéissante. Tu te rappelle ? Dit-il en souriant

Briséis: Pas faux. Dis-je en caressant Bali

Théo: pas besoin de te rappeler, les conséquences des mauvais actes.

Briséis: Non. Dis-je me rappelant de mauvais souvenirs

Théo: parfait ! Dit-il en me tirant vers lui sur le canapé

Briséis: arrête tu va le réveiller. Me dégageant de sa poigne

Théo: j'en ai rien à faire. Dit-il en m'attirant de nouveau vers lui en regardant la télé

Il avait passer ces deux bras, enlaçant ma taille posant sa tête près de mon cou. Je sentais son souffle chaud.

Briséis: Théo arrête. Dis-je en essayant de le repousser

Théo: repousse moi encore une fois et je te prend sur ce canapé à coter de ton clebs. Chuchote t-il a l'oreille

Ce qui me calmais tout de suite. Plus aucun geste de refus ne se fit ressentir. Je regardais la télévision pour occuper mon temps les coups de 21h avait sonner et je commençais à avoir un peu froid avec pour seule couverture ce tee-shirt qui m'arrivais mi-cuisse. Le souffle de Théo dans sur cou était devenue régulier. Il n'étais quand même pas entrain de dormir.

Briséis: Théo ? Me dit pas que tu dors ?

Aucune réponse ne se fuit entendre, il dormais à point fermer. Et je ne pouvais même pas m'extirpais de cette situation, il me tenais serré à lui comme un enfant fait à son doudou.

BRISÉISOù les histoires vivent. Découvrez maintenant