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Briséis: Gage. Dis-je fuyant la question

Je ne pouvais pas répondre à une question sans réponse. J'avais mentis hier en disant que j'avais déjà des eu des relations amoureuse.

Théo: une fois tout cela finis, reste. Dit-il en souriant

Briséis: je ne l'ai jamais encore fait. Avouais-je

Théo: Quoi ?...

Briséis: Pourquoi on a voulut te tiré dessus.

Théo: gage.

Briséis: éponge la dette et laisse moi partir. Dis-je en souriant

Il ferma les yeux, pour contenir sa colère. Ce jeux était finalement comme un jeux d'échec et j'avançais mes pions petite à petit.

Théo: Je t'avais dit que je travailler dans l'automobile, mais qui à dit que ce que je faisait était légale ?  Mon père et moi dirigions un trafic de voiture, les plus chères et rares. Il a fait une mauvaise affaire au mauvais client qui a voulus se venger. En me tuant... C'est pas aujourd'hui que tu partira. Dit-il en souriant

Mon sourire s'estompa. Je me pensais réellement sortis d'affaire mais Il avait fait un échec et maths et j'avais perdu cette partie.

Théo: Pourquoi a tu mentis hier ?

Briséis: Car tu m'as également mentis.

Théo: J'ai dit la vérité sur ton père.

Briséis: En parlant de Pères, Énola m'a dit que tu ne lui parlais plus au tiens. Comment diriger une affaire avec une personne à qui on ne parle plus ?

Théo: Elle aurait pas du te parler de ça. On est simplement associé, je ne l'ai plus vue avant cette soirée, Bryan gère les entretiens avec lui.

Soudain nous entendions sonner à la porte, nous nous regardions en fronçant les sourcils.

Théo: Reste ici. Dit-il en se levant

Il sortie du séjour se dirigeant vers la porte. J'entendis des pleurs, je me levais et pris la direction du bruit. A la porte était Énola complètement trempé du à la pluie dehors et en pleurs.

Théo: Énola ? Entre. Dit-il en la faisant entrer

Il l'emmena dans le salon où il l'a laissa s'assoir, je filais dans la chambre prenant une couverture chaude avant de lui rapporter.

Théo: Énola, parles moi. Dis moi ce qui ce passe. Dit-il en s'empressant

Elle resta de marbres les larmes qui coulaient sans s'arrêter, accentua l'impatience de Théo. Je lui passait la couverture sur les épaules. La réchauffant.

Théo: Énola ! Explique moi ce qu'il t'arrive Bordel !

Briséis: Théo calme toi. Tu n'arrange pas les choses.

Énola: je... dit-elle avant d'exploser en larmes

Je la pris dans mes bras, ne sachant pas réellement quoi faire, Théo s'éclipsa passant des coups de fils.

Briséis: Ça va... calme toi... tu n'as rien à craindre. Dis-je lui caressant les cheveux

Énola: Elle m'a largué...

Briséis: Quoi ? Dis-je surprise

Énola: J'étais... visiblement pas assez bien pour elle. Dit-elle entre deux sanglots

Théo réapparut, encore plus impatient de savoir ce qu'il se passe.

Théo: Énola, si on t'a fait du mal j'ai besoin de le savoir. Parles moi. Dit-il sévèrement

Briséis: Elle a besoin de vêtements chaud.

Théo: Briséis, c'est pas le moment.

J'attirais Énola vers moi, l'invitant à se lever, sous le regard de Théo nous montions les escaliers, j'ouvris une des chambre et l'attirais dedans. Je lui posait un pyjama sur le lit.

Briséis: Tu devrais prendre un bain chaud. Et après si tu veux en parler je suis là. Dis-je en la prenant dans mes bras

Je sortie de la chambre la laissant prendre un bon bain chaud. Énola avait une peine de cœur, et pour seule réconfort il fallait un bain chaud et beaucoup de soutient. Je descendis à la cuisine lui faire une thé. Retrouvant Théo impatient au téléphone.

Théo: Rajoute 4 de mes hommes devant la maison familiale... on ne sait jamais... et préviens ma mère que Énola passe la nuit chez moi. Dit-il en coupant

Je fis bouillir de l'eau chaude. Théo pensait certainement qu'on s'en était pris à Énola, bizarre qu'il n'eu pas pensé à une simple histoire de coeur. Il se retourna vers moi.

Théo: Elle t'a parler ?

BRISÉISOù les histoires vivent. Découvrez maintenant